En prélude à la prochaine campagne nationale de vaccination contre la rougeole, le ministère de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, en collaboration avec le ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, a convié tous les préfets à une réunion, lundi 17 novembre à Abidjan, en vue d’obtenir leur adhésion aux actions à mener dans le cadre de ladite campagne, notamment pour faire face aux préjugés et autres idées reçues, sources de résistances de la part des populations.
Dr Raymonde Goudou Coffie a expliqué à ses hôtes que lors de cette campagne, « chaque enfant recevra une dose de vaccin contre la rougeole, même s’il est déjà vacciné, et une dose de déparasitant pour lutter contre les vers intestinaux ».
L’innovation est qu’une carte de vaccination sera remise en supplément à chaque enfant vacciné, et cela, gratuitement, comme tous les autres actes, a-t-elle souligné. Ajoutant que c’est plus de 10 millions d’enfants âgés de 6 mois à 9 ans qui seront ciblés lors de cette campagne de vaccination, à laquelle sera couplée, une opération de déparasitage visant elle, une population de plus de 3 millions d’enfants de zéro à 9 ans.
« L’élimination de la rougeole à l’horizon 2020 ». C’est le but que s’est fixé le ministre de la Santé à travers cette campagne de vaccination, la quatrième du genre depuis 2005, date à laquelle le gouvernement s’est engagé dans la lutte accélérée contre la rougeole, après avoir adhéré auparavant, en 2001, à l’initiative mondiale de lutte contre cette épidémie. Les trois dernières campagnes se sont déroulées en 2005, 2008 et 2011.
Malgré tous ces efforts, a noté Dr Raymonde Goudou Coffie, « des cas de rougeole, sans flambée épidémique, ont été détectés dans 14 districts sanitaires du pays en 2013 ». Un phénomène dû à l’accumulation d’enfants non vaccinés et d’enfants vulnérables, c’est-à-dire d’enfants vaccinés, mais dont la mauvaise séroconversion n’a pas permis une protection efficace contre la maladie.
Les préfets par la voix de leur porte-parole, M. N’Guessan Jacques, préfet de Dimbokro, ont assuré le ministre de la Santé de leur appui dans cette initiative. Ils ont sollicité une « feuille de route » en vue d’être mieux situés sur leur mission.
Le Directeur national du programme élargi de vaccination, Dr Brou Aka Noel, a rappelé que la rougeole est une maladie virale à transmission interhumaine.
Pour lutter contre cette maladie, la stratégie lutte en vigueur comprend, hormis la campagne de vaccination, le renforcement de la vaccination de routine et de la surveillance épidémiologique, la prise en charge des cas et l’administration de supplément de vitamine A.
Dr Raymonde Goudou Coffie a expliqué à ses hôtes que lors de cette campagne, « chaque enfant recevra une dose de vaccin contre la rougeole, même s’il est déjà vacciné, et une dose de déparasitant pour lutter contre les vers intestinaux ».
L’innovation est qu’une carte de vaccination sera remise en supplément à chaque enfant vacciné, et cela, gratuitement, comme tous les autres actes, a-t-elle souligné. Ajoutant que c’est plus de 10 millions d’enfants âgés de 6 mois à 9 ans qui seront ciblés lors de cette campagne de vaccination, à laquelle sera couplée, une opération de déparasitage visant elle, une population de plus de 3 millions d’enfants de zéro à 9 ans.
« L’élimination de la rougeole à l’horizon 2020 ». C’est le but que s’est fixé le ministre de la Santé à travers cette campagne de vaccination, la quatrième du genre depuis 2005, date à laquelle le gouvernement s’est engagé dans la lutte accélérée contre la rougeole, après avoir adhéré auparavant, en 2001, à l’initiative mondiale de lutte contre cette épidémie. Les trois dernières campagnes se sont déroulées en 2005, 2008 et 2011.
Malgré tous ces efforts, a noté Dr Raymonde Goudou Coffie, « des cas de rougeole, sans flambée épidémique, ont été détectés dans 14 districts sanitaires du pays en 2013 ». Un phénomène dû à l’accumulation d’enfants non vaccinés et d’enfants vulnérables, c’est-à-dire d’enfants vaccinés, mais dont la mauvaise séroconversion n’a pas permis une protection efficace contre la maladie.
Les préfets par la voix de leur porte-parole, M. N’Guessan Jacques, préfet de Dimbokro, ont assuré le ministre de la Santé de leur appui dans cette initiative. Ils ont sollicité une « feuille de route » en vue d’être mieux situés sur leur mission.
Le Directeur national du programme élargi de vaccination, Dr Brou Aka Noel, a rappelé que la rougeole est une maladie virale à transmission interhumaine.
Pour lutter contre cette maladie, la stratégie lutte en vigueur comprend, hormis la campagne de vaccination, le renforcement de la vaccination de routine et de la surveillance épidémiologique, la prise en charge des cas et l’administration de supplément de vitamine A.