En vue d’augmenter le poids à l’achat, des producteurs mettent des cailloux dans le coton
Vamissa Diomandé directeur général de la société cotonnière Ivoire coton est en colère contre les producteurs. Selon lui des cotonculteurs de sa zone mouillent le coton graine ou y mettent des cailloux afin d’augmenter à l’achat le poids de leur production. Cette pratique a considérablement baissé la qualité du coton a-t-il précisé. Pour joindre l’acte à la parole il a entreprit du 09 au 11 décembre dernier une tournée d’information et de sensibilisation des producteurs sur la qualité du coton graine des directions régionales des départements de M’bengué, Boundiali et Dianra au nord ouest de la Côte d’Ivoire,
Le DG a évoqué la dégradation de la qualité du coton graine par la faute de certains producteurs du coton qui le mouillent ou y mettent du gravier, cailloux et divers objets. « Le coton de la Côte d’Ivoire connait une décote sur le marché international et est moins bon que celui du Burkina Faso et du Mali alors que c’était la situation inverse par le passé » a-t-il martelé. C’était en présence du corps préfectoral des départements visités, des représentants du conseil et de l’anacarde (CCA) et de la fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire (FPCCI).
Afficher l’historique des mails
Les représentants des cotonculteurs ont de leur côté promus veiller pour une meilleure qualité du coton les campagnes à venir à travers des contrôle en leur sein. .Outre la mauvaise qualité décriée, Vamissa Diomandé, a fait savoir que la campagne 2013/2014 a enregistrée une production record au niveau national avec 405 227 tonnes de coton graine et une production de 151 142 tonnes de coton graine, pour un revenu global distribué de 19, 727 milliards FCFA entièrement payé aux producteurs.
Au sujet des problèmes de liquidité rencontrés dans les banques lors du paiement, le DG d a précisé que sa société a approvisionné à temps tous ses comptes mais le plafond en liquidité de certaines structures bancaires étant faibles « nos producteurs ont été mal servi par ces banques ».Il a enfin annoncer que le bilan partiel de la campagne 2014/2015 s’annonce en forte production avec des surfaces semées de 160 000 hectares pour une production attendue de 175 000 à 180 000 tonnes.
Benogo TOURE
(Correspondant)
Vamissa Diomandé directeur général de la société cotonnière Ivoire coton est en colère contre les producteurs. Selon lui des cotonculteurs de sa zone mouillent le coton graine ou y mettent des cailloux afin d’augmenter à l’achat le poids de leur production. Cette pratique a considérablement baissé la qualité du coton a-t-il précisé. Pour joindre l’acte à la parole il a entreprit du 09 au 11 décembre dernier une tournée d’information et de sensibilisation des producteurs sur la qualité du coton graine des directions régionales des départements de M’bengué, Boundiali et Dianra au nord ouest de la Côte d’Ivoire,
Le DG a évoqué la dégradation de la qualité du coton graine par la faute de certains producteurs du coton qui le mouillent ou y mettent du gravier, cailloux et divers objets. « Le coton de la Côte d’Ivoire connait une décote sur le marché international et est moins bon que celui du Burkina Faso et du Mali alors que c’était la situation inverse par le passé » a-t-il martelé. C’était en présence du corps préfectoral des départements visités, des représentants du conseil et de l’anacarde (CCA) et de la fédération des producteurs de coton de Côte d’Ivoire (FPCCI).
Afficher l’historique des mails
Les représentants des cotonculteurs ont de leur côté promus veiller pour une meilleure qualité du coton les campagnes à venir à travers des contrôle en leur sein. .Outre la mauvaise qualité décriée, Vamissa Diomandé, a fait savoir que la campagne 2013/2014 a enregistrée une production record au niveau national avec 405 227 tonnes de coton graine et une production de 151 142 tonnes de coton graine, pour un revenu global distribué de 19, 727 milliards FCFA entièrement payé aux producteurs.
Au sujet des problèmes de liquidité rencontrés dans les banques lors du paiement, le DG d a précisé que sa société a approvisionné à temps tous ses comptes mais le plafond en liquidité de certaines structures bancaires étant faibles « nos producteurs ont été mal servi par ces banques ».Il a enfin annoncer que le bilan partiel de la campagne 2014/2015 s’annonce en forte production avec des surfaces semées de 160 000 hectares pour une production attendue de 175 000 à 180 000 tonnes.
Benogo TOURE
(Correspondant)