La Côte d’Ivoire a atteint sa production record de coton et d’anacarde en 2014, grâce à la mise en œuvre de la reforme au sein de ces filières, a annoncé vendredi, le ministre de l’agriculture Mamadou Sangafowa Coulibaly.
« (…) s'agissant des filières du coton et de l'anacarde, la mise en œuvre de la réforme de ces deux filières a connu un démarrage effectif de son opérationnalité en 2014, avec une meilleure maîtrise du système de production et des circuits de commercialisation », a expliqué le ministre Coulibaly au cours d'une cérémonie d'échanges de vœux avec ses collaborateurs et structures sous tutelle.
Ainsi, a-t-il ajouté « ces nouvelles dispositions ont permis de produire 405 226 tonnes de coton graine et de distribuer un revenu brut global d'environ 101,307 milliards FCFA aux producteurs », ce qui est selon lui, « un record national et fait de la Côte d'Ivoire, le troisième producteur africain ».
« Au niveau de la filière anacarde, les nouvelles dispositions ont permis de produire 560 000 tonnes de Noix de Cajou de meilleure qualité et de distribuer un revenu brut global de plus de 140 milliards FCFA aux producteurs », a encore annoncé le ministre de l'agriculture.
Selon Mamadou Sangafowa Coulibaly, « c'est également un record national, qui vient ainsi consolider le classement de notre pays comme premier exportateur africain et deuxième producteur mondial après l'Inde ».
La production d'anacarde de la Côte d'Ivoire atteindra 600 000 tonnes en 2015, selon les prévisions alors que celle attendue au niveau du coton est estimée à 450 000 tonnes.
Pour l'horizon 2018-2020, la Côte d'Ivoire ambitionne d'arriver à une production cotonnière de 600 000 tonnes.
Il s'agit aussi pour ce pays, actuellement troisième producteur d'or blanc d'Afrique subsaharienne, d'égaler les deux premiers producteurs de coton de la région à savoir le Burkina Faso et le Mali, puis à terme d'occuper la position de leader.
La réalisation de cette ambition passera par la poursuite des réformes dont la mise en œuvre a permis à la Côte d'Ivoire de réaliser en 2014 sa meilleure campagne depuis quinze ans.
LS/APA
« (…) s'agissant des filières du coton et de l'anacarde, la mise en œuvre de la réforme de ces deux filières a connu un démarrage effectif de son opérationnalité en 2014, avec une meilleure maîtrise du système de production et des circuits de commercialisation », a expliqué le ministre Coulibaly au cours d'une cérémonie d'échanges de vœux avec ses collaborateurs et structures sous tutelle.
Ainsi, a-t-il ajouté « ces nouvelles dispositions ont permis de produire 405 226 tonnes de coton graine et de distribuer un revenu brut global d'environ 101,307 milliards FCFA aux producteurs », ce qui est selon lui, « un record national et fait de la Côte d'Ivoire, le troisième producteur africain ».
« Au niveau de la filière anacarde, les nouvelles dispositions ont permis de produire 560 000 tonnes de Noix de Cajou de meilleure qualité et de distribuer un revenu brut global de plus de 140 milliards FCFA aux producteurs », a encore annoncé le ministre de l'agriculture.
Selon Mamadou Sangafowa Coulibaly, « c'est également un record national, qui vient ainsi consolider le classement de notre pays comme premier exportateur africain et deuxième producteur mondial après l'Inde ».
La production d'anacarde de la Côte d'Ivoire atteindra 600 000 tonnes en 2015, selon les prévisions alors que celle attendue au niveau du coton est estimée à 450 000 tonnes.
Pour l'horizon 2018-2020, la Côte d'Ivoire ambitionne d'arriver à une production cotonnière de 600 000 tonnes.
Il s'agit aussi pour ce pays, actuellement troisième producteur d'or blanc d'Afrique subsaharienne, d'égaler les deux premiers producteurs de coton de la région à savoir le Burkina Faso et le Mali, puis à terme d'occuper la position de leader.
La réalisation de cette ambition passera par la poursuite des réformes dont la mise en œuvre a permis à la Côte d'Ivoire de réaliser en 2014 sa meilleure campagne depuis quinze ans.
LS/APA