Abidjan - Le gouvernement a validé mercredi, en conseil des ministres, un projet de souscription d’un abonnement groupé au fil de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), pour favoriser, à travers l’octroi de plus de ressources, la restructuration, entreprise depuis 2013, de cette agence nationale qui ambitionne de se hisser au rang des plus grandes de ce monde.
Selon la porte-parole adjointe, Me Affoussiata Bamba-Lamine, il s’agit ainsi pour le gouvernement de permettre à son agence nationale de mieux tenir son rôle de pourvoyeurs d’informations tout en bénéficiant d’une certaine autonomie financière.
"C’est ce que nous (le gouvernement) souhaitons. Que ce média puisse être de plus en plus autonome et, ne fonctionne plus seulement qu’avec la subvention que lui accorde l’Etat", a-t-elle signifié, donnant l’information de l’autorisation de cet abonnement groupé, lors de la conférence de presse d’après conseil.
"Il faut comprendre que l’Etat veut se désengager dans le cadre des subventions qu’il accorde aux structures para public. Au niveau de l’AIP il s’agit réellement de lui permettre d’être en mesure de se prendre en charge", a insisté la porte-parole adjointe du gouvernement.
Seront abonnés au fil de l’AIP, au terme du contrat, "la présidence de la République, la Primature, les ministères, les ambassades ivoiriennes à l’étranger de même que les préfectures et sous-préfectures", a indiqué la ministre de la Communication.
"L’abonnement porte sur les informations sous-régionales, et surtout celles nationales concernant le monde agricole, la sécurité, la santé", a-t-elle ajouté.
Très attendu, l’abonnement groupé du gouvernement est l’un des grands projets de l’AIP et, autour duquel elle bâtit depuis 2013 des plans de modernisation de sa structure, de ses équipements, signale-t-on.
Qualifié de "manne importante" par la porte-parole adjointe du gouvernement qui s’est toutefois gardée d’en indiquer le montant, cet abonnement permettra par ailleurs à l’AIP d’offrir un meilleur cadre de travail et de vie aux personnels qui l’animent.
Dans le cadre d’autonomisation de l’AIP d’autres abonnements notamment de toutes les institutions vont suivre celui du gouvernement, a assuré par ailleurs la ministre de la Communication.
kg/kam
Selon la porte-parole adjointe, Me Affoussiata Bamba-Lamine, il s’agit ainsi pour le gouvernement de permettre à son agence nationale de mieux tenir son rôle de pourvoyeurs d’informations tout en bénéficiant d’une certaine autonomie financière.
"C’est ce que nous (le gouvernement) souhaitons. Que ce média puisse être de plus en plus autonome et, ne fonctionne plus seulement qu’avec la subvention que lui accorde l’Etat", a-t-elle signifié, donnant l’information de l’autorisation de cet abonnement groupé, lors de la conférence de presse d’après conseil.
"Il faut comprendre que l’Etat veut se désengager dans le cadre des subventions qu’il accorde aux structures para public. Au niveau de l’AIP il s’agit réellement de lui permettre d’être en mesure de se prendre en charge", a insisté la porte-parole adjointe du gouvernement.
Seront abonnés au fil de l’AIP, au terme du contrat, "la présidence de la République, la Primature, les ministères, les ambassades ivoiriennes à l’étranger de même que les préfectures et sous-préfectures", a indiqué la ministre de la Communication.
"L’abonnement porte sur les informations sous-régionales, et surtout celles nationales concernant le monde agricole, la sécurité, la santé", a-t-elle ajouté.
Très attendu, l’abonnement groupé du gouvernement est l’un des grands projets de l’AIP et, autour duquel elle bâtit depuis 2013 des plans de modernisation de sa structure, de ses équipements, signale-t-on.
Qualifié de "manne importante" par la porte-parole adjointe du gouvernement qui s’est toutefois gardée d’en indiquer le montant, cet abonnement permettra par ailleurs à l’AIP d’offrir un meilleur cadre de travail et de vie aux personnels qui l’animent.
Dans le cadre d’autonomisation de l’AIP d’autres abonnements notamment de toutes les institutions vont suivre celui du gouvernement, a assuré par ailleurs la ministre de la Communication.
kg/kam