Abidjan - Le ministre ivoirien en charge de la solidarité, de la famille, de la femme et de l’enfant, Anne Désirée Ouloto, exhorte les femmes à s’approprier les valeurs du leadership, pour accompagner l’élan d’émergence amorcée par la Côte d’ivoire.
Selon le ministre qui présidait, jeudi au centre pilote de Port-Bouet, la cérémonie de rentrée solennelle des institutions de formation et d’éducation féminine (IFEF), les femmes doivent résolument s’engager dans le processus de développement de la Côte d’Ivoire, qui, a-t-elle indiqué, passe par le travail.
"Aujourd’hui elles doivent devenir des femmes leaders et donc elles doivent s’engager dans le développement de la Côte d’Ivoire, dans les initiatives du gouvernement. Les femmes doivent accompagner l’émergence de la Côte d’Ivoire et c’est par le travail qu’elles doivent y arriver", a exprimé Désirée Ouloto.
Se félicitant de cette rentrée des IFEF, le ministre a mis en relief l’importance que requiert pour le gouvernement, la politique d’autonomisation de la femme, indiquant que les IFEF sont les uniques instruments dont dispose l’Etat pour accompagner cette politique et soutenir l’action des femmes.
Pour le premier responsable de la famille en Côte d’Ivoire, il est urgent que les femmes au niveau des IFEF, suivent l’ère du temps pour épouser les réformes en cours au niveau de cette structure étatique, afin, dira-t-elle, " de permettre à la Côte d’ Ivoire d’atteindre cette émergence grâce à l’émergence des femmes".
Cette réforme consistera à tenir compte des nouvelles contraintes, notamment, la question relative à l’introduction des TIC, l’accélération du processus d’alphabétisation, a poursuivi Anne Ouloto, avant d’ajouter que les IFEF doivent dorénavant, aller vers la formation communautaire, vers les femmes à leur lieu de vie quotidienne, notamment en milieu rural afin de donner une chance à ces femmes de pouvoir répondre aux attentes de l’émergence.
Les IFEF, au nombre de 105, reparties sur le territoire ivoirien, sont des structures para scolaires ou des offres alternatives d’éducation, initiées pour former et éduquer la population féminine, afin d’assurer son intégration, son développement socioéconomique et sa pleine participation à l’émergence de la Côte d’Ivoire, souligne-t-on.
(AIP)
gak/kam
Selon le ministre qui présidait, jeudi au centre pilote de Port-Bouet, la cérémonie de rentrée solennelle des institutions de formation et d’éducation féminine (IFEF), les femmes doivent résolument s’engager dans le processus de développement de la Côte d’Ivoire, qui, a-t-elle indiqué, passe par le travail.
"Aujourd’hui elles doivent devenir des femmes leaders et donc elles doivent s’engager dans le développement de la Côte d’Ivoire, dans les initiatives du gouvernement. Les femmes doivent accompagner l’émergence de la Côte d’Ivoire et c’est par le travail qu’elles doivent y arriver", a exprimé Désirée Ouloto.
Se félicitant de cette rentrée des IFEF, le ministre a mis en relief l’importance que requiert pour le gouvernement, la politique d’autonomisation de la femme, indiquant que les IFEF sont les uniques instruments dont dispose l’Etat pour accompagner cette politique et soutenir l’action des femmes.
Pour le premier responsable de la famille en Côte d’Ivoire, il est urgent que les femmes au niveau des IFEF, suivent l’ère du temps pour épouser les réformes en cours au niveau de cette structure étatique, afin, dira-t-elle, " de permettre à la Côte d’ Ivoire d’atteindre cette émergence grâce à l’émergence des femmes".
Cette réforme consistera à tenir compte des nouvelles contraintes, notamment, la question relative à l’introduction des TIC, l’accélération du processus d’alphabétisation, a poursuivi Anne Ouloto, avant d’ajouter que les IFEF doivent dorénavant, aller vers la formation communautaire, vers les femmes à leur lieu de vie quotidienne, notamment en milieu rural afin de donner une chance à ces femmes de pouvoir répondre aux attentes de l’émergence.
Les IFEF, au nombre de 105, reparties sur le territoire ivoirien, sont des structures para scolaires ou des offres alternatives d’éducation, initiées pour former et éduquer la population féminine, afin d’assurer son intégration, son développement socioéconomique et sa pleine participation à l’émergence de la Côte d’Ivoire, souligne-t-on.
(AIP)
gak/kam