Comme à Ferké en 2012, à Yamoussoukro en 2013, le Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire est encore le parrain des JNVA (Journées nationales de valorisation de l’agriculture) pour l’année 2014 qui auront lieu à Bondoukou, la ville aux mille mosquées. Cette information a été donnée par le PAN lui-même, lors de l’édition précédente.
« Désormais les JNVA, c’est l’affaire des députés ivoiriens », a révélé le numéro 2 ivoirien qui met ainsi les législateurs en branle pour épauler le monde paysan afin que celui-ci retrouve son lustre d’antan.
« A partir d’aujourd’hui, si la Journée doit se tenir dans une ville, il faut que tous les députés mettent la main à la pâte. Et je demande au chef de cabinet de faire en sorte que désormais, nous puissions budgétiser notre soutien à la Journée nationale de valorisation de l’agriculture, pour ne pas qu’elle ait le sentiment d’errer, de courir bureau après bureau », a recommandé le Président de l’Assemblée nationale.
Cette annonce faite par Guillaume Soro de consacrer une journée à la célébration des braves paysans et le soutien total de la représentation nationale aux JNVA le place aux yeux des observateurs comme le digne successeur de Félix Houphouët-Boigny, père de l’agriculture moderne de la Côte d’Ivoire.
Pour ces observateurs, le Président Guillaume Soro a la même vision pour l’agriculture que l’illustre disparu.
Et comme le père de la nation, le patron de l’hémicycle ne manque pas d’occasion pour adouber le monde paysan. « Les agriculteurs ne devraient point avoir honte de leur fonction. Mais plutôt de redoubler d’effort pour la valoriser davantage », a-t-il coutume de lancer à l’endroit des agriculteurs.
En effet, pour le premier des députés ivoiriens, non seulement « l’agriculture nourrit son homme, l’ennoblit et ne trahit pas », mais il peut être une solution pour résorber et juguler le problème du chômage en Côte d’Ivoire.
Pour le PAN, si le gouvernement permet à l’agriculture d’atteindre les 10% du produit intérieur brut (PIB), la bataille contre le chômage serait réglée à 50%.
Il faut noter que le secteur agricole participait, il y a de cela quelques années, à hauteur de 3% du PIB. Depuis l’avènement du Président Alassane Ouattara à la Magistrature suprême, il oscille entre 4.7% et 5%.
Il convient de noter que le PAN a une passion particulière pour l’activité agricole. Penchant qu’il souhaite partager avec ses compatriotes. « Chaque Ivoirien doit disposer au moins d’une petite exploitation », a exhorté Guillaume Soro, lors de la 3ème édition des Journées nationales de valorisation de l’agriculture organisées récemment par l’Agence de valorisation de l’agriculture (AVA) en novembre dernier à Yamoussoukro.
Pourvu que l’engagement de cet homme de conviction et de poigne puisse gagner l’assentiment des uns et des autres. Le secteur agricole et partant la Côte d’Ivoire s’en porteraient mieux.
« Désormais les JNVA, c’est l’affaire des députés ivoiriens », a révélé le numéro 2 ivoirien qui met ainsi les législateurs en branle pour épauler le monde paysan afin que celui-ci retrouve son lustre d’antan.
« A partir d’aujourd’hui, si la Journée doit se tenir dans une ville, il faut que tous les députés mettent la main à la pâte. Et je demande au chef de cabinet de faire en sorte que désormais, nous puissions budgétiser notre soutien à la Journée nationale de valorisation de l’agriculture, pour ne pas qu’elle ait le sentiment d’errer, de courir bureau après bureau », a recommandé le Président de l’Assemblée nationale.
Cette annonce faite par Guillaume Soro de consacrer une journée à la célébration des braves paysans et le soutien total de la représentation nationale aux JNVA le place aux yeux des observateurs comme le digne successeur de Félix Houphouët-Boigny, père de l’agriculture moderne de la Côte d’Ivoire.
Pour ces observateurs, le Président Guillaume Soro a la même vision pour l’agriculture que l’illustre disparu.
Et comme le père de la nation, le patron de l’hémicycle ne manque pas d’occasion pour adouber le monde paysan. « Les agriculteurs ne devraient point avoir honte de leur fonction. Mais plutôt de redoubler d’effort pour la valoriser davantage », a-t-il coutume de lancer à l’endroit des agriculteurs.
En effet, pour le premier des députés ivoiriens, non seulement « l’agriculture nourrit son homme, l’ennoblit et ne trahit pas », mais il peut être une solution pour résorber et juguler le problème du chômage en Côte d’Ivoire.
Pour le PAN, si le gouvernement permet à l’agriculture d’atteindre les 10% du produit intérieur brut (PIB), la bataille contre le chômage serait réglée à 50%.
Il faut noter que le secteur agricole participait, il y a de cela quelques années, à hauteur de 3% du PIB. Depuis l’avènement du Président Alassane Ouattara à la Magistrature suprême, il oscille entre 4.7% et 5%.
Il convient de noter que le PAN a une passion particulière pour l’activité agricole. Penchant qu’il souhaite partager avec ses compatriotes. « Chaque Ivoirien doit disposer au moins d’une petite exploitation », a exhorté Guillaume Soro, lors de la 3ème édition des Journées nationales de valorisation de l’agriculture organisées récemment par l’Agence de valorisation de l’agriculture (AVA) en novembre dernier à Yamoussoukro.
Pourvu que l’engagement de cet homme de conviction et de poigne puisse gagner l’assentiment des uns et des autres. Le secteur agricole et partant la Côte d’Ivoire s’en porteraient mieux.