Madame le ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, a présidé, jeudi 6 novembre, l’ouverture d’un atelier de révision et de validation des indicateurs de performance du Compendium des compétences féminines de Côte d’Ivoire (COCOFCI), défini comme une « cartographie des meilleures des femmes cadres » fournissant des informations utiles et en temps opportun au Président de la République et autres décideurs pour la prise de certaines décisions concernant le recrutement, la nomination ou la représentation des compétences féminines.
Cette rencontre qui a enregistré la présence de Mme Jeanne Peuhmond, conseillère spéciale du Président de la République chargée du Genre et des Affaires sociales, Mme Kandia Camara, ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, et M. Ousmane Diagana, directeur des Opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, vise à sortir des unités quantitatives et qualitatives qui devraient permettre de mesurer l’efficacité et l’efficience du programme.
Se disant « honorée » de présider cet atelier, Mme Ouloto a présenté quelques actions du Gouvernement en faveur de la femme et de la jeune fille. Il s’agit entre autres, de l’ouverture de l’Ecole militaire préparatoire et technique de Bingerville (EMPT) et de gendarmerie aux jeunes filles, la nomination de plusieurs femmes à de hauts postes de responsabilités, le financement de toutes les candidatures féminines par le Président Alassane Ouattara, lors des élections législatives de 2011.
Elle a également annoncé que son ministère a élaboré un profil « Genre de la Côte d’Ivoire», répertoire de femmes cadres, qui sera bientôt présenté au Gouvernement, avant de rappeler qu’elle a organisé un panel de haut niveau, en collaboration avec l’Union africaine, les 2 et 3 octobre 2013, sur le Genre.
Poursuivant son propos, le ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a souligné que cet atelier « mérite d’être encouragé » et que la « question du Genre est inscrite dans le Plan national de développement (PND) parce qu’elle constitue « une préoccupation majeure du Gouvernement ».
« La prise en compte de la question du genre est une exigence pour arriver à l’émergence à l’horizon 2020 », a-t-elle insisté.
De son côté, M. Diagana dont l’institution est partenaire financier du COCOFCI, a déploré le « faible niveau d’éducation des femmes par rapport aux hommes en Côte d’Ivoire ».
« La Côte d’Ivoire a fait beaucoup d’efforts » à ce sujet, mais « le chemin à parcourir reste encore long », a-t-il fait remarquer. Avant de recommander que « l’investissement dans les femmes et les filles », gage du développement inclusif d’un pays ».
La « question du genre sera au cœur des actions de la Banque mondiale » en Côte d’Ivoire, a-t-il promis.
Pour sa part, Mme Peuhmond a rendu hommage au Président de la République, concepteur du COCOFCI, sans oublier les partenaires techniques et financiers pour la création du site web et de l’annuaire devant constituer de base de données fiable, scientifique utilisable par tous.
Elle a particulièrement salué le Centre d’information et de communication gouvernementale (CICG) et son directeur général, Mme Anne Marie Konan Payne, dont les services assurent l’hébergement du site web du COCOFCI.
Le COCOFCI qui dispose, à ce jour, de plus de 10 000 références de femmes cadres de haut niveau (Bac + 4 minimum). Son lancement a eu lieu le 4 octobre 2011, en présence de la Première Dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara.
Cette rencontre qui a enregistré la présence de Mme Jeanne Peuhmond, conseillère spéciale du Président de la République chargée du Genre et des Affaires sociales, Mme Kandia Camara, ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, et M. Ousmane Diagana, directeur des Opérations de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire, vise à sortir des unités quantitatives et qualitatives qui devraient permettre de mesurer l’efficacité et l’efficience du programme.
Se disant « honorée » de présider cet atelier, Mme Ouloto a présenté quelques actions du Gouvernement en faveur de la femme et de la jeune fille. Il s’agit entre autres, de l’ouverture de l’Ecole militaire préparatoire et technique de Bingerville (EMPT) et de gendarmerie aux jeunes filles, la nomination de plusieurs femmes à de hauts postes de responsabilités, le financement de toutes les candidatures féminines par le Président Alassane Ouattara, lors des élections législatives de 2011.
Elle a également annoncé que son ministère a élaboré un profil « Genre de la Côte d’Ivoire», répertoire de femmes cadres, qui sera bientôt présenté au Gouvernement, avant de rappeler qu’elle a organisé un panel de haut niveau, en collaboration avec l’Union africaine, les 2 et 3 octobre 2013, sur le Genre.
Poursuivant son propos, le ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant a souligné que cet atelier « mérite d’être encouragé » et que la « question du Genre est inscrite dans le Plan national de développement (PND) parce qu’elle constitue « une préoccupation majeure du Gouvernement ».
« La prise en compte de la question du genre est une exigence pour arriver à l’émergence à l’horizon 2020 », a-t-elle insisté.
De son côté, M. Diagana dont l’institution est partenaire financier du COCOFCI, a déploré le « faible niveau d’éducation des femmes par rapport aux hommes en Côte d’Ivoire ».
« La Côte d’Ivoire a fait beaucoup d’efforts » à ce sujet, mais « le chemin à parcourir reste encore long », a-t-il fait remarquer. Avant de recommander que « l’investissement dans les femmes et les filles », gage du développement inclusif d’un pays ».
La « question du genre sera au cœur des actions de la Banque mondiale » en Côte d’Ivoire, a-t-il promis.
Pour sa part, Mme Peuhmond a rendu hommage au Président de la République, concepteur du COCOFCI, sans oublier les partenaires techniques et financiers pour la création du site web et de l’annuaire devant constituer de base de données fiable, scientifique utilisable par tous.
Elle a particulièrement salué le Centre d’information et de communication gouvernementale (CICG) et son directeur général, Mme Anne Marie Konan Payne, dont les services assurent l’hébergement du site web du COCOFCI.
Le COCOFCI qui dispose, à ce jour, de plus de 10 000 références de femmes cadres de haut niveau (Bac + 4 minimum). Son lancement a eu lieu le 4 octobre 2011, en présence de la Première Dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara.