Les parlementaires ivoiriens ont pris la résolution de s’engager dans la lutte contre la circulation illicite et la prolifération des armes dans le pays, ont indiqué jeudi à Xinhua des sources sécuritaires.
Selon le secrétaire exécutif de la Commission nationale de lutte contre la circulation illicite et la prolifération des armes légères et de petit calibre (COMNAT-ALPC) Anzian Kouadja, il est question de la mise en place d’un réseau de parlementaires ivoiriens en charge de dynamiser la lutte.
A l’en croire, une rencontre est également prévue entre les députés de la sous-région sur la problématique des armes légères.
"Il est aussi question de la mise en place d’une brigade spéciale de lutte contre la circulation illicite des armes", a noté par ailleurs M. Kouadja.
Pour sa part, le responsable de la sous-commission opération- sécurité à la COMNAT ALPC Léon Djokouéhi a indiqué que la facilité de dissimulation des armes légères, leur mobilité, leur faible cout sur le marché, leur fabrication relativement facile et leur usage facile favorise leur prolifération et leur circulation illicite et illégale par milliers à travers le monde.
"Cela est accentué par l’absence de réglementation sur leur commercialisation", a déploré M. Djokouéhi, insistant sur l’ importance des instruments régionaux et internationaux sur le contrôle des armes et munitions.
La prolifération et la circulation illicite des armes légères constituent une préoccupation pour les autorités ivoiriennes qui ont mis en place une commission en charge de la lutte contre le fléau.
Plusieurs organisations nationales et internationales ont plaidé pour des actions coordonnées en vue d’endiguer le phénomène dont les conséquences demeurent la violence et l’insécurité.
Selon le secrétaire exécutif de la Commission nationale de lutte contre la circulation illicite et la prolifération des armes légères et de petit calibre (COMNAT-ALPC) Anzian Kouadja, il est question de la mise en place d’un réseau de parlementaires ivoiriens en charge de dynamiser la lutte.
A l’en croire, une rencontre est également prévue entre les députés de la sous-région sur la problématique des armes légères.
"Il est aussi question de la mise en place d’une brigade spéciale de lutte contre la circulation illicite des armes", a noté par ailleurs M. Kouadja.
Pour sa part, le responsable de la sous-commission opération- sécurité à la COMNAT ALPC Léon Djokouéhi a indiqué que la facilité de dissimulation des armes légères, leur mobilité, leur faible cout sur le marché, leur fabrication relativement facile et leur usage facile favorise leur prolifération et leur circulation illicite et illégale par milliers à travers le monde.
"Cela est accentué par l’absence de réglementation sur leur commercialisation", a déploré M. Djokouéhi, insistant sur l’ importance des instruments régionaux et internationaux sur le contrôle des armes et munitions.
La prolifération et la circulation illicite des armes légères constituent une préoccupation pour les autorités ivoiriennes qui ont mis en place une commission en charge de la lutte contre le fléau.
Plusieurs organisations nationales et internationales ont plaidé pour des actions coordonnées en vue d’endiguer le phénomène dont les conséquences demeurent la violence et l’insécurité.