Le Président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro a raconté, samedi, à Bouaké (379 km au Nord d’Abidjan), la stratégie militaire de l’ex-rébellion des Forces Nouvelles en septembre 2002, date du déclenchement de la crise ivoirienne.
"Je suis là pour vous dire que je ne peux jamais abandonner Bouaké. J’aime Bouaké parce que j’ai fais mon secondaire ici. C’est ici (Bouaké) que j’ai été installé le 19 septembre 2002 ", a expliqué M. Soro au cours d’une rencontre avec les populations de cette ville qui l’accuse de les avoir abandonnées.
"Dans la stratégie militaire, les chefs militaires m’avaient recommandé de me mettre à Korhogo, parce que le leader ne doit pas être sur la ligne de front. Il doit être en base arrière, protégé, mais j’ai dis non ", a-t-il poursuivi.
"Je suis venu m’installer ici à Bouaké et je suis resté tout ce temps à Bouaké. Vous ne savez pas les risques que j’ai encouru (…) c’est pour tout ça que je dis, je ne peux pas oublier Bouaké, je ne peux pas abandonner Bouaké" a insisté l’ex-leader de la rébellion ivoirienne qui administré de 2002 à 2010 plus de 60% du territoire ivoirien.
M. Soro a remercié dans la foulée, toutes ces populations qui ont cru au combat des Forces nouvelles dont l’objectif était d’asseoir "une vraie démocratie et d’offrir plus de liberté aux populations" ivoiriennes.
"Je suis là pour vous dire que je ne peux jamais abandonner Bouaké. J’aime Bouaké parce que j’ai fais mon secondaire ici. C’est ici (Bouaké) que j’ai été installé le 19 septembre 2002 ", a expliqué M. Soro au cours d’une rencontre avec les populations de cette ville qui l’accuse de les avoir abandonnées.
"Dans la stratégie militaire, les chefs militaires m’avaient recommandé de me mettre à Korhogo, parce que le leader ne doit pas être sur la ligne de front. Il doit être en base arrière, protégé, mais j’ai dis non ", a-t-il poursuivi.
"Je suis venu m’installer ici à Bouaké et je suis resté tout ce temps à Bouaké. Vous ne savez pas les risques que j’ai encouru (…) c’est pour tout ça que je dis, je ne peux pas oublier Bouaké, je ne peux pas abandonner Bouaké" a insisté l’ex-leader de la rébellion ivoirienne qui administré de 2002 à 2010 plus de 60% du territoire ivoirien.
M. Soro a remercié dans la foulée, toutes ces populations qui ont cru au combat des Forces nouvelles dont l’objectif était d’asseoir "une vraie démocratie et d’offrir plus de liberté aux populations" ivoiriennes.