− Excellence Monsieur l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire ;
− Monsieur le Directeur de l’AFD ;
− Monsieur le Directeur du CEFEB ;
− Monsieur le Directeur Adjoint du CEFEB
− Messieurs les Directeurs Généraux de l’Administration Publique et Privée
− Monsieur le Président de l’Association des Diplômés et Stagiaires du CEFEB
− Mesdames et Messieurs les Membres de l’ADS-CEFEB;
− Honorables invités,
− Mesdames et Messieurs,
La célébration du 50ème anniversaire du Centre d’Etudes Financières Economiques et Bancaires me donne l’occasion de vous adresser mes salutations cordiales.
Je voudrais y ajouter mes félicitations et encouragements à l’AFD pour sa contribution significative au développement, dans le monde et particulièrement en Côte d’Ivoire, à travers ses interventions à multiples facettes.
Je voudrais également saisir cette opportunité pour traduire la reconnaissance du Gouvernement ivoirien à Son Excellence Monsieur Georges Serre, Ambassadeur de la République française en Côte d’Ivoire et à travers lui, aux autorités françaises, pour leur engagement au renforcement de la coopération économique et financière entre nos deux pays.
Il me plaît de remercier particulièrement Monsieur le Directeur du CEFEB ainsi que ses équipes techniques, dont le dynamisme a fait de cette institution depuis un demi-siècle un véritable instrument de formation des cadres issus de tous les continents.
Mon propos de ce soir va s’articuler sur deux points :
- l’apport du CEFEB au renforcement des capacités des cadres ivoiriens ;
- la coopération entre l’AFD et l’Etat de Côte d’ivoire
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
Depuis l’amorce de la relance économique, la Côte d’Ivoire continue de bénéficier de la solidarité et de l’appui de ses partenaires, notamment la France à travers l’AFD, dans la continuité du partenariat historique qui lie nos deux pays.
L’évènement qui nous réunit aujourd’hui s’inscrit dans la dynamique de la consolidation de ce partenariat, à travers la célébration d’une institution au service de la formation et du renforcement des capacités de nos cadres.
Pour rappel, à ce jour, en Côte d’Ivoire, ce sont environ 350 cadres issus des différentes administrations qui ont été formés dont 190 diplômés et 160 stagiaires et séminaristes. Ce nombre relativement important de diplômés a permis de créer une Association dénommée ADS-CEFEB.
Mesdames et Messieurs
Face aux défis nouveaux auxquels la Côte d’Ivoire est confrontée dans le cadre de l’émergence, le CEFEB reste et demeure un cadre pourvoyeur de compétences.
En effet, la Côte d’Ivoire est en route pour atteindre l’émergence à l’horizon 2020 et pour y arriver, elle doit relever de nombreux défis, notamment l’approfondissement de son secteur financier et la dynamisation de son économie. Cela passe par la disponibilité de cadres compétents et bien formés.
Le CEFEB qui est un centre d’excellence a un rôle à jouer, notamment dans le renforcement des capacités des cadres ivoiriens.
Dans le cadre de cette notre coopération, il faut une plus grande participation du CEFEB, par l’augmentation du nombre de diplômés et de stagiaires et séminaristes. Cela veut simplement dire envisager la possibilité d’accroitre le nombre de candidats entrant dans les différentes filières.
L’augmentation pour la Côte d’Ivoire du nombre de diplômés sera ressentie comme un apport considérable du CEFEB, telles sont nos attentes pour les années à venir.
Mesdames et messieurs,
Permettez-moi de revenir sur la coopération entre l’AFD et l’Etat de Côte d’ivoire qui est le deuxième point de mon propos de ce soir. Cette coopération reste dynamique avec les récentes contributions de l’AFD à la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D).
Le déblocage par la France de plus d’un milliard d’euros (soit environ 700 milliards de FCFA) en faveur de la Côte d’Ivoire constitue la deuxième tranche du contrat de désendettement et de développement (C2D) pour la période 2014-2020 conclu entre la Côte d’Ivoire et la France.
Cette tranche couvrira les secteurs prioritaires pour la Côte d’Ivoire et la France: à savoir l’éducation, la santé, le développement urbain et les infrastructures de transports, tout en poursuivant une coopération en matière de justice. La tranche inclut la mise en place d’un appui budgétaire ciblé qui représente une réserve de 30% de ce nouveau montant.
Un tel mécanisme de financement contribue efficacement à la relance des investissements principalement dans les secteurs sociaux et les infrastructures.
Mesdames et messieurs
Il s’agit là, d’un acte fort quant à l’engagement de l’AFD à accompagner la politique de relance économique du Gouvernement qui s’adosse, dans une large mesure, sur le dynamisme du secteur privé, et particulièrement sur le financement des secteurs sociaux, comme vecteur de la réduction de la pauvreté.
Nous souhaitons que l’engagement de l’AFD aussi bien aux cotés de l’Etat que du secteur privé se poursuive et soit suivi par l’ensemble de nos partenaires pour traduire en acte la volonté des autorités ivoiriennes de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
Avec l’effectivité de ces financements, nous sommes bien engagés sur les sentiers de la croissance économique qui devront dès 2015, se matérialiser par un taux de croissance de l’ordre de plus de 10% et un progrès au niveau social.
Pour notre part, je voudrais réitérer que nous sommes résolus à créer les conditions d’amélioration de la compétitivité de l’économie, pour tirer le meilleur profit des contributions substantielles de nos partenaires et susciter l’attrait des capitaux étrangers en Côte d’Ivoire.
C’est le lieu de réaffirmer davantage notre engagement à gérer de façon optimale les fonds mis à notre disposition.
Nous ferons donc en sorte que l’accompagnement technique et financier de nos partenaires se maintienne et se renforce, en appui à la politique de l’Etat, en vue de garantir l’émergence d’une nation forte, stable et prospère.
Assuré de l’accompagnement de l’AFD au processus de développement économique et social dans le monde et singulièrement en Côte d’Ivoire, je voudrais réitérer mes remerciements à Son Excellence Monsieur l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire et souhaiter la poursuite de cette cérémonie de vernissage de l’exposition des 50 ans du CEFEB.
Merci de votre aimable attention.
Nialé KABA ,
Ministre auprès du Premier ministre chargé de l’Economie et des Finances
− Monsieur le Directeur de l’AFD ;
− Monsieur le Directeur du CEFEB ;
− Monsieur le Directeur Adjoint du CEFEB
− Messieurs les Directeurs Généraux de l’Administration Publique et Privée
− Monsieur le Président de l’Association des Diplômés et Stagiaires du CEFEB
− Mesdames et Messieurs les Membres de l’ADS-CEFEB;
− Honorables invités,
− Mesdames et Messieurs,
La célébration du 50ème anniversaire du Centre d’Etudes Financières Economiques et Bancaires me donne l’occasion de vous adresser mes salutations cordiales.
Je voudrais y ajouter mes félicitations et encouragements à l’AFD pour sa contribution significative au développement, dans le monde et particulièrement en Côte d’Ivoire, à travers ses interventions à multiples facettes.
Je voudrais également saisir cette opportunité pour traduire la reconnaissance du Gouvernement ivoirien à Son Excellence Monsieur Georges Serre, Ambassadeur de la République française en Côte d’Ivoire et à travers lui, aux autorités françaises, pour leur engagement au renforcement de la coopération économique et financière entre nos deux pays.
Il me plaît de remercier particulièrement Monsieur le Directeur du CEFEB ainsi que ses équipes techniques, dont le dynamisme a fait de cette institution depuis un demi-siècle un véritable instrument de formation des cadres issus de tous les continents.
Mon propos de ce soir va s’articuler sur deux points :
- l’apport du CEFEB au renforcement des capacités des cadres ivoiriens ;
- la coopération entre l’AFD et l’Etat de Côte d’ivoire
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
Depuis l’amorce de la relance économique, la Côte d’Ivoire continue de bénéficier de la solidarité et de l’appui de ses partenaires, notamment la France à travers l’AFD, dans la continuité du partenariat historique qui lie nos deux pays.
L’évènement qui nous réunit aujourd’hui s’inscrit dans la dynamique de la consolidation de ce partenariat, à travers la célébration d’une institution au service de la formation et du renforcement des capacités de nos cadres.
Pour rappel, à ce jour, en Côte d’Ivoire, ce sont environ 350 cadres issus des différentes administrations qui ont été formés dont 190 diplômés et 160 stagiaires et séminaristes. Ce nombre relativement important de diplômés a permis de créer une Association dénommée ADS-CEFEB.
Mesdames et Messieurs
Face aux défis nouveaux auxquels la Côte d’Ivoire est confrontée dans le cadre de l’émergence, le CEFEB reste et demeure un cadre pourvoyeur de compétences.
En effet, la Côte d’Ivoire est en route pour atteindre l’émergence à l’horizon 2020 et pour y arriver, elle doit relever de nombreux défis, notamment l’approfondissement de son secteur financier et la dynamisation de son économie. Cela passe par la disponibilité de cadres compétents et bien formés.
Le CEFEB qui est un centre d’excellence a un rôle à jouer, notamment dans le renforcement des capacités des cadres ivoiriens.
Dans le cadre de cette notre coopération, il faut une plus grande participation du CEFEB, par l’augmentation du nombre de diplômés et de stagiaires et séminaristes. Cela veut simplement dire envisager la possibilité d’accroitre le nombre de candidats entrant dans les différentes filières.
L’augmentation pour la Côte d’Ivoire du nombre de diplômés sera ressentie comme un apport considérable du CEFEB, telles sont nos attentes pour les années à venir.
Mesdames et messieurs,
Permettez-moi de revenir sur la coopération entre l’AFD et l’Etat de Côte d’ivoire qui est le deuxième point de mon propos de ce soir. Cette coopération reste dynamique avec les récentes contributions de l’AFD à la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D).
Le déblocage par la France de plus d’un milliard d’euros (soit environ 700 milliards de FCFA) en faveur de la Côte d’Ivoire constitue la deuxième tranche du contrat de désendettement et de développement (C2D) pour la période 2014-2020 conclu entre la Côte d’Ivoire et la France.
Cette tranche couvrira les secteurs prioritaires pour la Côte d’Ivoire et la France: à savoir l’éducation, la santé, le développement urbain et les infrastructures de transports, tout en poursuivant une coopération en matière de justice. La tranche inclut la mise en place d’un appui budgétaire ciblé qui représente une réserve de 30% de ce nouveau montant.
Un tel mécanisme de financement contribue efficacement à la relance des investissements principalement dans les secteurs sociaux et les infrastructures.
Mesdames et messieurs
Il s’agit là, d’un acte fort quant à l’engagement de l’AFD à accompagner la politique de relance économique du Gouvernement qui s’adosse, dans une large mesure, sur le dynamisme du secteur privé, et particulièrement sur le financement des secteurs sociaux, comme vecteur de la réduction de la pauvreté.
Nous souhaitons que l’engagement de l’AFD aussi bien aux cotés de l’Etat que du secteur privé se poursuive et soit suivi par l’ensemble de nos partenaires pour traduire en acte la volonté des autorités ivoiriennes de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
Avec l’effectivité de ces financements, nous sommes bien engagés sur les sentiers de la croissance économique qui devront dès 2015, se matérialiser par un taux de croissance de l’ordre de plus de 10% et un progrès au niveau social.
Pour notre part, je voudrais réitérer que nous sommes résolus à créer les conditions d’amélioration de la compétitivité de l’économie, pour tirer le meilleur profit des contributions substantielles de nos partenaires et susciter l’attrait des capitaux étrangers en Côte d’Ivoire.
C’est le lieu de réaffirmer davantage notre engagement à gérer de façon optimale les fonds mis à notre disposition.
Nous ferons donc en sorte que l’accompagnement technique et financier de nos partenaires se maintienne et se renforce, en appui à la politique de l’Etat, en vue de garantir l’émergence d’une nation forte, stable et prospère.
Assuré de l’accompagnement de l’AFD au processus de développement économique et social dans le monde et singulièrement en Côte d’Ivoire, je voudrais réitérer mes remerciements à Son Excellence Monsieur l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire et souhaiter la poursuite de cette cérémonie de vernissage de l’exposition des 50 ans du CEFEB.
Merci de votre aimable attention.
Nialé KABA ,
Ministre auprès du Premier ministre chargé de l’Economie et des Finances