Le porte-parole du gouvernement ivoirien Bruno Koné a réitéré jeudi à Abidjan la main tendue du pouvoir à l’opposition concernant la question électorale.
"Il faut que l’opposition reprenne sa place. Le Front populaire ivoirien (FPI, parti de l’ancien président Laurent Gbagbo) est le bienvenu dans les séances de discussions concernant la politique du pays", a déclaré M. Koné à l’issue d’un conseil des ministres.
Le porte-parole du gouvernement a exhorté l’opposition pro- Gbagbo à revoir sa position et à accepter la main tendue afin de retrouver sa place au sein de la commission électorale.
La polémique sur la composition du bureau de la Commission en charge d’organiser les élections en Côte d’Ivoire se poursuit entre le pouvoir et l’opposition.
Les deux instances s’invitent mutuellement à reprendre le chemin du dialogue pour débattre de la question.
Mercredi , la porte-parole de l’Alliance des forces démocratique de Côte d’Ivoire (coalition de l’opposition), Danièle Boni Claverie avait dénoncé un "passage en force" du gouvernement concernant la question liée à la commission électorale, à travers le récent projet de loi portant élargissement du bureau de la Commission électorale indépendante (CEI).
L’opposition proche de l’ex-président Laurent Gbagbo avait décidé de suspendre la participation de ses représentants aux travaux de la CEI après la reconduction, le 5 septembre dernier, de Youssouf Bakayoko à la tête de l’institution en charge des élections en Côte d’Ivoire.
Pour sa part, le porte-parole du gouvernement Bruno Koné avait soutenu que la porte du dialogue avec l’opposition n’a jamais été fermée.
"Nous avons toujours tendu la main à nos frères de l’opposition et nous continuons de leur tendre la main. C’est ensemble que nous, citoyens de ce pays, allons oeuvrer à sa reconstruction et à la réconciliation", avait-il souligné.
"Il faut que l’opposition reprenne sa place. Le Front populaire ivoirien (FPI, parti de l’ancien président Laurent Gbagbo) est le bienvenu dans les séances de discussions concernant la politique du pays", a déclaré M. Koné à l’issue d’un conseil des ministres.
Le porte-parole du gouvernement a exhorté l’opposition pro- Gbagbo à revoir sa position et à accepter la main tendue afin de retrouver sa place au sein de la commission électorale.
La polémique sur la composition du bureau de la Commission en charge d’organiser les élections en Côte d’Ivoire se poursuit entre le pouvoir et l’opposition.
Les deux instances s’invitent mutuellement à reprendre le chemin du dialogue pour débattre de la question.
Mercredi , la porte-parole de l’Alliance des forces démocratique de Côte d’Ivoire (coalition de l’opposition), Danièle Boni Claverie avait dénoncé un "passage en force" du gouvernement concernant la question liée à la commission électorale, à travers le récent projet de loi portant élargissement du bureau de la Commission électorale indépendante (CEI).
L’opposition proche de l’ex-président Laurent Gbagbo avait décidé de suspendre la participation de ses représentants aux travaux de la CEI après la reconduction, le 5 septembre dernier, de Youssouf Bakayoko à la tête de l’institution en charge des élections en Côte d’Ivoire.
Pour sa part, le porte-parole du gouvernement Bruno Koné avait soutenu que la porte du dialogue avec l’opposition n’a jamais été fermée.
"Nous avons toujours tendu la main à nos frères de l’opposition et nous continuons de leur tendre la main. C’est ensemble que nous, citoyens de ce pays, allons oeuvrer à sa reconstruction et à la réconciliation", avait-il souligné.
