Invitée de la rencontre «les rendez-vous du gouvernement» initiée par le CICG, la ministre de la Solidarité de la famille, de la femme et de l’enfant,Anne Désirée Ouloto s’est prononcée sur le phénomène des «microbes», ces enfants qui agressent les populations à Abidjan et dans certaines villes de l’intérieur.
Ce phénomène né après la crise post-électorale est selon la ministre le résultat de la démission des parents dans l’éducation de leurs enfants. Elle reconnait néanmoins que les enfants qui agressent les honnêtes citoyens à tout bout de champ sont issus de la période difficile de la Côte d’Ivoire.
«Ce sont les enfants du désordre de notre société, du mensonge de notre société, » a-t-elle insisté, affirmant au passage que la co-responsabilité du gouvernement et de la famille est partagée dans la situation que traverse les enfants microbes. «Allons-nous offrir des enfants microbes au gouvernement ? à l’Etat ? » A ajouté la ministre de la Solidarité.
Convaincue qu’avec la mise en place de la commission nationale de la famille qui se prépare à réaliser des consultations nationales la situation de ces enfants va changer,Anne Désirée Ouloto annonce par ailleurs la création de trois centres sociaux éducatifs.
«Nous allons offrir à ces enfants qu’on arrête comme de vulgaires bandits et qu’on envoie à la MACA un peu d’amour et d’affection , » a-t-elle indiqué.
Avocate des microbes, la ministre souhaite que des sanctions soient prises à l’endroit des familles qui ne veulent pas prendre leurs responsabilités vis-à-vis de leurs enfants.
Emboitant le pas à sa collègue, le ministre des TIC porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné a toutefois invité les parents à passer à l’étape de l’élevage de leurs enfants à celle de l’éducation.
Ce phénomène né après la crise post-électorale est selon la ministre le résultat de la démission des parents dans l’éducation de leurs enfants. Elle reconnait néanmoins que les enfants qui agressent les honnêtes citoyens à tout bout de champ sont issus de la période difficile de la Côte d’Ivoire.
«Ce sont les enfants du désordre de notre société, du mensonge de notre société, » a-t-elle insisté, affirmant au passage que la co-responsabilité du gouvernement et de la famille est partagée dans la situation que traverse les enfants microbes. «Allons-nous offrir des enfants microbes au gouvernement ? à l’Etat ? » A ajouté la ministre de la Solidarité.
Convaincue qu’avec la mise en place de la commission nationale de la famille qui se prépare à réaliser des consultations nationales la situation de ces enfants va changer,Anne Désirée Ouloto annonce par ailleurs la création de trois centres sociaux éducatifs.
«Nous allons offrir à ces enfants qu’on arrête comme de vulgaires bandits et qu’on envoie à la MACA un peu d’amour et d’affection , » a-t-elle indiqué.
Avocate des microbes, la ministre souhaite que des sanctions soient prises à l’endroit des familles qui ne veulent pas prendre leurs responsabilités vis-à-vis de leurs enfants.
Emboitant le pas à sa collègue, le ministre des TIC porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné a toutefois invité les parents à passer à l’étape de l’élevage de leurs enfants à celle de l’éducation.