Abidjan – Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, a remis, vendredi à Abidjan, un chèque de cinq millions de FCFA à une équipe de cinq chercheurs qui a remporté le Prix de la recherche pour ses travaux sur un fongicide biologique améliorant la productivité de la banane.
Après 10 ans de recherches, l’équipe du Professeur Koné Daouda, Tanzibo Zanahi Félix, Camara Brahima, Kassi Koffi Fernand Jean Martial et Badou Odjoutchonin Jean a créé le Nepo, un produit biologique respectant l’environnement et qui lutte efficacement contre la principale maladie du bananier.
« C’est un composé de plusieurs molécules agissant en synergie », a indiqué Koné Daouda dont l’équipe a répondu, le mieux, aux critères de publication dans une revue scientifique de référence et d’impact sur le développement du pays.
Leur travail portait sur « La valorisation des sous-produits de Ocimum gratissimum utilisés comme fongicide biologique pour une agriculture durable ».
Sur 14 dossiers de candidature, neuf avaient été retenus et cinq rejetés.
Une autre équipe menée par le Professeur Zakra Assolou Nicodème a reçu le prix d’encouragement doté d’une enveloppe de trois millions de FCFA.
Le ministre Gnamien Konan leur a promis que la prochaine édition du Prix de la recherche se déroulera dans un cadre plus prestigieux qu’un amphithéâtre, pour faire valoir aux chercheurs ivoiriens la place qui doit leur revenir de droit dans le développement du pays.
Les chercheurs promus au Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) ont également été célébrés lors de cette cérémonie qui portait sur le thème de « L’innovation technologique : stratégie pour un développement durable ».
Créé en octobre 1995, ce prix récompense les inventeurs, chercheurs et enseignants-chercheurs "dont les travaux récents, publiés sur des supports scientifiques accessibles, élargissent les dimensions de la connaissance scientifique universelle, participant ainsi de façon significative au développement économique, social et culturel de la nation".
Il comprend un diplôme et une dotation financière de cinq millions de francs CFA.
Il couvrait cinq domaines au départ, mais est désormais étendu aux travaux en sciences exactes, sciences de la santé, sciences agronomiques, sciences juridiques, sciences naturelles et zootechniques, sciences humaines et lettres, sciences et technologies alimentaires et sciences des inventions et innovations technologiques.
(AIP)
aaa/kkp/tm
Après 10 ans de recherches, l’équipe du Professeur Koné Daouda, Tanzibo Zanahi Félix, Camara Brahima, Kassi Koffi Fernand Jean Martial et Badou Odjoutchonin Jean a créé le Nepo, un produit biologique respectant l’environnement et qui lutte efficacement contre la principale maladie du bananier.
« C’est un composé de plusieurs molécules agissant en synergie », a indiqué Koné Daouda dont l’équipe a répondu, le mieux, aux critères de publication dans une revue scientifique de référence et d’impact sur le développement du pays.
Leur travail portait sur « La valorisation des sous-produits de Ocimum gratissimum utilisés comme fongicide biologique pour une agriculture durable ».
Sur 14 dossiers de candidature, neuf avaient été retenus et cinq rejetés.
Une autre équipe menée par le Professeur Zakra Assolou Nicodème a reçu le prix d’encouragement doté d’une enveloppe de trois millions de FCFA.
Le ministre Gnamien Konan leur a promis que la prochaine édition du Prix de la recherche se déroulera dans un cadre plus prestigieux qu’un amphithéâtre, pour faire valoir aux chercheurs ivoiriens la place qui doit leur revenir de droit dans le développement du pays.
Les chercheurs promus au Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES) ont également été célébrés lors de cette cérémonie qui portait sur le thème de « L’innovation technologique : stratégie pour un développement durable ».
Créé en octobre 1995, ce prix récompense les inventeurs, chercheurs et enseignants-chercheurs "dont les travaux récents, publiés sur des supports scientifiques accessibles, élargissent les dimensions de la connaissance scientifique universelle, participant ainsi de façon significative au développement économique, social et culturel de la nation".
Il comprend un diplôme et une dotation financière de cinq millions de francs CFA.
Il couvrait cinq domaines au départ, mais est désormais étendu aux travaux en sciences exactes, sciences de la santé, sciences agronomiques, sciences juridiques, sciences naturelles et zootechniques, sciences humaines et lettres, sciences et technologies alimentaires et sciences des inventions et innovations technologiques.
(AIP)
aaa/kkp/tm