Le cabinet BILE-AKA, BRIZOUA-BI & ASSOCIES en partenariat avec la CGECI (Confédération des Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire) a présenté au cours d’une conférence de presse, le vendredi 20 février, à Abidjan, le projet « Indice de Confiance Judiciaire (ICJ) ».
L’objectif de cet « Indice de Confiance Judiciaire » est de permettre aux usagers du service public de la justice que sont les opérateurs économiques de disposer d’un outil leur permettant de donner, en toute confidentialité leur avis sur l’institution judiciaire et ses prestations.
La présentation de ce projet ICJ a été faite par le Bâtonnier Bilé Aka Joachim, qui dans son exposé a expliqué que la quête d’amélioration du climat des affaires en Côte d’Ivoire est minée par des mécanismes d’évaluation de la perception de certains secteurs d’activités qui sont d’origine étrangère et ont des appréciations trop générales.
Ce pourquoi, le secteur judiciaire s’avère un bouclier pour les opérateurs économiques toujours dans le besoin de sécurité et de prévisibilité.
Selon M. Bilé Aka, cet « Indice de Confiance Judiciaire » vient à point nommé, comme un indicateur qui sera établi sur une base annuelle, constituant un questionnaire à remplir par les opérateurs économiques et destiné à obtenir leur opinion sur leur degré de confiance envers l’institution judiciaire de la Côte d’Ivoire.
S’agissant du secteur privé, il devrait constituer un canal annuel et individuel d’expression sur les performances du secteur judiciaire et les domaines dans lesquels des améliorations sont attendues.
Pour l’Etat, l’ICJ devrait servir d’instrument d’évaluation de l’activité judiciaire pour le secteur privé et permettre de conduire certaines réformes de manière ciblée en s’inspirant des résultats annuels produits par l’ICJ.
En outre, il a été précédé par un administrateur de la CGECI, M. Pierre Magne qui, dans son adresse s’est réjoui du fait que l’institution qu’il représente soit partenaire de cette initiative d’avocats Ivoiriens.
« Nous espérons que la publication des premiers résultats de l’Indice de Confiance Judiciaire va marquer une ère nouvelle pour soutenir l’émergence de notre pays » a souhaité M. Pierre Magne.
Une session de questions-réponses s’en est suivie autour des inquiétudes et préoccupations des journalistes ayant trait à la relation entre l’ICJ et le Tribunal de Commerce, les critères d’évaluation, le support pratique de l’ICJ et l’hypothèse de collaboration entre le projet ICJ avec les institutions financières internationales en Côte d’Ivoire.
Un satisfecit a été trouvé à ces question dans l’ensemble par les membres de la table de séance de ce lancement de l’ « Indice de Confiance Judiciaire ». Il en ressort le but fondamental de mettre en place une sorte de balise par le secteur privé pour que l’ICJ soit demain un instrument de notation judiciaire dont la crédibilité et la respectabilité se fassent connaître au-delà de la sous région.
L’objectif de cet « Indice de Confiance Judiciaire » est de permettre aux usagers du service public de la justice que sont les opérateurs économiques de disposer d’un outil leur permettant de donner, en toute confidentialité leur avis sur l’institution judiciaire et ses prestations.
La présentation de ce projet ICJ a été faite par le Bâtonnier Bilé Aka Joachim, qui dans son exposé a expliqué que la quête d’amélioration du climat des affaires en Côte d’Ivoire est minée par des mécanismes d’évaluation de la perception de certains secteurs d’activités qui sont d’origine étrangère et ont des appréciations trop générales.
Ce pourquoi, le secteur judiciaire s’avère un bouclier pour les opérateurs économiques toujours dans le besoin de sécurité et de prévisibilité.
Selon M. Bilé Aka, cet « Indice de Confiance Judiciaire » vient à point nommé, comme un indicateur qui sera établi sur une base annuelle, constituant un questionnaire à remplir par les opérateurs économiques et destiné à obtenir leur opinion sur leur degré de confiance envers l’institution judiciaire de la Côte d’Ivoire.
S’agissant du secteur privé, il devrait constituer un canal annuel et individuel d’expression sur les performances du secteur judiciaire et les domaines dans lesquels des améliorations sont attendues.
Pour l’Etat, l’ICJ devrait servir d’instrument d’évaluation de l’activité judiciaire pour le secteur privé et permettre de conduire certaines réformes de manière ciblée en s’inspirant des résultats annuels produits par l’ICJ.
En outre, il a été précédé par un administrateur de la CGECI, M. Pierre Magne qui, dans son adresse s’est réjoui du fait que l’institution qu’il représente soit partenaire de cette initiative d’avocats Ivoiriens.
« Nous espérons que la publication des premiers résultats de l’Indice de Confiance Judiciaire va marquer une ère nouvelle pour soutenir l’émergence de notre pays » a souhaité M. Pierre Magne.
Une session de questions-réponses s’en est suivie autour des inquiétudes et préoccupations des journalistes ayant trait à la relation entre l’ICJ et le Tribunal de Commerce, les critères d’évaluation, le support pratique de l’ICJ et l’hypothèse de collaboration entre le projet ICJ avec les institutions financières internationales en Côte d’Ivoire.
Un satisfecit a été trouvé à ces question dans l’ensemble par les membres de la table de séance de ce lancement de l’ « Indice de Confiance Judiciaire ». Il en ressort le but fondamental de mettre en place une sorte de balise par le secteur privé pour que l’ICJ soit demain un instrument de notation judiciaire dont la crédibilité et la respectabilité se fassent connaître au-delà de la sous région.