La Côte d’Ivoire envisage d’investir 500 milliards FCFA (763 millions d’euros, ) par an pendant une décennie dans l’aménagement et la réhabilitation de son réseau routier afin d’accélérer son développement, a annoncé son Premier ministre le 27 octobre. Daniel Kablan Duncan a affirmé que son pays doit consacrer au moins 4% de son PIB à ses infrastructures routières pour atteindre «l’émergence en 2020», un leitmotiv du gouvernement.
M. Duncan s’exprimait à l’occasion lancement des travaux de l’axe Bouna (nord-est ivoirien)-Doropo (frontière du Burkina Faso), long de 91 km, qui sera bitumé pour un coût de 33,5 milliards de FCFA (environ 51 millions d’euros).
Cette route permettra de se rendre au Burkina Faso en «seulement 7 heures» depuis Abidjan, la capitale économique ivoirienne, selon le Premier ministre ivoirien, indiquant que quelque 4,5 millions de tonnes de produits empruntent chaque année les pistes et routes ivoiriennes, entre le Sud (littoral) et le Nord, frontalier avec le Mali ou le Burkina.
E plein redécollage économique depuis trois ans , la Côte d’Ivoire est engagée depuis plusieurs années dans un onéreux programme de réhabilitation de routes ou de construction d’infrastructures. De 9,8% en 2012 après «d’importantes réformes», le taux de croissance a atteint 8,7% en 2013, et de «8 à 10%» sont prévus pour 2014.
M. Duncan s’exprimait à l’occasion lancement des travaux de l’axe Bouna (nord-est ivoirien)-Doropo (frontière du Burkina Faso), long de 91 km, qui sera bitumé pour un coût de 33,5 milliards de FCFA (environ 51 millions d’euros).
Cette route permettra de se rendre au Burkina Faso en «seulement 7 heures» depuis Abidjan, la capitale économique ivoirienne, selon le Premier ministre ivoirien, indiquant que quelque 4,5 millions de tonnes de produits empruntent chaque année les pistes et routes ivoiriennes, entre le Sud (littoral) et le Nord, frontalier avec le Mali ou le Burkina.
E plein redécollage économique depuis trois ans , la Côte d’Ivoire est engagée depuis plusieurs années dans un onéreux programme de réhabilitation de routes ou de construction d’infrastructures. De 9,8% en 2012 après «d’importantes réformes», le taux de croissance a atteint 8,7% en 2013, et de «8 à 10%» sont prévus pour 2014.