Abidjan - La ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Desirée Ouloto à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la solidarité humaine ce samedi, relève que le gouvernement est solidaire des couches les plus vulnérables et qu’a cet effet, il a initié une série de mesures visant à améliorer leur condition de vie.
« Conscient de ce que les périodes de crises constituent un terreau à l’accroissement de toutes sortes de vulnérabilités, le gouvernement, sous la houlette du Président de la République Alassane Ouattara, a initié une série de mesures visant à réduire de manière significative la vulnérabilité sociale des populations », a souligné Mme Ouloto.
La ministre explique qu’il s’agit, entre autres, de la gratuité ciblée des soins de santé, de la mesure de gratuité effective pour les frais d’inscription et de scolarité, de la distribution des kits scolaires dans les écoles publiques primaires et de l’opérationnalisation prochaine de la Couverture Maladie Universelle.
Mme Ouloto relève en outre que les actions du gouvernement en faveur des plus défavorisés se matérialisent aussi à travers le Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire(FAFCI), initié par la Première dame, Dominique Ouattara, et qui aura permis à plus de 40.000 femmes de s’autonomiser.
« Ces mécanismes, qui participent de la solidarité, visent à consolider durablement les acquis économiques afin de produire des résultats tangibles, irréversibles et surtout plus sensibles au niveau de toutes les couches sociales », a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, Mme Ouloto a salué au niveau de la solidarité internationale, l’action de la communauté internationale en direction des pays touchés par la fièvre à virus Ebola et qui ont permis, dans une certaine mesure, de contenir la propagation de ce fléau. De même que ce qu’entreprend la Côte d’Ivoire pour aider ces derniers.
« Je voudrais rappeler, à cet égard, que le gouvernement ivoirien a manifesté son soutien aux pays frères touchés par cette maladie à travers l’ouverture de couloirs humanitaire, sanitaire et économique visant à réduire l’impact de la fièvre hémorragique sur les populations concernées, et par l’envoi en mission de 15 volontaires du secteur de la santé dans les pays touchés », a-t-elle souligné.
Le 20 décembre, la communauté mondiale commémore la Journée internationale de la Solidarité humaine proclamée par l’Assemblée générale des Nations unies en 2005 à travers la résolution 60/209.
Cette journée rappelle l’importance de la solidarité comme une des valeurs fondamentales et universelles sur lesquelles devraient reposer les relations entre les peuples et les nations, indique-t-on.
Elle met aussi en lumière le rôle essentiel que joue la solidarité dans la réalisation des objectifs internationaux de promotion du développement humain.
En effet, face aux nombreux défis auxquels doivent faire face les Etats, notamment dans le domaine de la lutte contre l’extrême pauvreté et la précarité, le renforcement de la solidarité internationale est apparu indispensable et a induit l’adoption, en septembre 2000, des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
(AIP)
amak/tm
« Conscient de ce que les périodes de crises constituent un terreau à l’accroissement de toutes sortes de vulnérabilités, le gouvernement, sous la houlette du Président de la République Alassane Ouattara, a initié une série de mesures visant à réduire de manière significative la vulnérabilité sociale des populations », a souligné Mme Ouloto.
La ministre explique qu’il s’agit, entre autres, de la gratuité ciblée des soins de santé, de la mesure de gratuité effective pour les frais d’inscription et de scolarité, de la distribution des kits scolaires dans les écoles publiques primaires et de l’opérationnalisation prochaine de la Couverture Maladie Universelle.
Mme Ouloto relève en outre que les actions du gouvernement en faveur des plus défavorisés se matérialisent aussi à travers le Fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire(FAFCI), initié par la Première dame, Dominique Ouattara, et qui aura permis à plus de 40.000 femmes de s’autonomiser.
« Ces mécanismes, qui participent de la solidarité, visent à consolider durablement les acquis économiques afin de produire des résultats tangibles, irréversibles et surtout plus sensibles au niveau de toutes les couches sociales », a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, Mme Ouloto a salué au niveau de la solidarité internationale, l’action de la communauté internationale en direction des pays touchés par la fièvre à virus Ebola et qui ont permis, dans une certaine mesure, de contenir la propagation de ce fléau. De même que ce qu’entreprend la Côte d’Ivoire pour aider ces derniers.
« Je voudrais rappeler, à cet égard, que le gouvernement ivoirien a manifesté son soutien aux pays frères touchés par cette maladie à travers l’ouverture de couloirs humanitaire, sanitaire et économique visant à réduire l’impact de la fièvre hémorragique sur les populations concernées, et par l’envoi en mission de 15 volontaires du secteur de la santé dans les pays touchés », a-t-elle souligné.
Le 20 décembre, la communauté mondiale commémore la Journée internationale de la Solidarité humaine proclamée par l’Assemblée générale des Nations unies en 2005 à travers la résolution 60/209.
Cette journée rappelle l’importance de la solidarité comme une des valeurs fondamentales et universelles sur lesquelles devraient reposer les relations entre les peuples et les nations, indique-t-on.
Elle met aussi en lumière le rôle essentiel que joue la solidarité dans la réalisation des objectifs internationaux de promotion du développement humain.
En effet, face aux nombreux défis auxquels doivent faire face les Etats, notamment dans le domaine de la lutte contre l’extrême pauvreté et la précarité, le renforcement de la solidarité internationale est apparu indispensable et a induit l’adoption, en septembre 2000, des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).
(AIP)
amak/tm
