La ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant Anne Désirée Ouloto a annoncé le mardi 2 septembre la mise en œuvre très bientôt de la stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre. C’était en marge d’une rencontre à son Cabinet avec Nadine Puechguirbal, Coordinateur au bureau des Nation Unies contre les violences sexuel durant les conflits.
Cette stratégie nationale élaborée de façon collégiale avec les partenaires au développement notamment les agences du système des Nations-Unies particulièrement l’UNFPA, met en avant « le relèvement des victimes » et permet de respecter les droits des hommes, femmes et enfants, a expliqué la ministre de la Solidarité, de la Famille de la Femme et de l’Enfant. « Le gouvernement a travaillé de façon collégiale à l’élaboration de cette stratégie », a-t-elle affirmé.
C’est une stratégie « très ambitieuse » mais qui en même temps exige une bonne approche en matière de mobilisation des ressources, selon Anne Désirée Ouloto. « Les victimes des violences basées sur le genre peuvent espérer une meilleure prise en charge de leurs différents cas. Je peux également affirmer que la question d’impunité quant à ce genre de délit et même de crimes pourra être réglée grâce à cette stratégie », a tenu à rassurer la MSFFE.
Les leaders d’opinion, les artistes, les journalistes et tous les acteurs impliqués dans la mise en œuvre de cette stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre bénéficieront de formations adéquates afin d’accompagner le Gouvernement dans cette noble action, a expliqué la ministre.
Nadine Puechguirbal, Coordinateur au bureau des Nation Unies contre les violences sexuelles durant les conflits a assurer la ministre et le Gouvernement ivoirien du soutien des Nations-Unies dans la mise en œuvre de cette stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre.
Cette stratégie nationale élaborée de façon collégiale avec les partenaires au développement notamment les agences du système des Nations-Unies particulièrement l’UNFPA, met en avant « le relèvement des victimes » et permet de respecter les droits des hommes, femmes et enfants, a expliqué la ministre de la Solidarité, de la Famille de la Femme et de l’Enfant. « Le gouvernement a travaillé de façon collégiale à l’élaboration de cette stratégie », a-t-elle affirmé.
C’est une stratégie « très ambitieuse » mais qui en même temps exige une bonne approche en matière de mobilisation des ressources, selon Anne Désirée Ouloto. « Les victimes des violences basées sur le genre peuvent espérer une meilleure prise en charge de leurs différents cas. Je peux également affirmer que la question d’impunité quant à ce genre de délit et même de crimes pourra être réglée grâce à cette stratégie », a tenu à rassurer la MSFFE.
Les leaders d’opinion, les artistes, les journalistes et tous les acteurs impliqués dans la mise en œuvre de cette stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre bénéficieront de formations adéquates afin d’accompagner le Gouvernement dans cette noble action, a expliqué la ministre.
Nadine Puechguirbal, Coordinateur au bureau des Nation Unies contre les violences sexuelles durant les conflits a assurer la ministre et le Gouvernement ivoirien du soutien des Nations-Unies dans la mise en œuvre de cette stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre.