Abidjan – Le gouvernement ivoirien a lancé des consultations nationales pour sur le dividende démographique, un instrument visant à créer les meilleures conditions pour un développement économique et social inclusif au bénéfice de l’ensemble des populations.
" L’objectif recherché est de favoriser l’augmentation de l’épargne et de l’investissement et stimuler ainsi la croissance économique ainsi que l’amélioration des conditions de vie afin d’installer le développement et le mieux-être dans la durée", a expliqué le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan lors de l’ouverture, mardi, de ces consultations nationales.
Pour Daniel Kablan Duncan, la transformation de la structure par âge de la population ivoirienne reste un défi pour le gouvernement.
Le Premier ministre ivoirien a affirmé, en effet, que le dynamisme économique actuelle de la Côte d’Ivoire n’a pas encore suffisamment entraîné une hausse importante du produit intérieur brut (PIB) par habitant ni une amélioration totale du niveau et de la qualité de vie des ménages, principalement du fait d’une structure par âge de la population défavorable.
Le dividende démographique est caractérisé par une période de transition démographique d’un pays durant laquelle la proportion de la population en âge de travailler est plus élevée que le nombre de personnes à charge.
" La modification démographique se transformera en dividende démographique par le fait que la population en âge de travailler sera éduquée, qu’elle pourra trouver un emploi et mènera une longue carrière productive, avant qu'elle ne devienne à son tour âgée et dépendante.", a-t-il relevé.
Au regard des avantages liés au dividende démographique, le gouvernement ivoirien a fait le choix d’investir massivement et durablement dans la santé, l'éducation, la création d'emplois et la prévention des mariages précoces, a fait savoir le Premier ministre.
Ces consultations nationales qui s’achèvent le mardi 25 novembre 2014, porteront sur plusieurs problématiques relatives à la nutrition maternelle et infantile, à la santé reproductive, à la planification familiale, à l’égalité des sexes, à la prévalence du VIH – SIDA, à la scolarisation de la jeune fille, à la lutte contre le chômage et à la maîtrise de la migration.
De même que celles relatives à la procréation, à l’âge du 1er mariage, aux croyances religieuses et culturelles qui influent sur l’évolution du ratio de dépendance.
kkf/tm
" L’objectif recherché est de favoriser l’augmentation de l’épargne et de l’investissement et stimuler ainsi la croissance économique ainsi que l’amélioration des conditions de vie afin d’installer le développement et le mieux-être dans la durée", a expliqué le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan lors de l’ouverture, mardi, de ces consultations nationales.
Pour Daniel Kablan Duncan, la transformation de la structure par âge de la population ivoirienne reste un défi pour le gouvernement.
Le Premier ministre ivoirien a affirmé, en effet, que le dynamisme économique actuelle de la Côte d’Ivoire n’a pas encore suffisamment entraîné une hausse importante du produit intérieur brut (PIB) par habitant ni une amélioration totale du niveau et de la qualité de vie des ménages, principalement du fait d’une structure par âge de la population défavorable.
Le dividende démographique est caractérisé par une période de transition démographique d’un pays durant laquelle la proportion de la population en âge de travailler est plus élevée que le nombre de personnes à charge.
" La modification démographique se transformera en dividende démographique par le fait que la population en âge de travailler sera éduquée, qu’elle pourra trouver un emploi et mènera une longue carrière productive, avant qu'elle ne devienne à son tour âgée et dépendante.", a-t-il relevé.
Au regard des avantages liés au dividende démographique, le gouvernement ivoirien a fait le choix d’investir massivement et durablement dans la santé, l'éducation, la création d'emplois et la prévention des mariages précoces, a fait savoir le Premier ministre.
Ces consultations nationales qui s’achèvent le mardi 25 novembre 2014, porteront sur plusieurs problématiques relatives à la nutrition maternelle et infantile, à la santé reproductive, à la planification familiale, à l’égalité des sexes, à la prévalence du VIH – SIDA, à la scolarisation de la jeune fille, à la lutte contre le chômage et à la maîtrise de la migration.
De même que celles relatives à la procréation, à l’âge du 1er mariage, aux croyances religieuses et culturelles qui influent sur l’évolution du ratio de dépendance.
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