Pour prévenir « l’éventualité d’une guerre de listes » en prélude à la prise en charge des victimes de guerre, la ministre de la Solidarité de la Famille de la Femme et de l’Enfant Anne Désirée Ouloto a rencontré les associations de victimes et les structures étatiques en charge de ces victimes pour convenir « d’une liste consensuelle ».
« Au moment où la CDVR est en passe d’achever sa mission, au moment ou le Président de la République vient d’annoncer la création d’un fonds pour la prise en charge des victimes de guerre, nous voulons prévenir l’éventualité d’une guerre de liste », a expliqué la ministre Anne Désirée Ouloto.
Il s’agit pour le ministère de se « mettre d’accord » avec la multitude d’association de victimes de guerre, la Commission Dialogue Vérité et Réconciliation et toutes les institutions étatiques qui travaillent à la prise en charge de ces victimes de guerre de sorte à ce que l’Etat in fine ait à faire à une seule liste consensuelle.
« Que les victimes aient conscience de ce que le Gouvernement travaille à leur prise en charge, à l’effet de sortir une liste consensuelle et représentative des victimes pour leur prise en charge efficiente », a expliqué la ministre.
« Au moment où la CDVR est en passe d’achever sa mission, au moment ou le Président de la République vient d’annoncer la création d’un fonds pour la prise en charge des victimes de guerre, nous voulons prévenir l’éventualité d’une guerre de liste », a expliqué la ministre Anne Désirée Ouloto.
Il s’agit pour le ministère de se « mettre d’accord » avec la multitude d’association de victimes de guerre, la Commission Dialogue Vérité et Réconciliation et toutes les institutions étatiques qui travaillent à la prise en charge de ces victimes de guerre de sorte à ce que l’Etat in fine ait à faire à une seule liste consensuelle.
« Que les victimes aient conscience de ce que le Gouvernement travaille à leur prise en charge, à l’effet de sortir une liste consensuelle et représentative des victimes pour leur prise en charge efficiente », a expliqué la ministre.