Le Premier ministre, Daniel Kablan DUNCAN, a procédé, vendredi 5 décembre, au camp Gallieni à Abidjan-Plateau, à l’ouverture des Journées portes ouvertes sur les droits de l’homme et le droit international humanitaire dans les armées, organisées par l’état-major des Armées, en collaboration avec la Coordination africaine des droits de l’homme pour les armées (CADHA), du 4 au 6 décembre 2014.
Ces Journées visent à promouvoir les droits de l’homme et le droit international humanitaire dans les armées afin que cessent toutes sortes d’exactions, de violences sexuelles, de brimades, de règlements de compte des forces militaires sur les populations civiles.
elles s’expliquent également par la volonté des autorités militaires d’exécuter les missions régaliennes des armées en respectant les dispositions des droits de l’homme et le droit international humanitaire par tous les éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et des Forces de sécurité, ceci au bénéfice des populations dont la sécurité leur incombe.
« Tout bouge positivement au niveau du respect et de la promotion des droits de l’homme en Côte d’Ivoire », s’est félicité le Chef du Gouvernement qui a « salué cette initiative devant permettre d’inculquer des valeurs d’esprit républicain » aux forces armées.
Il a déclaré que « le bond de 20 places que la Côte d’Ivoire a fait dans le classement Doing Business 2015 de la Banque mondiale, 147 sur 189 pays et l’occupation du 2è rang dans le top 10 des pays réformateurs au monde» dénote « des progrès fondamentaux qui ont été faits» parce que le respect des droits de l’homme fait partie des exigences de l’institution financière internationale. Avant de promettre que « le Gouvernement travaillera davantage afin d’améliorer la promotion et le respect des droits de l’homme dans les armées ».
Pour le chef d’état-major des FRCI, le général de Corps d’armée, Soumaïla BAKAYOKO, « ces Journées sont l’expression de la volonté ferme de montrer aux populations que les FRCI s’inscrivent dans le respect et la promotion des droits de l’homme ».
« C’est l’occasion pour nous », a-t-il ajouté, « de redorer l’image des militaires ternie en les formant aux droits humains pour protéger et servir ».
Etaient présents à cette cérémonie le ministre auprès du Président de la République chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, et les plus hautes autorités militaires.
Ces Journées visent à promouvoir les droits de l’homme et le droit international humanitaire dans les armées afin que cessent toutes sortes d’exactions, de violences sexuelles, de brimades, de règlements de compte des forces militaires sur les populations civiles.
elles s’expliquent également par la volonté des autorités militaires d’exécuter les missions régaliennes des armées en respectant les dispositions des droits de l’homme et le droit international humanitaire par tous les éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI) et des Forces de sécurité, ceci au bénéfice des populations dont la sécurité leur incombe.
« Tout bouge positivement au niveau du respect et de la promotion des droits de l’homme en Côte d’Ivoire », s’est félicité le Chef du Gouvernement qui a « salué cette initiative devant permettre d’inculquer des valeurs d’esprit républicain » aux forces armées.
Il a déclaré que « le bond de 20 places que la Côte d’Ivoire a fait dans le classement Doing Business 2015 de la Banque mondiale, 147 sur 189 pays et l’occupation du 2è rang dans le top 10 des pays réformateurs au monde» dénote « des progrès fondamentaux qui ont été faits» parce que le respect des droits de l’homme fait partie des exigences de l’institution financière internationale. Avant de promettre que « le Gouvernement travaillera davantage afin d’améliorer la promotion et le respect des droits de l’homme dans les armées ».
Pour le chef d’état-major des FRCI, le général de Corps d’armée, Soumaïla BAKAYOKO, « ces Journées sont l’expression de la volonté ferme de montrer aux populations que les FRCI s’inscrivent dans le respect et la promotion des droits de l’homme ».
« C’est l’occasion pour nous », a-t-il ajouté, « de redorer l’image des militaires ternie en les formant aux droits humains pour protéger et servir ».
Etaient présents à cette cérémonie le ministre auprès du Président de la République chargé de la Défense, Paul Koffi Koffi, et les plus hautes autorités militaires.