La ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a rencontré mercredi le 10 septembre 2014, au centre de protection de la petite enfance (CPPE) d’Adjamé Santé le personnel des Institutions de formation et d’éducation féminine (IFEF), des centres d’actions communautaires pour la petite enfance et des centre pour le protection de la petite enfance.
Cette rencontre qui se voulait une rencontre de vérité a été l’occasion pour la ministre d’exhorter ses hôtes à « avoir à cœur de changer la condition des femmes » sur l’ensemble du territoire notamment dans les zones rurales. Ce qui explique qu’elle ait décidé de « procéder à des mouvements » en vue de corriger le déséquilibre constaté au regard de la cartographie au plan national.
« L’administration c’est l’équité. Ce qui doit nous guider c’est le besoin de servir l’Etat », a fait remarquer Anne Désirée Ouloto. Poursuivant ses explications, elle indiquera que « la question du redéploiement du personnel est une exigence ». Cela participant de la cohésion sociale. Selon la ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, l’absence d’une IFEF dans une localité est synonyme de danger pour les femmes qui y résident. Elles sont alors « condamnées » à l’analphabétisme, à un déficit d’éducation sur des notions importantes pour leur autonomisation.
« Notre ministère est celui qui doit protéger le droit de la femme à l’éducation, à la formation et promouvoir sa valorisation », a-t-elle insisté. Anne Ouloto, pour qui il n’est pas « motivant » de faire 5, 8 et 10 ans à un même poste, a dénoncé des pratiques auxquelles elle a décidé de mettre un terme depuis sa prise de fonction. « Avant pour être Directeur Régional, il fallait payer 200 mille francs. C’est ce qui explique que la DRH a changé et que ceux qui y travaillaient ont aussi changé », a-t-elle justifié. « Pour une mutation ou un poste pas besoin de débourser 5 francs », a martelé Anne Désirée Ouloto.
La nouvelle Directrice des Ressources Humaines a, séance tenante, indiqué que la liste des mutées au niveau des maitresses d’éducations permanentes, maîtresses adjointes et des directrices d’IFEF, était prête et n’attendait que la signature du Madame le ministre pour être rendue publique.
Cette rencontre qui se voulait une rencontre de vérité a été l’occasion pour la ministre d’exhorter ses hôtes à « avoir à cœur de changer la condition des femmes » sur l’ensemble du territoire notamment dans les zones rurales. Ce qui explique qu’elle ait décidé de « procéder à des mouvements » en vue de corriger le déséquilibre constaté au regard de la cartographie au plan national.
« L’administration c’est l’équité. Ce qui doit nous guider c’est le besoin de servir l’Etat », a fait remarquer Anne Désirée Ouloto. Poursuivant ses explications, elle indiquera que « la question du redéploiement du personnel est une exigence ». Cela participant de la cohésion sociale. Selon la ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, l’absence d’une IFEF dans une localité est synonyme de danger pour les femmes qui y résident. Elles sont alors « condamnées » à l’analphabétisme, à un déficit d’éducation sur des notions importantes pour leur autonomisation.
« Notre ministère est celui qui doit protéger le droit de la femme à l’éducation, à la formation et promouvoir sa valorisation », a-t-elle insisté. Anne Ouloto, pour qui il n’est pas « motivant » de faire 5, 8 et 10 ans à un même poste, a dénoncé des pratiques auxquelles elle a décidé de mettre un terme depuis sa prise de fonction. « Avant pour être Directeur Régional, il fallait payer 200 mille francs. C’est ce qui explique que la DRH a changé et que ceux qui y travaillaient ont aussi changé », a-t-elle justifié. « Pour une mutation ou un poste pas besoin de débourser 5 francs », a martelé Anne Désirée Ouloto.
La nouvelle Directrice des Ressources Humaines a, séance tenante, indiqué que la liste des mutées au niveau des maitresses d’éducations permanentes, maîtresses adjointes et des directrices d’IFEF, était prête et n’attendait que la signature du Madame le ministre pour être rendue publique.