Dans le cadre des festivités marquant la célébration de la quinzaine de la Solidarité, l’Observatoire de la Solidarité et de la Cohésion Sociale (OSCS) dirigé par Elise Ouattara a présenté officiellement le jeudi 18 septembre à l’hôtel du district d’Abidjan, le rapport 2013 de diagnostic analytique de l’état de la Cohésion sociale en Côte d’Ivoire
L’appréciation objective de la réalité quotidienne met en relief la nécessité pour les autorités de consentir à des efforts supplémentaires, notamment dans le cadre du renforcement de l’accès des populations aux services sociaux de base. En plus de traduire l’idée d’une insuffisance des actions publiques en la matière, cette situation est, par ailleurs, révélatrice d’un manque lié à l’indisponibilité d’informations stratégiques facilitant la prise de décision.
Si en la matière des actions sont menées aussi bien par les pouvoirs publics, les partenaires techniques et financiers que par la société civile elle-même, il n’en demeure pas moins que la problématique de la mesurabilité de l’impact de ces actions et la disponibilité de l’information statistique et stratégique aidant à la prise de décision se posent avec acuité.
Pour le compte de l’année 2013, l’OSCS, selon son Directeur général Elise Ouattara, a élaboré un rapport de type diagnostic analytique de la situation en matière de solidarité et de cohésion sociale. En ce qui concerne la remontée proprement dite des données, le mécanisme mis en place à cet effet, prévoit la mise à contribution de structures relais au nombre desquelles figurent les commissions régionales/communales.
Il ressort également de ce rapport que l’OSCS conformément à ses prérogatives, a contribué au renforcement de la solidarité et de la cohésion sociale à travers la promotion et la vulgarisation de valeurs cardinales qui sous-tendent lesdites notions. Les missions de veille, d’alerte précoce et d’évaluation du niveau de solidarité et de cohésion sociale au plan national exigent de l’OSCS de mettre à disposition des pouvoirs publics et des partenaires au développement l’information statistique et stratégique pour combler d’éventuels déficits.
Cette scientificité dans l’approche que confèrent à l’OSCS ses attributions, requiert la mise en place d’un système de production de l’information. L’alimentation de ce système est prévue se faire à travers la collecte et la remontée de données routinières et non routinières dans le cadre d’enquêtes et d’études spécifiques.
La ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a justifié la création de l’OSCS par la volonté du Gouvernement de mettre en place un mécanisme d’alerte précoce et de prévention des conflits. La ministre a saisi l’occasion de cette cérémonie pour exhorter chaque Ivoirien et chaque habitant de la Côte d’Ivoire à porter plus de considération au bien-être et à la sécurité de son frère, sa sœur, son concitoyen et sur la bonne tenue des hôpitaux, des écoles, des autres établissements à usage public. Ce en s’appropriant les « nobles » mots de la devise nationale : Union-Discipline-Travail.
La création et l’opérationnalisation de l’Observatoire de la Solidarité et de la Cohésion Sociale (OSCS) répond au souci d’une résorption durable des défiances se rapportant à l’accès auxdits services essentiels (santé, éducation, emploi, justice, environnement et cadre de vie sains...) dans l’optique d’un renforcement de la cohésion sociale.
L’appréciation objective de la réalité quotidienne met en relief la nécessité pour les autorités de consentir à des efforts supplémentaires, notamment dans le cadre du renforcement de l’accès des populations aux services sociaux de base. En plus de traduire l’idée d’une insuffisance des actions publiques en la matière, cette situation est, par ailleurs, révélatrice d’un manque lié à l’indisponibilité d’informations stratégiques facilitant la prise de décision.
Si en la matière des actions sont menées aussi bien par les pouvoirs publics, les partenaires techniques et financiers que par la société civile elle-même, il n’en demeure pas moins que la problématique de la mesurabilité de l’impact de ces actions et la disponibilité de l’information statistique et stratégique aidant à la prise de décision se posent avec acuité.
Pour le compte de l’année 2013, l’OSCS, selon son Directeur général Elise Ouattara, a élaboré un rapport de type diagnostic analytique de la situation en matière de solidarité et de cohésion sociale. En ce qui concerne la remontée proprement dite des données, le mécanisme mis en place à cet effet, prévoit la mise à contribution de structures relais au nombre desquelles figurent les commissions régionales/communales.
Il ressort également de ce rapport que l’OSCS conformément à ses prérogatives, a contribué au renforcement de la solidarité et de la cohésion sociale à travers la promotion et la vulgarisation de valeurs cardinales qui sous-tendent lesdites notions. Les missions de veille, d’alerte précoce et d’évaluation du niveau de solidarité et de cohésion sociale au plan national exigent de l’OSCS de mettre à disposition des pouvoirs publics et des partenaires au développement l’information statistique et stratégique pour combler d’éventuels déficits.
Cette scientificité dans l’approche que confèrent à l’OSCS ses attributions, requiert la mise en place d’un système de production de l’information. L’alimentation de ce système est prévue se faire à travers la collecte et la remontée de données routinières et non routinières dans le cadre d’enquêtes et d’études spécifiques.
La ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a justifié la création de l’OSCS par la volonté du Gouvernement de mettre en place un mécanisme d’alerte précoce et de prévention des conflits. La ministre a saisi l’occasion de cette cérémonie pour exhorter chaque Ivoirien et chaque habitant de la Côte d’Ivoire à porter plus de considération au bien-être et à la sécurité de son frère, sa sœur, son concitoyen et sur la bonne tenue des hôpitaux, des écoles, des autres établissements à usage public. Ce en s’appropriant les « nobles » mots de la devise nationale : Union-Discipline-Travail.
La création et l’opérationnalisation de l’Observatoire de la Solidarité et de la Cohésion Sociale (OSCS) répond au souci d’une résorption durable des défiances se rapportant à l’accès auxdits services essentiels (santé, éducation, emploi, justice, environnement et cadre de vie sains...) dans l’optique d’un renforcement de la cohésion sociale.
