Abidjan - Le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, a annoncé, à son retour de Paris, une mission du gouvernement et du secteur privé ivoirien dans plusieurs villes françaises dans le second semestre de 2015.
Faisant un bilan partiel de sa rencontre avec le (Mouvement des entreprises françaises (MEDEF), Kablan Duncan a indiqué qu’il s’est agi, pour lui, d’entretenir les hommes d’affaires français sur les potentialités qui s’offrent à eux en Côte d’Ivoire dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’énergie et des infrastructures.
"Un des acquis de cette rencontre, dira-t-il, c’est la prochaine grande mission de prospection du MEDEF en Côte d’Ivoire dans le premier semestre de l’année 2015", non sans ajouter qu’en retour des Ivoiriens (le gouvernement et le secteur privé) se rendront, courant second semestre de l’année prochaine, dans les villes françaises comme Paris, Lyon, Marseille, Rouen, etc.
Le chef du gouvernement ivoirien qui a été accueilli à sa descente d’avion, à l’aéroport international de Port-Bouët, par le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, s’est réjoui de la qualité des relations économiques entre la France et la Côte d’Ivoire qui, a-t-il ajouté, "augurent de lendemains encore meilleurs à compter de 2015, notamment l’accroissement des investissements entre les deux économies".
Daniel Kablan Duncan s’est rendu à Paris, à la demande du président de la République, Alassane Ouattara, pour signer la deuxième tranche du Contrat de désendettement et de développement (C2D) avec le ministre français des Affaires étrangères et du Développement international, Laurent Fabius.
D’un montant de 638 milliards de FCFA (un milliard d’euros), ce 2ème C2D sera investi dans les secteurs prioritaires de "l’Education-formation, l’Agriculture, la santé, les routes et autres grandes infrastructures", a révélé le chef du gouvernement ivoirien.
Le premier C2D a été signé le 31 décembre 2012, d’un montant de 413 milliards de FCFA, définissait le cadre général d’application et de mise en œuvre de l’effort bilatéral additionnel de la France relatif aux créances françaises d’aide au développement en complément des mesures d’annulation de la dette publique extérieure de la Côte d’Ivoire décidées par l’ensemble des bailleurs de fonds.
(AIP)
kp
Faisant un bilan partiel de sa rencontre avec le (Mouvement des entreprises françaises (MEDEF), Kablan Duncan a indiqué qu’il s’est agi, pour lui, d’entretenir les hommes d’affaires français sur les potentialités qui s’offrent à eux en Côte d’Ivoire dans les secteurs de l’agroalimentaire, de l’énergie et des infrastructures.
"Un des acquis de cette rencontre, dira-t-il, c’est la prochaine grande mission de prospection du MEDEF en Côte d’Ivoire dans le premier semestre de l’année 2015", non sans ajouter qu’en retour des Ivoiriens (le gouvernement et le secteur privé) se rendront, courant second semestre de l’année prochaine, dans les villes françaises comme Paris, Lyon, Marseille, Rouen, etc.
Le chef du gouvernement ivoirien qui a été accueilli à sa descente d’avion, à l’aéroport international de Port-Bouët, par le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, s’est réjoui de la qualité des relations économiques entre la France et la Côte d’Ivoire qui, a-t-il ajouté, "augurent de lendemains encore meilleurs à compter de 2015, notamment l’accroissement des investissements entre les deux économies".
Daniel Kablan Duncan s’est rendu à Paris, à la demande du président de la République, Alassane Ouattara, pour signer la deuxième tranche du Contrat de désendettement et de développement (C2D) avec le ministre français des Affaires étrangères et du Développement international, Laurent Fabius.
D’un montant de 638 milliards de FCFA (un milliard d’euros), ce 2ème C2D sera investi dans les secteurs prioritaires de "l’Education-formation, l’Agriculture, la santé, les routes et autres grandes infrastructures", a révélé le chef du gouvernement ivoirien.
Le premier C2D a été signé le 31 décembre 2012, d’un montant de 413 milliards de FCFA, définissait le cadre général d’application et de mise en œuvre de l’effort bilatéral additionnel de la France relatif aux créances françaises d’aide au développement en complément des mesures d’annulation de la dette publique extérieure de la Côte d’Ivoire décidées par l’ensemble des bailleurs de fonds.
(AIP)
kp