Les autorités ivoiriennes ont plaidé samedi en faveur de l’utilisation de la culture pour sceller la réconciliation nationale.
"La culture devra être le moteur de l’union entre les Ivoiriens pour créer la paix et non la guerre", a soutenu le ministre ivoirien en charge de la Culture Maurice Bandaman.
Pour M. Bandaman, la diversité culturelle de la Côte d’Ivoire constitue l’une de ses premières richesses qu’il faut entretenir.
"La culture doit nous unir et non pas nous diviser. Elle est la sève nourricière des relations humaines", a noté pour sa part le directeur de cabinet du Premier ministre ivoirien, Théophile Ahoua N’doli.
Pour lui, les faits et rassemblements culturels sont indispensables pour renforcer la cohésion entre Ivoiriens après la crise postélectorale de 2010.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont appelé à la valorisation du patrimoine culturel du pays. A titre d’exemple, elles ont présenté les alliances interethniques comme un outil catalyseur de la coexistence pacifique entre les peuples.
Elles insistent alors sur la contribution de la culture à l’édification d’une paix durable dans le pays afin de refermer "de manière définitive" les "parenthèses douloureuses" des crises militaro-politiques qui ont secoué le pays.
La réconciliation nationale se présente comme l’un des défis majeurs à relever par la Côte d’Ivoire post-crise, note-t-on.
"La culture devra être le moteur de l’union entre les Ivoiriens pour créer la paix et non la guerre", a soutenu le ministre ivoirien en charge de la Culture Maurice Bandaman.
Pour M. Bandaman, la diversité culturelle de la Côte d’Ivoire constitue l’une de ses premières richesses qu’il faut entretenir.
"La culture doit nous unir et non pas nous diviser. Elle est la sève nourricière des relations humaines", a noté pour sa part le directeur de cabinet du Premier ministre ivoirien, Théophile Ahoua N’doli.
Pour lui, les faits et rassemblements culturels sont indispensables pour renforcer la cohésion entre Ivoiriens après la crise postélectorale de 2010.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont appelé à la valorisation du patrimoine culturel du pays. A titre d’exemple, elles ont présenté les alliances interethniques comme un outil catalyseur de la coexistence pacifique entre les peuples.
Elles insistent alors sur la contribution de la culture à l’édification d’une paix durable dans le pays afin de refermer "de manière définitive" les "parenthèses douloureuses" des crises militaro-politiques qui ont secoué le pays.
La réconciliation nationale se présente comme l’un des défis majeurs à relever par la Côte d’Ivoire post-crise, note-t-on.