Daloa - Des agents du ministère des Ressources animales et halieutiques des régions du centre-ouest et du sud-ouest ont inspecté, vendredi, des restaurants et grandes surfaces, appelés communément supermarchés, pour vérifier la qualité des plats et la validité des produits servis aux consommateurs.
Cette inspection qui est une grande première à Daloa, a été initiée par le Projet d’amélioration de la santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire (PASA-HPV), dans le cadre d’un atelier de renforcement des capacités techniques des agents vétérinaires du ministère des Ressources animales et halieutiques.
L’objectif recherché est de contribuer à l’amélioration des conditions de préparation et de mise à disposition de la population des denrées animales et d’origine animale de qualité, afin d’éviter les intoxications alimentaires selon le coordonnateur du projet, Dr. Dagnogo Komissiri.
Pour le docteur, ce type d’inspection a surtout pour but de protéger le consommateur.
Le vétérinaire, a-t-il dit, n’a pas seulement pour rôle de soigner ou de vacciner les animaux, mais en plus de cela, il a une compétence pour contribuer à l’amélioration de la santé publique, à travers l’amélioration de la santé animale.
Selon lui, 60% des gènes pathogènes qui infectent les hommes aujourd’hui, proviennent du monde animal.
En protégeant les animaux contre ces pathogènes, l’on ne fera que protéger les hommes, fait-il savoir, ajoutant que ce sont les agents vétérinaires qui délivrent les certificats pour sortir ou faire entrer de la viande dans un pays.
Au terme de ces inspections, le coordonnateur du projet et organisateur de l’atelier a insisté sur le fait que la population doit savoir que les agents vétérinaires sont des officiers de police judiciaire, c’est-à-dire des agents assermentés et habilités à contrôler les restaurants, les grandes surfaces et partout où l’on peut exposer des denrées alimentaires animales ou d’origine animale.
Yy/kp
Cette inspection qui est une grande première à Daloa, a été initiée par le Projet d’amélioration de la santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire (PASA-HPV), dans le cadre d’un atelier de renforcement des capacités techniques des agents vétérinaires du ministère des Ressources animales et halieutiques.
L’objectif recherché est de contribuer à l’amélioration des conditions de préparation et de mise à disposition de la population des denrées animales et d’origine animale de qualité, afin d’éviter les intoxications alimentaires selon le coordonnateur du projet, Dr. Dagnogo Komissiri.
Pour le docteur, ce type d’inspection a surtout pour but de protéger le consommateur.
Le vétérinaire, a-t-il dit, n’a pas seulement pour rôle de soigner ou de vacciner les animaux, mais en plus de cela, il a une compétence pour contribuer à l’amélioration de la santé publique, à travers l’amélioration de la santé animale.
Selon lui, 60% des gènes pathogènes qui infectent les hommes aujourd’hui, proviennent du monde animal.
En protégeant les animaux contre ces pathogènes, l’on ne fera que protéger les hommes, fait-il savoir, ajoutant que ce sont les agents vétérinaires qui délivrent les certificats pour sortir ou faire entrer de la viande dans un pays.
Au terme de ces inspections, le coordonnateur du projet et organisateur de l’atelier a insisté sur le fait que la population doit savoir que les agents vétérinaires sont des officiers de police judiciaire, c’est-à-dire des agents assermentés et habilités à contrôler les restaurants, les grandes surfaces et partout où l’on peut exposer des denrées alimentaires animales ou d’origine animale.
Yy/kp
