Depuis 2013, avec la nomination de son ancien président, ministre du Commerce, de l’artisanat et de la promotion des Pme/Pmi, l’élection qui devait aboutir au changement à la tête de cette institution tarde à venir.
Cependant malgré la longue attente, les différents candidats déclarés pour succéder à Jean-Louis Billon affûtent leurs armes pour ne pas se laisser surprendre. A ce niveau, Diomandé Moussa figure en bonne position et ne rate aucune occasion pour démontrer sa capacité à diriger la Chambre de commerce et d’industrie. Dès lors, chaque sortie se présente pour le président de l’Association ivoirienne des entreprises privées de mettre en évidence ses grandes connaissances managériales dans des domaines aussi variés les uns que les autres.
« Le numérique se présente comme le moteur de l’économie du futur », avait fait remarquer Diomandé Moussa au cours d’une conférence qu’il animait sur la promotion du e-paiement. Pour réussir la révolution du numérique qui se présente désormais comme une nécessité, il a préconisé la transformation radicale de l’écosystème, à travers le développement d’une expertise dans le domaine du digital. « Nous devons créer des centres de recherche et convier les meilleurs cerveaux du monde dans nos universités », avait-il proposé.
Face au Haut conseil fédéral des commerçants de Côte d’Ivoire, il a exprimé sa volonté de faire de l’industrialisation une priorité à travers la valorisation du « made in Côte d’Ivoire ». C’était au cours d’une autre conférence qu’il animait à l’attention des commerçants sur le thème, ‘’Quelle chambre de commerce pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 ?’’ Pour le président-fondateur de Gls Catering et services, dont les représentations se comptent dans une dizaine de pays à travers le monde, la Chambre de commerce doit être, pour les entrepreneurs, le creuset de la promotion des produits fabriqués en Côte d’Ivoire. Toutes choses qui, selon lui, contribueront à promouvoir l’auto-emploi des jeunes.
S.B
Cependant malgré la longue attente, les différents candidats déclarés pour succéder à Jean-Louis Billon affûtent leurs armes pour ne pas se laisser surprendre. A ce niveau, Diomandé Moussa figure en bonne position et ne rate aucune occasion pour démontrer sa capacité à diriger la Chambre de commerce et d’industrie. Dès lors, chaque sortie se présente pour le président de l’Association ivoirienne des entreprises privées de mettre en évidence ses grandes connaissances managériales dans des domaines aussi variés les uns que les autres.
« Le numérique se présente comme le moteur de l’économie du futur », avait fait remarquer Diomandé Moussa au cours d’une conférence qu’il animait sur la promotion du e-paiement. Pour réussir la révolution du numérique qui se présente désormais comme une nécessité, il a préconisé la transformation radicale de l’écosystème, à travers le développement d’une expertise dans le domaine du digital. « Nous devons créer des centres de recherche et convier les meilleurs cerveaux du monde dans nos universités », avait-il proposé.
Face au Haut conseil fédéral des commerçants de Côte d’Ivoire, il a exprimé sa volonté de faire de l’industrialisation une priorité à travers la valorisation du « made in Côte d’Ivoire ». C’était au cours d’une autre conférence qu’il animait à l’attention des commerçants sur le thème, ‘’Quelle chambre de commerce pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020 ?’’ Pour le président-fondateur de Gls Catering et services, dont les représentations se comptent dans une dizaine de pays à travers le monde, la Chambre de commerce doit être, pour les entrepreneurs, le creuset de la promotion des produits fabriqués en Côte d’Ivoire. Toutes choses qui, selon lui, contribueront à promouvoir l’auto-emploi des jeunes.
S.B
