Les autorités ivoiriennes ont annoncé mercredi la mise en place d'une unité de lutte contre la cybercriminalité.
"Le gouvernement a décidé de la création d'une unité de lutte contre la cybercriminalité transnationale afin de lutter de manière efficace contre le phénomène", a déclaré en substance le porte-parole du gouvernement Bruno Koné à l'issue d'un conseil des ministres.
Il a réitéré l'engagement des autorités ivoiriennes à prendre à bras-le-corps le combat contre ces pratiques qui créent d'énormes préjudices.
L'Assemblée nationale ivoirienne a adopté récemment une loi qui vise à punir l'ensemble des infractions pénales qui se commettent au moyen ou sur un réseau de télécommunication ou un système d'information.
Il s'agit, pour le gouvernement, auteur du projet de loi, de tirer la sonnette d'alarme.
"La Côte d'Ivoire est devenu un paradis pour les cybercriminels qui fuient des pays où la répression existe pour trouver refuge ici et mener leurs activités", a justifié le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné.
Communément appelés "brouteurs" à Abidjan, les cyber-escrocs prolifèrent sur le territoire ivoirien devenu un paradis pour ces malfrats qui constituent une réelle menace pour l'économie nationale.
Des sources officielles révèlent que la cybercriminalité a fait perdre à l'Etat au cours des trois dernières années près de 26 milliards de franc CFA (environ 52 millions USD).
"Le gouvernement a décidé de la création d'une unité de lutte contre la cybercriminalité transnationale afin de lutter de manière efficace contre le phénomène", a déclaré en substance le porte-parole du gouvernement Bruno Koné à l'issue d'un conseil des ministres.
Il a réitéré l'engagement des autorités ivoiriennes à prendre à bras-le-corps le combat contre ces pratiques qui créent d'énormes préjudices.
L'Assemblée nationale ivoirienne a adopté récemment une loi qui vise à punir l'ensemble des infractions pénales qui se commettent au moyen ou sur un réseau de télécommunication ou un système d'information.
Il s'agit, pour le gouvernement, auteur du projet de loi, de tirer la sonnette d'alarme.
"La Côte d'Ivoire est devenu un paradis pour les cybercriminels qui fuient des pays où la répression existe pour trouver refuge ici et mener leurs activités", a justifié le porte-parole du gouvernement, Bruno Koné.
Communément appelés "brouteurs" à Abidjan, les cyber-escrocs prolifèrent sur le territoire ivoirien devenu un paradis pour ces malfrats qui constituent une réelle menace pour l'économie nationale.
Des sources officielles révèlent que la cybercriminalité a fait perdre à l'Etat au cours des trois dernières années près de 26 milliards de franc CFA (environ 52 millions USD).