LA COPAGEN va en guerre et exhorte la population à faire la différence entre les semences améliorées (traditionnelles) et les semences OGM.
Le président de la coalition pour la protection du patrimoine génétique africain (COPAGEN) Séraphin Biatchin, Jean Paul Sikeli , Koné Kadi secrétaire exécutif et coordonatrice et sa représentation nationale en Cote d’Ivoire , la coalition ivoirienne de biovigilance (CI-BIOv) ont co-animé le 14 octobre 2014 au centre d’hébergement de Korhogo situé au sein de la cathédrale une conférence débat sur la position de la COPAGEN concernant l’avant projet de règlement portant sur la prévention des risques biotechnologiques en Afriques de l’Ouest de l’UEMOA/CEDAO .
Le thème était « quel cadre juridique communautaire pour assurer aux populations de la sous région une meilleure protection contre les risques liés aux OGM ? Proposition de la COPAGEN. Après des exposés sur les méfaits des OGM qui sont sources de nombreuses maladies, dégradation de l’environnement suivi d’ échanges avec les participants issus de la société civile (ong, organisations agricoles, religieux…) les exposants ont exhorté les participants à relayer l’information dans les contrées et hameaux de la région du ‘’poro’’ à faire la différence entre les semences améliorées et les semences OGM. Le cas des récents poissons tilapia envoyés de Brésil ont attiré l’attention des participants.
Une caravane débutera les jours prochains par les communes de Niellé et Diawala au nord de la Cote d ‘Ivoire pour sensibiliser les populations. « Nous allons rencontrer, l’assemblée national le, le conseil économique et social et afin qu’ils soient instruits des risques qu’il ya à aller résolument vers les organismes génétiquement modifiés (OGM) ». ce n’est pas par l’agriculture à travers les semences OGM que la Côte d’Ivoire va développer son agriculture a souligné le président de la COPGEN. les textes qui vont être pris par les députés pour régenter cette question des OGM soient les plus rigide possibles pour préserver nos populations, notre environnement, notre biodiversité, nos semences traditionnelles. Il été noté la présence du coton OGM chez les cotonculteurs du nord de la Côte D’Ivoire.
Benogo TOURE
(Correspondant des savanes)
Le président de la coalition pour la protection du patrimoine génétique africain (COPAGEN) Séraphin Biatchin, Jean Paul Sikeli , Koné Kadi secrétaire exécutif et coordonatrice et sa représentation nationale en Cote d’Ivoire , la coalition ivoirienne de biovigilance (CI-BIOv) ont co-animé le 14 octobre 2014 au centre d’hébergement de Korhogo situé au sein de la cathédrale une conférence débat sur la position de la COPAGEN concernant l’avant projet de règlement portant sur la prévention des risques biotechnologiques en Afriques de l’Ouest de l’UEMOA/CEDAO .
Le thème était « quel cadre juridique communautaire pour assurer aux populations de la sous région une meilleure protection contre les risques liés aux OGM ? Proposition de la COPAGEN. Après des exposés sur les méfaits des OGM qui sont sources de nombreuses maladies, dégradation de l’environnement suivi d’ échanges avec les participants issus de la société civile (ong, organisations agricoles, religieux…) les exposants ont exhorté les participants à relayer l’information dans les contrées et hameaux de la région du ‘’poro’’ à faire la différence entre les semences améliorées et les semences OGM. Le cas des récents poissons tilapia envoyés de Brésil ont attiré l’attention des participants.
Une caravane débutera les jours prochains par les communes de Niellé et Diawala au nord de la Cote d ‘Ivoire pour sensibiliser les populations. « Nous allons rencontrer, l’assemblée national le, le conseil économique et social et afin qu’ils soient instruits des risques qu’il ya à aller résolument vers les organismes génétiquement modifiés (OGM) ». ce n’est pas par l’agriculture à travers les semences OGM que la Côte d’Ivoire va développer son agriculture a souligné le président de la COPGEN. les textes qui vont être pris par les députés pour régenter cette question des OGM soient les plus rigide possibles pour préserver nos populations, notre environnement, notre biodiversité, nos semences traditionnelles. Il été noté la présence du coton OGM chez les cotonculteurs du nord de la Côte D’Ivoire.
Benogo TOURE
(Correspondant des savanes)