Pau - L'Université de Pau va contribuer à la création d'une école de génie pétrolier en Côte d'Ivoire, qui souhaite renforcer sa production de pétrole offshore, dans le cadre d'une convention signée lundi avec le gouvernement ivoirien.
Soutenu par le groupe Total, via sa filiale Total E&P Côte d'Ivoire, le partenariat doit permettre le développement de la recherche scientifique "en cohérence avec le développement du secteur pétrolier actuellement en Afrique et les perspectives très prometteuses liées aux récentes découvertes dans des pays africains, dont la Côte d'Ivoire", a expliqué la direction de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour (UPPA).
La convention signée lundi à Pau par le président de l'UPPA, Mohamed Amara, et le ministre ivoirien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Konan Gnamien, prévoit la création d'une Ecole supérieure du pétrole et des métiers associés à Yamoussoukro, la capitale administrative de Côte d'Ivoire.
Une fois ouverte, cette école doit être totalement financée par des fonds ivoiriens.
"L'université va apporter une aide pédagogique et son expérience dans le génie pétrolier", a expliqué à l'AFP Véronique Lazzeri, directrice de l'UFR sciences et techniques de Pau, pour qui "l'idée est de monter une école pour toute l'Afrique de l'Ouest, sachant qu'il y a des perspectives intéressantes".
Un comité de suivi du projet doit être mis en place dans les prochaines semaines et l'école devrait ouvrir ses portes dans "les deux prochaines années", espèrent ses promoteurs. "Nous devons d'abord définir le types de filières, le contenu pédagogique et le nombre d'étudiants qui seront reçus", précise Véronique Lazzeri.
L'idée était née en avril dernier, lors d'une rencontre entre une délégation béarnaise et Koffi N'Guessan, directeur de l'Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.
cor-ban/phc
Soutenu par le groupe Total, via sa filiale Total E&P Côte d'Ivoire, le partenariat doit permettre le développement de la recherche scientifique "en cohérence avec le développement du secteur pétrolier actuellement en Afrique et les perspectives très prometteuses liées aux récentes découvertes dans des pays africains, dont la Côte d'Ivoire", a expliqué la direction de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour (UPPA).
La convention signée lundi à Pau par le président de l'UPPA, Mohamed Amara, et le ministre ivoirien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Konan Gnamien, prévoit la création d'une Ecole supérieure du pétrole et des métiers associés à Yamoussoukro, la capitale administrative de Côte d'Ivoire.
Une fois ouverte, cette école doit être totalement financée par des fonds ivoiriens.
"L'université va apporter une aide pédagogique et son expérience dans le génie pétrolier", a expliqué à l'AFP Véronique Lazzeri, directrice de l'UFR sciences et techniques de Pau, pour qui "l'idée est de monter une école pour toute l'Afrique de l'Ouest, sachant qu'il y a des perspectives intéressantes".
Un comité de suivi du projet doit être mis en place dans les prochaines semaines et l'école devrait ouvrir ses portes dans "les deux prochaines années", espèrent ses promoteurs. "Nous devons d'abord définir le types de filières, le contenu pédagogique et le nombre d'étudiants qui seront reçus", précise Véronique Lazzeri.
L'idée était née en avril dernier, lors d'une rencontre entre une délégation béarnaise et Koffi N'Guessan, directeur de l'Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny de Yamoussoukro.
cor-ban/phc