Abidjan (Côte d’Ivoire) - Deux projets de loi relatifs au statut de pupille de l’Etat et à la répression de la traite des personnes ont été, adoptés, mardi, en Conseil des ministres présidé par le Président Alassane Ouattara.
Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse, ces deux projets de loi ont été présentés au titre du ministère de la Solidarité, de la famille, de la femme et de l'enfant.
A travers l'adoption du projet de loi portant statut de pupille de l'Etat, le gouvernement, a-t-il expliqué, crée les conditions d'une prise en charge des enfants ou des personnes âgés de zéro à dix-huit ans ‘'abandonnés, orphelins, ou dont les parents sont atteints de toxicomanie ou de troubles mentaux…''.
S'agissant du deuxième projet de loi relatif à la traite des personnes et pratiques assimilées, il met en place selon M. Koné également ministre de la Poste, des technologies de l'information et de la communication, des ‘'mécanismes de protection et de répression''.
La servitude, le prélèvement d'organe humain, l'exploitation sexuelle, le mariage forcé …seront notamment réprimés par cette loi qui sera bientôt sur la table des députés. ‘'Des réseaux criminels se sont mis en place pour exploiter ces trafics (…)'', a déploré le Bruno Nabagné Koné.
LS/hs/APA
Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse, ces deux projets de loi ont été présentés au titre du ministère de la Solidarité, de la famille, de la femme et de l'enfant.
A travers l'adoption du projet de loi portant statut de pupille de l'Etat, le gouvernement, a-t-il expliqué, crée les conditions d'une prise en charge des enfants ou des personnes âgés de zéro à dix-huit ans ‘'abandonnés, orphelins, ou dont les parents sont atteints de toxicomanie ou de troubles mentaux…''.
S'agissant du deuxième projet de loi relatif à la traite des personnes et pratiques assimilées, il met en place selon M. Koné également ministre de la Poste, des technologies de l'information et de la communication, des ‘'mécanismes de protection et de répression''.
La servitude, le prélèvement d'organe humain, l'exploitation sexuelle, le mariage forcé …seront notamment réprimés par cette loi qui sera bientôt sur la table des députés. ‘'Des réseaux criminels se sont mis en place pour exploiter ces trafics (…)'', a déploré le Bruno Nabagné Koné.
LS/hs/APA