Le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Daniel Kablan Duncan, a présidé dans la soirée du jeudi 13 novembre, la réunion de clôture des trois jours de travaux consacrés à la préparation du deuxième Contrat-Désendettement-Développement (C2D) qui couvre la période 2014-2020. Ces travaux ont vu la participation d’une mission française venue des ministères des Affaires étrangères et du développement international, de l’Economie et des Finances et de l’Agence Française de développement, de l’ambassade France en Côte d’Ivoire, de l’agence locale et du Secrétariat technique du C2D.
Décrivant les caractéristiques du deuxième C2D en préparation, S.E.M. Georges Serre qui rendait compte de la rencontre, a révélé que celui-ci était doté d’une enveloppe de 700 milliards, « quasiment le double du 1er qui était de 413 milliards FCFA ».
Ce deuxième C2D qui tiendra compte de l’expérience du premier, « apportera plus de flexibilité de manière à ce que nous puissions être en mesure de décaisser rapidement compte tenu des besoins des populations », a ajouté le diplomate français.
Les six secteurs éducation-formation-emploi; santé ; agriculture-développement rural et biodiversité; développement urbain- eau et assainissement; infrastructures de transport et la justice sont reconduits au titre de ce deuxième C2D, a renseigné l’ambassadeur de France.
Tirant les leçons de la mise en œuvre de ce 1er C2D, les deux parties, a assuré Georges Serre, ont décidé d’accord partie, d’être « efficaces et rapides » comme l’ont demandé le Premier Ministre et le Président de la République.
« L’objectif c’est qu’il y ait moins d’argent possible dans les comptes à la BCEAO pendant la durée du C2D », a-t-il ajouté. Expliquant qu’à cet effet les deux parties ont décidé du principe de la mise en place d’un appui budgétaire ciblé qui sera d’une réserve de 30% de ce nouveau montant.
Concluant son compte-rendu de cette rencontre, l’ambassadeur de France a rappelé que le premier C2D a été totalement engagé. « Tous les programmes sont en cours. Les montants sont décaissés à hauteur de 85% de ce qui avait été engagé. Le pays est aujourd’hui couvert par des programmes C2D et qui aujourd’hui tous engagés. Le délai d’exécution est globalement respecté », a-t-il souligné.
Décrivant les caractéristiques du deuxième C2D en préparation, S.E.M. Georges Serre qui rendait compte de la rencontre, a révélé que celui-ci était doté d’une enveloppe de 700 milliards, « quasiment le double du 1er qui était de 413 milliards FCFA ».
Ce deuxième C2D qui tiendra compte de l’expérience du premier, « apportera plus de flexibilité de manière à ce que nous puissions être en mesure de décaisser rapidement compte tenu des besoins des populations », a ajouté le diplomate français.
Les six secteurs éducation-formation-emploi; santé ; agriculture-développement rural et biodiversité; développement urbain- eau et assainissement; infrastructures de transport et la justice sont reconduits au titre de ce deuxième C2D, a renseigné l’ambassadeur de France.
Tirant les leçons de la mise en œuvre de ce 1er C2D, les deux parties, a assuré Georges Serre, ont décidé d’accord partie, d’être « efficaces et rapides » comme l’ont demandé le Premier Ministre et le Président de la République.
« L’objectif c’est qu’il y ait moins d’argent possible dans les comptes à la BCEAO pendant la durée du C2D », a-t-il ajouté. Expliquant qu’à cet effet les deux parties ont décidé du principe de la mise en place d’un appui budgétaire ciblé qui sera d’une réserve de 30% de ce nouveau montant.
Concluant son compte-rendu de cette rencontre, l’ambassadeur de France a rappelé que le premier C2D a été totalement engagé. « Tous les programmes sont en cours. Les montants sont décaissés à hauteur de 85% de ce qui avait été engagé. Le pays est aujourd’hui couvert par des programmes C2D et qui aujourd’hui tous engagés. Le délai d’exécution est globalement respecté », a-t-il souligné.