Abidjan, la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto, exhorte les femmes à "continuer sans relâche à susciter quotidiennement, dans leurs familles et leurs communautés, des comportements de paix, susceptibles de bâtir une société ivoirienne vivant en harmonie", à l’occasion de la journée nationale de la paix qui sera célébrée samedi à Yamoussoukro.
En effet, fait-elle savoir, la femme, pilier de la famille et donc régulatrice "discrète mais efficace" de la communauté, "est porteuse d’espoir et contribue à bâtir patiemment, obstinément, inlassablement une société harmonieuse, fondée sur la cohésion sociale et la paix durable".
Mme Ouloto explique par ailleurs qu’en admettant que la guerre, les conflits multiformes et tous leurs corollaires sont dans la grande majorité des cas, le fait des hommes, la recherche de la paix, sa consolidation et sa promotion, par contre, peut résulter d’un "engagement fort des femmes et de leur implication effective".
D’où l’intérêt, a-t-elle souligné, de la résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations unies qui vise à favoriser une participation plus accrue des femmes au processus de prévention des conflits, à la résolution et à la reconstruction post-conflit.
Mme Ouloto a relevé aussi que dans un contexte de sortie de crise comme celui de la Côte d’Ivoire, la recherche acharnée de la paix véritable et définitive devant conduire à "une reconstruction inclusive et harmonieuse, pour un développement durable, s’impose à tous comme un défi à relever".
La Côte d’Ivoire commémore samedi, la journée nationale de la paix instituée par le décret n° 96-205 du 07 mars 1996 et qui fait écho à la journée internationale de la paix fixée au 21 septembre de chaque année par la résolution 55/282 du 28 septembre 2001 de l’Assemblée générale des Nations unies.
Cette journée est consacrée au renforcement des idéaux de paix au sein des nations, des peuples et des familles.
La commémoration de cette édition 2014 a pour thème principal : "Femme et paix, quels défis pour une Côte d’Ivoire émergente, à l’horizon 2020 ?" et vise à montrer le rôle déterminant qu’ont toujours joué et que peuvent jouer encore les femmes dans la recherche, la consolidation et la promotion de la paix, indique-t-on.
(AIP)
amak/kkp/kam
En effet, fait-elle savoir, la femme, pilier de la famille et donc régulatrice "discrète mais efficace" de la communauté, "est porteuse d’espoir et contribue à bâtir patiemment, obstinément, inlassablement une société harmonieuse, fondée sur la cohésion sociale et la paix durable".
Mme Ouloto explique par ailleurs qu’en admettant que la guerre, les conflits multiformes et tous leurs corollaires sont dans la grande majorité des cas, le fait des hommes, la recherche de la paix, sa consolidation et sa promotion, par contre, peut résulter d’un "engagement fort des femmes et de leur implication effective".
D’où l’intérêt, a-t-elle souligné, de la résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations unies qui vise à favoriser une participation plus accrue des femmes au processus de prévention des conflits, à la résolution et à la reconstruction post-conflit.
Mme Ouloto a relevé aussi que dans un contexte de sortie de crise comme celui de la Côte d’Ivoire, la recherche acharnée de la paix véritable et définitive devant conduire à "une reconstruction inclusive et harmonieuse, pour un développement durable, s’impose à tous comme un défi à relever".
La Côte d’Ivoire commémore samedi, la journée nationale de la paix instituée par le décret n° 96-205 du 07 mars 1996 et qui fait écho à la journée internationale de la paix fixée au 21 septembre de chaque année par la résolution 55/282 du 28 septembre 2001 de l’Assemblée générale des Nations unies.
Cette journée est consacrée au renforcement des idéaux de paix au sein des nations, des peuples et des familles.
La commémoration de cette édition 2014 a pour thème principal : "Femme et paix, quels défis pour une Côte d’Ivoire émergente, à l’horizon 2020 ?" et vise à montrer le rôle déterminant qu’ont toujours joué et que peuvent jouer encore les femmes dans la recherche, la consolidation et la promotion de la paix, indique-t-on.
(AIP)
amak/kkp/kam
