Abidjan - A l’instar de la veille, la journée de jeudi, deuxième jour de la plaidoirie dans le cadre du procès de la crise postélectorale, est marquée par le rejet des accusations du parquet général pour, selon la défense, absence de preuves dans les dossiers des accusés.
A la mi-journée, la défense a plaidé au Palais de justice d’Abidjan pour la relaxe d’une quinzaine de prévenus, notamment Jean Jacques Béchio, Amoakon Etienne, Franck Anderson Kouassi, à la suite de la trentaine de cas examinés, mercredi.
Pour les avocats de la défense, particulièrement Me Traoré Daouda, Dadié Rodrigues "on a l’impression que le parquet général a fouillé le code de procédure pénale pour trouver des infractions et les coller aux prévenus". Alors, qu’en pénal, ont-ils affirmé, "il n’y a pas de place au doute".
La crise postélectorale née du refus de l’ex-président Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara déclaré vainqueur par la Commission électorale indépendante, a fait officiellement plus de 3000 victimes entre fin novembre 2010 et mi-avril 2011.
Au total, 79 personnes sont poursuivies pour plusieurs délits notamment pour attentat contre la sûreté de l’Etat, coalition de fonctionnaires, trouble à l’ordre public.
ik/akn/cmas
A la mi-journée, la défense a plaidé au Palais de justice d’Abidjan pour la relaxe d’une quinzaine de prévenus, notamment Jean Jacques Béchio, Amoakon Etienne, Franck Anderson Kouassi, à la suite de la trentaine de cas examinés, mercredi.
Pour les avocats de la défense, particulièrement Me Traoré Daouda, Dadié Rodrigues "on a l’impression que le parquet général a fouillé le code de procédure pénale pour trouver des infractions et les coller aux prévenus". Alors, qu’en pénal, ont-ils affirmé, "il n’y a pas de place au doute".
La crise postélectorale née du refus de l’ex-président Laurent Gbagbo de céder le pouvoir à Alassane Ouattara déclaré vainqueur par la Commission électorale indépendante, a fait officiellement plus de 3000 victimes entre fin novembre 2010 et mi-avril 2011.
Au total, 79 personnes sont poursuivies pour plusieurs délits notamment pour attentat contre la sûreté de l’Etat, coalition de fonctionnaires, trouble à l’ordre public.
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