Abidjan - Les négociations entre les membres du gouvernement ivoirien et les soldats qui avaient manifesté mardi à Abidjan et dans les villes de l’intérieur du pays vont reprendre ce jeudi après midi, à 15 H, au cabinet au ministère de la défense.
Le porte-parole des mutins, Diabaté Inza du 1er BCP détaché au camp commando d’Abobo avait dit, au terme de la première joournée de négociation, mercredi, à Abidjan qu’ils avaient convenu avec le comité gouvernemental que le bail, le retard sur le bail et la question des grades étaient déjà un acquis.
Le seul point restant à résoudre étant la question des modalités de paiement des arriérés de salaires pour certains militaires.
Quelque 8000 ex-soldats de l’ex-rébellion des forces nouvelles reversés entre 2009 et 2011 par vagues successives dans l’effectif de l’armée régulière conformément à l’accord politique de Ouagadougou, réclamaient leurs arriérés de solde depuis 2009.
Parmi les manifestants se trouvent aussi les militaires qui avaient déserté l’armée régulière pour rejoindre l’ex rébellion en 2002 et qui avaient vu leur salaire suspendu pendant la décennie de la crise militaro-politique de 2002 à 2011. Ces derniers réclament des arriérés de solde ainsi qu’une harmonisation des grades en fonction de leur ancienneté dans l’armée.
(AIP)
sdaf/tm
Le porte-parole des mutins, Diabaté Inza du 1er BCP détaché au camp commando d’Abobo avait dit, au terme de la première joournée de négociation, mercredi, à Abidjan qu’ils avaient convenu avec le comité gouvernemental que le bail, le retard sur le bail et la question des grades étaient déjà un acquis.
Le seul point restant à résoudre étant la question des modalités de paiement des arriérés de salaires pour certains militaires.
Quelque 8000 ex-soldats de l’ex-rébellion des forces nouvelles reversés entre 2009 et 2011 par vagues successives dans l’effectif de l’armée régulière conformément à l’accord politique de Ouagadougou, réclamaient leurs arriérés de solde depuis 2009.
Parmi les manifestants se trouvent aussi les militaires qui avaient déserté l’armée régulière pour rejoindre l’ex rébellion en 2002 et qui avaient vu leur salaire suspendu pendant la décennie de la crise militaro-politique de 2002 à 2011. Ces derniers réclament des arriérés de solde ainsi qu’une harmonisation des grades en fonction de leur ancienneté dans l’armée.
(AIP)
sdaf/tm