Environ 30% des adolescentes sont victimes de viols cette année, a révélé samedi la ministre ivoirienne de la Solidarité Anne Désirée Ouloto.
"En ce qui concerne les violences sexuelles, les adolescentes sont les plus exposées et la tranche d’âge des 10-14 ans est la plus affectée : environ 30% de ces dernières sont victimes de viol en 2014", a noté Mme Ouloto dans une déclaration officielle au nom du gouvernement.
"En Côte d’Ivoire, l’Enquête Démographique et de Santé réalisée en 2011-2012 montre que 31% des adolescentes sont excisées.
En outre, pour l’année scolaire 2012-2013, l’on a comptabilisé 5.076 cas de grossesses en milieu scolaire", a-t-elle relevé par ailleurs.
La ministre a ainsi fait état de la nécessité d’aborder la question des violences faites aux filles et de promouvoir leurs Droits Humains afin de leur assurer protection et sécurité.
Pour elle, les adolescentes devraient être à l’abri de la violence et de la discrimination, conformément aux principes des droits humains internationaux dont chaque être humain doit légitimement jouir.
"La Côte d’Ivoire s’est résolument engagée à lutter contre les violences basées sur le genre, en particulier celles faites aux filles. C’est dans cette perspective que des initiatives ont été prises en vue de la promotion et de la protection des droits fondamentaux des enfants, spécifiquement ceux des filles", a assuré Anne Désirée Ouloto.
Pour le gouvernement ivoirien, les violences basées sur le genre, qu’elles soient commises en situation de paix, de guerre, de catastrophe naturelle ou de post conflit interpellent, de par leur gravité, l’ensemble des Etats et la lutte contre ce fléau constitue une préoccupation majeure de la communauté internationale.
"En ce qui concerne les violences sexuelles, les adolescentes sont les plus exposées et la tranche d’âge des 10-14 ans est la plus affectée : environ 30% de ces dernières sont victimes de viol en 2014", a noté Mme Ouloto dans une déclaration officielle au nom du gouvernement.
"En Côte d’Ivoire, l’Enquête Démographique et de Santé réalisée en 2011-2012 montre que 31% des adolescentes sont excisées.
En outre, pour l’année scolaire 2012-2013, l’on a comptabilisé 5.076 cas de grossesses en milieu scolaire", a-t-elle relevé par ailleurs.
La ministre a ainsi fait état de la nécessité d’aborder la question des violences faites aux filles et de promouvoir leurs Droits Humains afin de leur assurer protection et sécurité.
Pour elle, les adolescentes devraient être à l’abri de la violence et de la discrimination, conformément aux principes des droits humains internationaux dont chaque être humain doit légitimement jouir.
"La Côte d’Ivoire s’est résolument engagée à lutter contre les violences basées sur le genre, en particulier celles faites aux filles. C’est dans cette perspective que des initiatives ont été prises en vue de la promotion et de la protection des droits fondamentaux des enfants, spécifiquement ceux des filles", a assuré Anne Désirée Ouloto.
Pour le gouvernement ivoirien, les violences basées sur le genre, qu’elles soient commises en situation de paix, de guerre, de catastrophe naturelle ou de post conflit interpellent, de par leur gravité, l’ensemble des Etats et la lutte contre ce fléau constitue une préoccupation majeure de la communauté internationale.