Abidjan – Un projet de production intensive de maïs hybride sans Organisme génétiquement modifié (OGM) a été lancé mercredi en vue du renforcement de l’alimentation animale en Côte d'Ivoire.
D’un coût de 8,26 milliards de francs CFA, ce projet dénommé "Complexe agro pastoral de Côte d’Ivoire (CAPCI)" a été créé à l’initiative d’un groupe privé ivoirien.
"Ce projet va contribuer à la lutte contre la faim et l’insécurité alimentaire", a fait savoir le directeur général de CAPCI, Séverin N’zi Kouadio, soulignant qu’il s’inscrit dans une démarche économique et sociale.
Selon M. N’zi, la production se fera sur une superficie de 3000 hectares dans les régions de la Marahoué (2000 ha) et du Bélier (1000 ha). Elle contribuera, à terme, à la création de 5000 emplois. Le projet débutera par la mise en place d’un Groupement d’intérêt économique (GIE) sur une ferme pilote de 900 hectares.
Il a assuré en outre que les travailleurs entreront dans le capital et verront leurs capacités renforcées pour devenir des fermiers à la suite d’une formation dont ils bénéficieront au sein du GIE.
La cérémonie de lancement a été marquée par la signature de quatre conventions avec des partenaires nationaux et internationaux. Il s’agit de la convention avec l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), avec la Société d’exploitation et de développement aéroportuaire aéronautique et météorologique (SODEXAM), avec l’Ecole supérieure d’agronomie (ESA) en vue du renforcement des capacités techniques des producteurs et avec le Groupe PIONEER.
Au nom du ministre de l’Agriculture, le directeur de cabinet, Coulibaly Siaka Minayaha, a salué ce projet qui, selon lui, est un "projet intégré" en direction des populations et de leur bien-être dont l’originalité est le bonheur des populations.
Ce projet comprend quatre composantes, à savoir une composante agricole prenant en compte la culture industrielle et mécanisée de maïs hybride sur des surfaces irriguée par des microstructures fondées par des paysans ruraux locaux organisés en GIE.
La composante industrielle qui concerne la production d’aliments pour l’élevage du bétail et des volailles, la composante avicole avec la création de fermes de production et l’organisation d’un réseau de distribution pour pallier les carences actuelles du marché et enfin la composante recherche, développement et modélisation d’un accompagnement et de formation adaptés au monde rural tant au plan de vue technique qu’administratif.
La signature d’un accord de location des terres avec les propriétaires terriens devrait également se faire sur les différents sites, signale-t-on.
Kkf/kkp/kam
D’un coût de 8,26 milliards de francs CFA, ce projet dénommé "Complexe agro pastoral de Côte d’Ivoire (CAPCI)" a été créé à l’initiative d’un groupe privé ivoirien.
"Ce projet va contribuer à la lutte contre la faim et l’insécurité alimentaire", a fait savoir le directeur général de CAPCI, Séverin N’zi Kouadio, soulignant qu’il s’inscrit dans une démarche économique et sociale.
Selon M. N’zi, la production se fera sur une superficie de 3000 hectares dans les régions de la Marahoué (2000 ha) et du Bélier (1000 ha). Elle contribuera, à terme, à la création de 5000 emplois. Le projet débutera par la mise en place d’un Groupement d’intérêt économique (GIE) sur une ferme pilote de 900 hectares.
Il a assuré en outre que les travailleurs entreront dans le capital et verront leurs capacités renforcées pour devenir des fermiers à la suite d’une formation dont ils bénéficieront au sein du GIE.
La cérémonie de lancement a été marquée par la signature de quatre conventions avec des partenaires nationaux et internationaux. Il s’agit de la convention avec l’Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER), avec la Société d’exploitation et de développement aéroportuaire aéronautique et météorologique (SODEXAM), avec l’Ecole supérieure d’agronomie (ESA) en vue du renforcement des capacités techniques des producteurs et avec le Groupe PIONEER.
Au nom du ministre de l’Agriculture, le directeur de cabinet, Coulibaly Siaka Minayaha, a salué ce projet qui, selon lui, est un "projet intégré" en direction des populations et de leur bien-être dont l’originalité est le bonheur des populations.
Ce projet comprend quatre composantes, à savoir une composante agricole prenant en compte la culture industrielle et mécanisée de maïs hybride sur des surfaces irriguée par des microstructures fondées par des paysans ruraux locaux organisés en GIE.
La composante industrielle qui concerne la production d’aliments pour l’élevage du bétail et des volailles, la composante avicole avec la création de fermes de production et l’organisation d’un réseau de distribution pour pallier les carences actuelles du marché et enfin la composante recherche, développement et modélisation d’un accompagnement et de formation adaptés au monde rural tant au plan de vue technique qu’administratif.
La signature d’un accord de location des terres avec les propriétaires terriens devrait également se faire sur les différents sites, signale-t-on.
Kkf/kkp/kam