Le directeur de cabinet du ministre des Transports, Soro Benjamin Bakary, qui a condamné l’agression du jeune apprenti de gbaka par un coxer, a rassuré qu’il n’est pas mort comme le laisse supposer la rumeur, appelant les transporteurs encore réticents à reprendre le travail.
"Je puis vous assurer que le jeune apprenti agressé n’est pas mort et le ministre condamne avec une énergie vigoureuse cette agression. Il appelle les transporteurs qui n’ont pas encore commencé à travailler à reprendre le volant", a déclaré Soro Benjamin Bakary, lors d’un point de presse, lundi, au cabinet du ministère à la Tour C de la cité administrative, à Abidjan.
Il a précisé que les examens médicaux font état de ce que la vie du jeune Ibrahim Diallo n’est pas en danger et que le ministre des Transports a pris en charge les frais d’hospitalisation au centre hospitalier universitaire de Yopougon.
Dimanche, suite au télescopage entre un camion et un apprenti de gbaka après une altercation entre un syndicaliste et lui à la gare ferraille d’Adjamé, les chauffeurs des minicars, communément appelés "gbaka", ont arrêté de travailler, perturbant du coup le transport dans la capitale économique ivoirienne.
Le même jour, différents responsables du secteur, après avoir rendu visite au blessé au CHU de Yopougon, ont appelé à une reprise de l’activité.
Lundi dernier, à la mi-journée, l’on observait une reprise timide du transport en commun à Abidjan, malgré cette levée du mot d’ordre de grève décidée par des organisations syndicales de transporteurs, a constaté l’AIP.
M Soro Benjamin qui a condamné l’incident avec la dernière énergie, le jugeant de "grave et malheureux", a conseillé les acteurs du secteur des transports d’éviter de se rendre justice.
"L’agresseur est entre les mains de la police pour répondre de ces actes. Nous sommes dans un pays de droit", a dit Soro Benjamin .
Pour le directeur de cabinet qui a salué l’esprit civique des transporteurs, cette situation est le fait d’individus qui s’arrogent des droits, par la force, pour exiger des rançons. Toute chose que le ministère des Transports condamne et entend bannir.
"Le ministre, par la réforme instituée, cherche une solution à ce phénomène, mais on ne peut pas d’un coup de baguette magique faire disparaitre une chose qui a perduré. Il faut enrayer et faire en sorte que les acteurs ne reprennent pas leur affaire quelque part", a-t-il expliqué.
"Je puis vous assurer que le jeune apprenti agressé n’est pas mort et le ministre condamne avec une énergie vigoureuse cette agression. Il appelle les transporteurs qui n’ont pas encore commencé à travailler à reprendre le volant", a déclaré Soro Benjamin Bakary, lors d’un point de presse, lundi, au cabinet du ministère à la Tour C de la cité administrative, à Abidjan.
Il a précisé que les examens médicaux font état de ce que la vie du jeune Ibrahim Diallo n’est pas en danger et que le ministre des Transports a pris en charge les frais d’hospitalisation au centre hospitalier universitaire de Yopougon.
Dimanche, suite au télescopage entre un camion et un apprenti de gbaka après une altercation entre un syndicaliste et lui à la gare ferraille d’Adjamé, les chauffeurs des minicars, communément appelés "gbaka", ont arrêté de travailler, perturbant du coup le transport dans la capitale économique ivoirienne.
Le même jour, différents responsables du secteur, après avoir rendu visite au blessé au CHU de Yopougon, ont appelé à une reprise de l’activité.
Lundi dernier, à la mi-journée, l’on observait une reprise timide du transport en commun à Abidjan, malgré cette levée du mot d’ordre de grève décidée par des organisations syndicales de transporteurs, a constaté l’AIP.
M Soro Benjamin qui a condamné l’incident avec la dernière énergie, le jugeant de "grave et malheureux", a conseillé les acteurs du secteur des transports d’éviter de se rendre justice.
"L’agresseur est entre les mains de la police pour répondre de ces actes. Nous sommes dans un pays de droit", a dit Soro Benjamin .
Pour le directeur de cabinet qui a salué l’esprit civique des transporteurs, cette situation est le fait d’individus qui s’arrogent des droits, par la force, pour exiger des rançons. Toute chose que le ministère des Transports condamne et entend bannir.
"Le ministre, par la réforme instituée, cherche une solution à ce phénomène, mais on ne peut pas d’un coup de baguette magique faire disparaitre une chose qui a perduré. Il faut enrayer et faire en sorte que les acteurs ne reprennent pas leur affaire quelque part", a-t-il expliqué.
