Le procès de l’ex-Première dame ivoirienne, Simone Gbagbo, et de 82 personnalités de l’ancien régime, accusées d’"atteinte à la sûreté de l’État", se poursuit. Lundi, des proches de victimes de la crise de 2010-2011 se sont fait entendre.
Les premières personnalités poursuivies pour "atteinte à la sûreté de l’État" devraient s'exprimer mardi 30 décembre au troisième jour du procès de Simone Gbagbo et de ses 82 co-accusés. Lundi, plusieurs dizaines de parents de victimes de la crise de 2010-2011 se sont massées devant le tribunal d'Abidjan, dans le quartier central du Plateau.
Certains tenaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: "Simone Gbagbo, il est l'heure de la reddition des comptes"; "nous sommes les victimes de Simone Gbagbo et voulons... suite de l'article sur Jeune Afrique
Les premières personnalités poursuivies pour "atteinte à la sûreté de l’État" devraient s'exprimer mardi 30 décembre au troisième jour du procès de Simone Gbagbo et de ses 82 co-accusés. Lundi, plusieurs dizaines de parents de victimes de la crise de 2010-2011 se sont massées devant le tribunal d'Abidjan, dans le quartier central du Plateau.
Certains tenaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: "Simone Gbagbo, il est l'heure de la reddition des comptes"; "nous sommes les victimes de Simone Gbagbo et voulons... suite de l'article sur Jeune Afrique