Abidjan - Le secrétaire général de la Coordination nationale des enseignants et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC), Pr Mamadou Ouattara, a remis vendredi au ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique les résolutions d’un séminaire sur « les conditions d’une paix durable dans les universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire » qui insistent sur la nécessité d’une amélioration de leurs traitement salarial.
Les cinq principales revendications des professeurs tournent autour de la revalorisation de leurs salaires, celle de la prime de recherche, d’encadrement et la fusion en une prime « académique et d’appui à la recherche » mensuelle, des indemnités de logement et le paiement des heures complémentaires.
« Nous souhaitons que ces revendications recevront l’onction de notre Dame de la paix pour qu’elles ne soient vues ni comme un chèque en blanc du syndicat au gouvernement, ni comme un document qui servira au gouvernement à faire du dilatoire », a signifié M. Ouattara.
A ces revendications, Gnamien Konan a promis que le gouvernement accordera la plus diligente attention.
Il a mis en place un comité de suivi de l’évaluation chiffrée de ces résolutions du CNEC, qu’il a toutefois invité à ne pas prendre en otage l’avenir de la Côte d’Ivoire et des étudiants par des grèves et menaces de grève intempestives.
(AIP)
aaa/tm
Les cinq principales revendications des professeurs tournent autour de la revalorisation de leurs salaires, celle de la prime de recherche, d’encadrement et la fusion en une prime « académique et d’appui à la recherche » mensuelle, des indemnités de logement et le paiement des heures complémentaires.
« Nous souhaitons que ces revendications recevront l’onction de notre Dame de la paix pour qu’elles ne soient vues ni comme un chèque en blanc du syndicat au gouvernement, ni comme un document qui servira au gouvernement à faire du dilatoire », a signifié M. Ouattara.
A ces revendications, Gnamien Konan a promis que le gouvernement accordera la plus diligente attention.
Il a mis en place un comité de suivi de l’évaluation chiffrée de ces résolutions du CNEC, qu’il a toutefois invité à ne pas prendre en otage l’avenir de la Côte d’Ivoire et des étudiants par des grèves et menaces de grève intempestives.
(AIP)
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