Abidjan - Le gouvernement qui entend accroître le niveau de compétitivité des opérateurs locaux intervenants dans l’exportation et/ou la transformation de fèves de cacao a validé en conseil des ministres mercredi, une mesure au compte de laquelle certains d’autres eux, sous la réserve de justifier d’un certain volume d’activités, pourront bénéficier d’exonération de taxes et de redevances.
Pourront bénéficier de cette mesure les opérateurs dont le volume d’activités annuel atteint au moins 150 000 t et représente toutefois moins de 10% de la quantité totale de cacao exportée sur l’année, a indiqué la porte-parole adjointe du gouvernement, Me Affoussiata Bamba-Lamine, lors de son compte rendu de conseil.
Ces exportateurs et/ou transformateurs locaux qui seront "minutieusement triés" par le Conseil café-cacao suivant des critères qu’il aura établi seront notamment exonérés de certaines "taxes à l’exportation" ainsi que de certaines "redevances parafiscales", a-t-elle précisé.
"L’exonération est annuelle et pourra être renouvelé quatre fois de suite", a informé par ailleurs Me Bamba-Lamine, expliquant qu’il s’agit ainsi pour le gouvernement de venir en soutien à ces opérateurs locaux et les aider à gagner en compétitivité.
La mesure vient palier un défaut de financement de leurs activités dont ils ont longtemps pâti, a relevé la porte-parole adjointe du gouvernement.
La Côte d'Ivoire, rappelle-t-on, est le premier producteur mondial de fèves de cacao, avec une production moyenne annuelle de 1.200.000 tonnes, soit 41 % de l'offre mondiale.
Le pays a atteint une production record de plus de 1,7 million de tonne en 2014. Pour la campagne de commercialisation 2013-2014, le cumul des achats de cacao déclarés s’établit à 1 745 515 tonnes, un record jamais atteint.
kg/kam
Pourront bénéficier de cette mesure les opérateurs dont le volume d’activités annuel atteint au moins 150 000 t et représente toutefois moins de 10% de la quantité totale de cacao exportée sur l’année, a indiqué la porte-parole adjointe du gouvernement, Me Affoussiata Bamba-Lamine, lors de son compte rendu de conseil.
Ces exportateurs et/ou transformateurs locaux qui seront "minutieusement triés" par le Conseil café-cacao suivant des critères qu’il aura établi seront notamment exonérés de certaines "taxes à l’exportation" ainsi que de certaines "redevances parafiscales", a-t-elle précisé.
"L’exonération est annuelle et pourra être renouvelé quatre fois de suite", a informé par ailleurs Me Bamba-Lamine, expliquant qu’il s’agit ainsi pour le gouvernement de venir en soutien à ces opérateurs locaux et les aider à gagner en compétitivité.
La mesure vient palier un défaut de financement de leurs activités dont ils ont longtemps pâti, a relevé la porte-parole adjointe du gouvernement.
La Côte d'Ivoire, rappelle-t-on, est le premier producteur mondial de fèves de cacao, avec une production moyenne annuelle de 1.200.000 tonnes, soit 41 % de l'offre mondiale.
Le pays a atteint une production record de plus de 1,7 million de tonne en 2014. Pour la campagne de commercialisation 2013-2014, le cumul des achats de cacao déclarés s’établit à 1 745 515 tonnes, un record jamais atteint.
kg/kam