Nous proposons, les propos du Président de l’Assemblée nationale de France, Monsieur Claude BARTOLONE, à sa descente d’avion le jeudi 23 octobre 2014.
« Mon cher collègue, Monsieur le Président, mes chers collègues députés, pour moi-même ainsi que pour toute la délégation qui m’accompagne, c’est un grand moment. C’est un grand moment parce que nous savons que nous ne mettons pas les pieds dans n’importe quel pays. Nous mettons les pieds dans un pays où nous savons que nous avons des liens d’amitié historiques.
Je n’oublie dans cette période où nous célébrons le centième anniversaire de la guerre de 14-18 et le soixante-dixième anniversaire du débarquement en province, ce qu’a pu représenter le sacrifice de bons nombres de nos enfants pour nous permettre de vivre aujourd’hui en liberté, pour permettre par leur sang de sauver la République. Dans un période marquée par l’histoire, dans une période marquée par les commémorations en France, venir ici au nom de ce passé glorieux qui nous a permis de résister contre les tentatives de faire disparaître la liberté, c’est un moment important pour nous maintenant pour célébrer cet avenir au nom de ces périodes que nous avons pu connaître.
Je suis heureux de pouvoir retrouver mon collègue Président de l’Assemblée nationale qui a été parmi les premiers visiteurs que j’ai eu l’occasion de recevoir peu après mon élection le 2 Juillet 2012 ; je me souvenais de cette date tout à l’heure. Je suis heureux de rencontrer les parlementaires avec qui nous avons des liens d’amitié. Le groupe d’amitié entre nos deux pays est très actif en France et je suis heureux de me retrouver ici, notamment parce que je suis élu d’un département en France, la Seine-Saint Denis où nous avons beaucoup d’enfants en commun, c’est au nom de tout cela que je suis-là. Je suis sûr que les heures qui vont nous permettre de rencontrer les autorités politiques à la fois, les différents responsables politiques seront des moments qui permettront à la suite de la visite rendue par le Président de la République François HOLLANDE de renfoncer encore nos liens d’amitié ».
Propos recueillis et retranscrits par
Hussein KOUAME
« Mon cher collègue, Monsieur le Président, mes chers collègues députés, pour moi-même ainsi que pour toute la délégation qui m’accompagne, c’est un grand moment. C’est un grand moment parce que nous savons que nous ne mettons pas les pieds dans n’importe quel pays. Nous mettons les pieds dans un pays où nous savons que nous avons des liens d’amitié historiques.
Je n’oublie dans cette période où nous célébrons le centième anniversaire de la guerre de 14-18 et le soixante-dixième anniversaire du débarquement en province, ce qu’a pu représenter le sacrifice de bons nombres de nos enfants pour nous permettre de vivre aujourd’hui en liberté, pour permettre par leur sang de sauver la République. Dans un période marquée par l’histoire, dans une période marquée par les commémorations en France, venir ici au nom de ce passé glorieux qui nous a permis de résister contre les tentatives de faire disparaître la liberté, c’est un moment important pour nous maintenant pour célébrer cet avenir au nom de ces périodes que nous avons pu connaître.
Je suis heureux de pouvoir retrouver mon collègue Président de l’Assemblée nationale qui a été parmi les premiers visiteurs que j’ai eu l’occasion de recevoir peu après mon élection le 2 Juillet 2012 ; je me souvenais de cette date tout à l’heure. Je suis heureux de rencontrer les parlementaires avec qui nous avons des liens d’amitié. Le groupe d’amitié entre nos deux pays est très actif en France et je suis heureux de me retrouver ici, notamment parce que je suis élu d’un département en France, la Seine-Saint Denis où nous avons beaucoup d’enfants en commun, c’est au nom de tout cela que je suis-là. Je suis sûr que les heures qui vont nous permettre de rencontrer les autorités politiques à la fois, les différents responsables politiques seront des moments qui permettront à la suite de la visite rendue par le Président de la République François HOLLANDE de renfoncer encore nos liens d’amitié ».
Propos recueillis et retranscrits par
Hussein KOUAME