Ferkessédougou - Le ministre de la Justice, des Droits de l'homme et des Libertés publiques a exhorté les populations de Ferkessédougou à s'engager résolument pour le respect des droits de l'homme, afin de consolider la paix et la réconciliation nationale, pour une Côte d’Ivoire émergente en 2020.
Lors de conférence inaugurale à la salle polyvalente Soro Kigbafori Guillaume, jeudi, dans le cadre de la 9ème étape de la caravane de promotion des droits de l'homme à Ferkessédougou, Gnénéma Mamadou Coulibaly, a souligné que les droits de l'homme sont des prérogatives attachées à la nature humaine reconnue par les Etats souverains et codifiés dans leur constitution et dans le droit international.
"Ces droits sont dans tous les aspects de la vie. Leur service permet aux hommes et aux femmes de décider de leur vie en toute liberté, dans l'égalité et le respect de la dignité humaine", a-t-il dit, avant de faire savoir que "les droits de l’homme, c’est ce que nous vivons au quotidien".
Selon le ministre Gnénéma Mamadou Coulibaly, les différentes crises qu'a
traversées la Côte d'Ivoire ont entraîné l'effritement du tissu social du fait de la violation flagrante des droits de l'homme.
"L'impasse politique qu'a traversée la Côte d'Ivoire, ces dernières années, a enregistré la violation massive des droits de l'homme, détruit le tissu social, la cohésion sociale, l'union et l'unité de la Nation", a-t-il affirmé, ajoutant que c’est pour empêcher que de tels actes se reproduisent que la caravane des droits de l'homme a été initiée, avec la bénédiction du président de la République, Alassane Ouattara, en vue de faire la promotion des droits de l'homme pour consolider la paix et la réconciliation vraie en Côte d'Ivoire.
Rappelant les horreurs de la crise postélectorale ayant entraîné la mort de 3000 personnes, le ministre a exhorté les populations à la scolarisation des enfants, filles comme garçons, à la solidarité et au respect des droits des autres, au pardon pour les erreurs du passé et au renoncement aux pratiques contraires aux principes des droits de
l'homme tels que la maltraitance de la femme, les mutilations génitales, la vengeance, etc.
"Il faut arrêter de battre la femme, il faut arrêter les mutilations génitales, il faut inscrire les enfants à l'école, il faut accorder le respect à ceux qui sont venus vivre avec nous pour nous aider à développer notre région (...) Nous avons tous souffert de la crise.
Pardonnons-nous", a conseillé le ministre Gnénéma Coulibaly, convaincu que
c'est par le respect des droits de l'homme que la Côte d'Ivoire parviendra à la paix et à la réconciliation afin d'atteindre son émergence, vœu cher au président Alassane Ouattara.
Il a invité les toutes les couches socioprofessionnelles de la région du Tchologo à s'approprier les enseignements
de cette caravane de promotion des droits de l'homme dont Ferkessédougou abrite la 9ème étape, du 27 octobre au 1ernovembre.
Le maire de Ferké, Ouattara Alain Blidia, s'est réjoui du choix de sa commune, donnant l'assurance que ses administrés en tireraient profit, au regard de leur mobilisation à la conférence inaugurale relative au lancement des activités de ladite caravane.
"Nos populations ont soif des questions des droits de l'homme. Elles veulent en savoir davantage sur ce sujet, car lorsqu'elles sont bien imprégnées,les relations humaines et professionnelles deviennent plus viables et plus compréhensibles", a-t-il conclu.
Ti/kp
Lors de conférence inaugurale à la salle polyvalente Soro Kigbafori Guillaume, jeudi, dans le cadre de la 9ème étape de la caravane de promotion des droits de l'homme à Ferkessédougou, Gnénéma Mamadou Coulibaly, a souligné que les droits de l'homme sont des prérogatives attachées à la nature humaine reconnue par les Etats souverains et codifiés dans leur constitution et dans le droit international.
"Ces droits sont dans tous les aspects de la vie. Leur service permet aux hommes et aux femmes de décider de leur vie en toute liberté, dans l'égalité et le respect de la dignité humaine", a-t-il dit, avant de faire savoir que "les droits de l’homme, c’est ce que nous vivons au quotidien".
Selon le ministre Gnénéma Mamadou Coulibaly, les différentes crises qu'a
traversées la Côte d'Ivoire ont entraîné l'effritement du tissu social du fait de la violation flagrante des droits de l'homme.
"L'impasse politique qu'a traversée la Côte d'Ivoire, ces dernières années, a enregistré la violation massive des droits de l'homme, détruit le tissu social, la cohésion sociale, l'union et l'unité de la Nation", a-t-il affirmé, ajoutant que c’est pour empêcher que de tels actes se reproduisent que la caravane des droits de l'homme a été initiée, avec la bénédiction du président de la République, Alassane Ouattara, en vue de faire la promotion des droits de l'homme pour consolider la paix et la réconciliation vraie en Côte d'Ivoire.
Rappelant les horreurs de la crise postélectorale ayant entraîné la mort de 3000 personnes, le ministre a exhorté les populations à la scolarisation des enfants, filles comme garçons, à la solidarité et au respect des droits des autres, au pardon pour les erreurs du passé et au renoncement aux pratiques contraires aux principes des droits de
l'homme tels que la maltraitance de la femme, les mutilations génitales, la vengeance, etc.
"Il faut arrêter de battre la femme, il faut arrêter les mutilations génitales, il faut inscrire les enfants à l'école, il faut accorder le respect à ceux qui sont venus vivre avec nous pour nous aider à développer notre région (...) Nous avons tous souffert de la crise.
Pardonnons-nous", a conseillé le ministre Gnénéma Coulibaly, convaincu que
c'est par le respect des droits de l'homme que la Côte d'Ivoire parviendra à la paix et à la réconciliation afin d'atteindre son émergence, vœu cher au président Alassane Ouattara.
Il a invité les toutes les couches socioprofessionnelles de la région du Tchologo à s'approprier les enseignements
de cette caravane de promotion des droits de l'homme dont Ferkessédougou abrite la 9ème étape, du 27 octobre au 1ernovembre.
Le maire de Ferké, Ouattara Alain Blidia, s'est réjoui du choix de sa commune, donnant l'assurance que ses administrés en tireraient profit, au regard de leur mobilisation à la conférence inaugurale relative au lancement des activités de ladite caravane.
"Nos populations ont soif des questions des droits de l'homme. Elles veulent en savoir davantage sur ce sujet, car lorsqu'elles sont bien imprégnées,les relations humaines et professionnelles deviennent plus viables et plus compréhensibles", a-t-il conclu.
Ti/kp