Daoukro – Le gouvernement américain, à travers son programme de développement international SUNY/CID, a organisé, vendredi, sur l’esplanade de la préfecture, une cérémonie pour expliquer aux populations de Daoukro l’importance d’un appui qu’il veut apporter à l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire.
Dans le souci de faire du parlement ivoirien, une institution forte et démocratique, le président Guillaume Soro a sollicité le soutien de certains bailleurs de fonds, afin de permettre à l’Assemblée nationale d’atteindre sa mission auprès des populations.
C’est dans ce cadre que la structure spécialisée dans le financement, l’USAID et son Centre de développement international (SUNY/CID) ont décidé d’apporter cet appui afin d’aider l’Assemblée nationale à atteindre sa mission de formation et d’information des populations.
La délégation de l’USAID conduite par Benjamen Olagboye, spécialiste démocratie et gouvernance, séjourne dans le département de Daoukro depuis le 29 septembre, pour préparer les esprits des bénéficiaires de ce programme.
Plusieurs séances de travail ont été organisées avec les autorités administratives, les cadres, les chefs traditionnels, les chefs religieux, les jeunes, les femmes et les ONG pour leur expliquer les objectifs dudit projet. Il s’agit, entre autres, de fournir une assistance technique en vue d’accroitre la compréhension par les députés du rôle de représentation, de favoriser les connexions entre les députés et les acteurs clés dans leurs circonscriptions, par l’organisation de consultations régulières, et de soutenir la création de plateformes de travail, composées de députés et d’acteurs clés, afin de travailler à l’amélioration de la qualité des services.
Mme Allah Brou Florence, député de Daoukro et N’Gattakro sous-préfectures et communes, a remercié le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire pour sa vision, avant de se réjouir pour un tel programme.
Selon l’élue politique, ce programme permettra de favoriser une interaction entre les députés et leurs populations, et améliorera la qualité des services publics.
Des représentants des couches sociales ont tous assuré de leur soutien pour la réussite de ce programme, souhaitant toutefois que la mise en place des plateformes soit quantitative, qualitative, et que les débats se planchent sur les vraies réalités et problèmes des populations, afin de réduire la pauvreté.
(AIP)
Ca/kp
Dans le souci de faire du parlement ivoirien, une institution forte et démocratique, le président Guillaume Soro a sollicité le soutien de certains bailleurs de fonds, afin de permettre à l’Assemblée nationale d’atteindre sa mission auprès des populations.
C’est dans ce cadre que la structure spécialisée dans le financement, l’USAID et son Centre de développement international (SUNY/CID) ont décidé d’apporter cet appui afin d’aider l’Assemblée nationale à atteindre sa mission de formation et d’information des populations.
La délégation de l’USAID conduite par Benjamen Olagboye, spécialiste démocratie et gouvernance, séjourne dans le département de Daoukro depuis le 29 septembre, pour préparer les esprits des bénéficiaires de ce programme.
Plusieurs séances de travail ont été organisées avec les autorités administratives, les cadres, les chefs traditionnels, les chefs religieux, les jeunes, les femmes et les ONG pour leur expliquer les objectifs dudit projet. Il s’agit, entre autres, de fournir une assistance technique en vue d’accroitre la compréhension par les députés du rôle de représentation, de favoriser les connexions entre les députés et les acteurs clés dans leurs circonscriptions, par l’organisation de consultations régulières, et de soutenir la création de plateformes de travail, composées de députés et d’acteurs clés, afin de travailler à l’amélioration de la qualité des services.
Mme Allah Brou Florence, député de Daoukro et N’Gattakro sous-préfectures et communes, a remercié le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire pour sa vision, avant de se réjouir pour un tel programme.
Selon l’élue politique, ce programme permettra de favoriser une interaction entre les députés et leurs populations, et améliorera la qualité des services publics.
Des représentants des couches sociales ont tous assuré de leur soutien pour la réussite de ce programme, souhaitant toutefois que la mise en place des plateformes soit quantitative, qualitative, et que les débats se planchent sur les vraies réalités et problèmes des populations, afin de réduire la pauvreté.
(AIP)
Ca/kp