Bouaké - Le ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désiré Ouloto, a installé, samedi, à Bouaké, un réseau de 50 hommes leaders pour la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG).
La ministre Ouloto qui estime que l’aboutissement de la lutte contre les VBG nécessite une implication des hommes de bonne volonté dans la sensibilisation, a félicité et encouragé les membres du réseau, insistant sur l’importance de leur combat pour une vie sociale harmonieuse.
Elle a indiqué que la mise en place de ce réseau s’inscrit dans la stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre initié par le gouvernement qui a décidé de combattre ce genre de comportements sous toutes ses formes.
Mme Anne Ouloto a fait savoir que ses attentes, par rapport à ce réseau, sont grandes et importantes, et constituent des chantiers que son département ministériel, les ONG, le Système des Nations Unies et les partenaires techniques et financiers s’engageront à suivre pour qu’il n’y ait plus d’abus et que les femmes et les hommes de Côte d’Ivoire jouissent pleinement de leurs droits.
"De toutes les formes de violences basées sur le genre, les violences sexuelles sont les plus pernicieuses, les plus têtues, les plus virulentes et les plus dangereuses pour la femme", a-t-elle-souligné, invitant les communautés à une synergie d’actions pour un changement de comportement durable.
A en croire la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, en Côte d’Ivoire, entre 2011 et 2013, 748 incidents de violences sexuelles liées à la crise postélectorale ont été enregistrés.
Aujourd’hui, plus de deux viols et trois incidents de violences domestiques, par jour, sont pris en charge par les services de 43 plateformes d’ONG de lutte contre les violences basées sur le genre sur l’étendue du territoire.
Nbf/kp
La ministre Ouloto qui estime que l’aboutissement de la lutte contre les VBG nécessite une implication des hommes de bonne volonté dans la sensibilisation, a félicité et encouragé les membres du réseau, insistant sur l’importance de leur combat pour une vie sociale harmonieuse.
Elle a indiqué que la mise en place de ce réseau s’inscrit dans la stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre initié par le gouvernement qui a décidé de combattre ce genre de comportements sous toutes ses formes.
Mme Anne Ouloto a fait savoir que ses attentes, par rapport à ce réseau, sont grandes et importantes, et constituent des chantiers que son département ministériel, les ONG, le Système des Nations Unies et les partenaires techniques et financiers s’engageront à suivre pour qu’il n’y ait plus d’abus et que les femmes et les hommes de Côte d’Ivoire jouissent pleinement de leurs droits.
"De toutes les formes de violences basées sur le genre, les violences sexuelles sont les plus pernicieuses, les plus têtues, les plus virulentes et les plus dangereuses pour la femme", a-t-elle-souligné, invitant les communautés à une synergie d’actions pour un changement de comportement durable.
A en croire la ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, en Côte d’Ivoire, entre 2011 et 2013, 748 incidents de violences sexuelles liées à la crise postélectorale ont été enregistrés.
Aujourd’hui, plus de deux viols et trois incidents de violences domestiques, par jour, sont pris en charge par les services de 43 plateformes d’ONG de lutte contre les violences basées sur le genre sur l’étendue du territoire.
Nbf/kp