Abidjan (Côte d'Ivoire) - Neuf femmes proches de l'ancien Chef de l'Etat Laurent Gbagbo ont été libérées, mercredi soir, à Abidjan après quelques heures de détention dans les locaux de la préfecture de police, a appris APA de source sécuritaire dans la capitale économique ivoirienne.
"Elles ont été libérées vers 22 h00, heure locale et Gmt après leur arrestation à la mi-journée", déclare cette source interrogée par APA, sans préciser ce qui leur était reproché.
Ces femmes avaient manifesté dans la matinée par un sit-in devant le ministère de la justice, leur "solidarité" à leurs époux, pro-Gbagbo qui observent une grève de la faim dans diverses prisons du pays.
Toutes vêtues de blanc, elles étaient arrivées peu après 8h (Gmt et heure locale) pour prendre place à même le sol à l'entrée de l'immeuble ‘' Symphonie'', au Plateau (quartier administratif et d'affaires) abritant le cabinet du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des Droits de l'Homme et des Libertés publiques, Mamadou Gnénéma Coulibaly.
On pouvait lire sur les pancartes qu'elles exhibaient, fièrement, des messages aussi évocateurs les uns que les autres, notamment, ‘' Justice pour les détenus pro-Gbagbo'', ‘' Travailler pour Gbagbo est-il un crime ?'' ou ‘'les pro-Gbagbo ont aussi droit à la vie''.
Ces manifestantes pacifiques protestaient contre la détention ‘'prolongée de nos époux, sans jugement, depuis 3 ans à la Maca et dans plusieurs prisons à travers le pays'', ajoutant qu'elles souhaitent exprimer leurs préoccupations au premier responsable de la justice en Côte d'Ivoire.
Les épouses des détenus de la crise postélectorale, entendaient, également, porter à la connaissance du Garde des Sceaux les conditions ‘' inhumaines'' de détention de leurs parents ‘' livrés à eux-mêmes dans les prisons, souvent sans soins'' et demander ‘' leur jugement''.
C'est après avoir eu une rencontre avec Vabé Mohamed Coulibaly, Directeur de cabinet du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des Droits de l'Homme et des Libertés publiques, qu'elles ont été appréhendées.
LS
"Elles ont été libérées vers 22 h00, heure locale et Gmt après leur arrestation à la mi-journée", déclare cette source interrogée par APA, sans préciser ce qui leur était reproché.
Ces femmes avaient manifesté dans la matinée par un sit-in devant le ministère de la justice, leur "solidarité" à leurs époux, pro-Gbagbo qui observent une grève de la faim dans diverses prisons du pays.
Toutes vêtues de blanc, elles étaient arrivées peu après 8h (Gmt et heure locale) pour prendre place à même le sol à l'entrée de l'immeuble ‘' Symphonie'', au Plateau (quartier administratif et d'affaires) abritant le cabinet du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des Droits de l'Homme et des Libertés publiques, Mamadou Gnénéma Coulibaly.
On pouvait lire sur les pancartes qu'elles exhibaient, fièrement, des messages aussi évocateurs les uns que les autres, notamment, ‘' Justice pour les détenus pro-Gbagbo'', ‘' Travailler pour Gbagbo est-il un crime ?'' ou ‘'les pro-Gbagbo ont aussi droit à la vie''.
Ces manifestantes pacifiques protestaient contre la détention ‘'prolongée de nos époux, sans jugement, depuis 3 ans à la Maca et dans plusieurs prisons à travers le pays'', ajoutant qu'elles souhaitent exprimer leurs préoccupations au premier responsable de la justice en Côte d'Ivoire.
Les épouses des détenus de la crise postélectorale, entendaient, également, porter à la connaissance du Garde des Sceaux les conditions ‘' inhumaines'' de détention de leurs parents ‘' livrés à eux-mêmes dans les prisons, souvent sans soins'' et demander ‘' leur jugement''.
C'est après avoir eu une rencontre avec Vabé Mohamed Coulibaly, Directeur de cabinet du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des Droits de l'Homme et des Libertés publiques, qu'elles ont été appréhendées.
LS