Dans cette contribution, Becan Tiékpa Alice-Rosine, militante PDCI irréductible, répond à Adama Bictogo qui avait ironisé sur une sortie de Banny depuis Paris, en rétorquant que le fils brillant du voisin est capable de recevoir un héritage, alors qu'à Paris, l’ex-président de la Cdvr s'insurgeait contre le bradage de l'héritage du père au voisin, au détriment du fils et des fils du père. Une déclaration qui avait été critiquée et considérée comme ayant des relents ivoiritaires. Ci-dessous la lettre ouverte, en réponse à Adama Bictogo, et à ses propos considérés par l'auteur comme une gifle au président Bédié.
« Je voudrais saluer le PDCI et particulièrement son président Bédié, pour son choix sur notre champion Ado ; C’est comme si votre voisin choisit votre fils pour en faire son héritier, parce qu’il est brillant ; cela est un acte à saluer ».Telle est, chers militants, la déclaration d’Adama Bictogo, aux centaines de militants de son parti présents à un meeting qu’il tenait à Agboville. Mesdames et messieurs les militants de toutes les catégories de la société ivoirienne, je vous adresse cette lettre ouverte et militante en vue de partager ce que m’inspire la Déclaration de Monsieur Adama Bictogo.
Qu’en pense le président Bédié ?
Monsieur Bédié s’est renié, il n’aime plus la mère, pour ce faire il a jeté le bébé, l’eau et le seau du bain. Bien qu’il lui ait été signifié que le parti unifié ne sera plus le PDCI-RDA, il s’accroche toujours à sa fable d’alternance en faveur du PDCI-RDA. Qui prend-il pour écervelé ? Comme si cela ne suffisait pas, il soupçonne certains de ses suiveurs (pourtant fidèles) de ne plus bêler pour l’aboutissement de sa criée de rizière dite l’appel de Daoukro.
Il leur retire les postes farfelus qu’ils occupent au sein de la maison et celle-ci se vide. Dans une telle tempête dont s’est piqué l’homme, son avis ne m’intéresse pas particulièrement parce qu’il n’apportera rien à la lumière de mon analyse. Malgré tout, il s’estime dans une posture de ‘’roi’’ et à ce niveau, il n’a d’état d’âme que lorsque l’un de ses obligés manque à ses devoirs de sujétion. Or, même si le roi veut vivre pour s’émanciper des soifs de gloire, il peut se mettre à ses aises pour le faire. Mais, là où je ne suis pas d’accord, c’est quand il engage des hommes, des femmes et toute une jeunesse aussi lumineux que qualifiés du PDCI-RDA dans une voie de leur propre rabaissement. Je ne saurais ignorer, avec vous, que la gloire qui s’acquiert par l’aliénation du bonheur des siens est une démarche à l’envers des choses. Cette démarche rend impossible l’exercice perpétuel qui consiste à être soi-même. Toute chose qui rend cette déviation aussi ridicule qu’elle apparaît comique aux yeux des autres (Bictogo et le Rdr) qui pourraient voir notre chef déguisé en un irréaliste illuminé. Non, ce chemin de Bédié n’est pas une vérité en soi, il est plutôt l’arme du rejet de la vérité. Chers militantes, militants et sympathisants du PDCI-RDA, voilà ce que j’en dis. A moins pour certains d’entre nous, qui obnubilés par l’hypothétique terre promise en 2020 vous pousse à vouloir construire des discours sur l’affirmation d’un pari acquis d’avance que seuls, vous déterminez selon des règles qui vous sont propres !?
Qui est Bictogo et quels sens donner à sa déclaration ?
Adama Bictogo, alors ministre de l’Intégration des Ivoiriens de l’étranger (dû au sang versé des Ivoiriens par les rebelles de leurs sortes) est l’homme qui a filé du mauvais coton avec le Capitaine Aya Sanogo. Il entendait par ce deal (en lieu et place de sa mission de bons offices au compte de la CEDEAO) avec le Capitaine putschiste escroquer les Maliens dans leur malheur. C’est le même Bictogo qui, par des contorsions a touché des commissions sur l’argent des victimes des déchets toxiques dans un passé récent en Côte d’Ivoire. Tous ces faits lui ont coûté son poste ministériel. Revisitons chacun des membres de sa déclaration : «…; C’est comme si votre voisin choisit votre fils pour en faire son héritier,… ». Ce qui échappe à la vigilance de monsieur Bictogo dans sa gesticulation langagière, c’est que le fils à qui son voisin choisit de donner son héritage pourrait être le fruit de liaisons coupables entre celui-ci et la mère de ce fils, un fils adultérin (dont la paternité est douteuse et ne peut être prouvée que par voie d’analyses médicales et judiciaires) doublé d’un père cocufié ; parce qu’il n’existe plus de philanthropes sur notre planète. Bictogo poursuit sa coulée de verbiage «…, parce qu’il est brillant ;… » Ici aussi, (reconnaissant son passé et ses pratiques assassins) ce fils peut présenter un danger national par sa manière d’utiliser ce qui lui vaut ce qualificatif brillant, alors le voisin pourrait se dire qu’il vaut mieux tout lui donner afin que soient préservés la société et ses habitants. Bictogo n’a pas à en être fier !
Pourtant, pavoisant il termine en ces termes : «… ; cela est un acte à saluer ». Ce pavoisement peut paraître insolent, parce que le voisin se montrerait aux yeux de tous (bénéficiaires et profiteurs) comme un gros naïf, en donnant un si précieux trésor au fils de l’autre qui n’a pas un cœur fait de chair disposé à faire le millième de ce sacrifice à autrui ; un pavoisement hâtif parce que le voisin devrait très bien connaître les nombreux obstacles sur le chemin et, dont les dénouements, par ce fils sans foi ni lois, pourraient provoquer des remous sociaux à telle enseigne qu’il sortirait forfait de la course. Il se dirait alors, pourquoi faire une grasse cuisine au fils du voisin qui connaîtra bientôt sa sentence sur la potence jurisprudentielle ; et après je lui dirai, fils j’ai tout fait mais à l’impossible, nul n’est tenu.
Enfin, ce pavoisement peut paraître gratuit parce que le voisin, sachant qu’ils le peuvent, mais voulant éprouver la force de caractère, la puissance et la maturité de ses propres enfants à conquérir le trésor, peut les énerver en piétinant leur orgueil. De cette façon, il les lancerait dans la course avec ses bénédictions sincères.
Au-delà de ces trois schémas, Adama Bictogo, cet homme aux entourloupettes ingénieuses est-il le mieux placé pour enseigner aux militants de tous les échelons du PDCI-RDA que nous sommes, si oui ou non il nous est possible sans père, d’être un héritier de père !
Est-il vraiment possible sans père, d’être héritier de père ?
Abandonnés par notre père que nous sommes, à travers son appel de Daoukro et ces conséquences, il importe de mettre nos génies et nos énergies en commun pour maintenir notre mère et la maison. Car, à défaut de cela si la mère nous abandonnait par la suite, on aurait tout perdu. Aucun de nous ne doit ignorer que lorsqu’une mère se remarie, elle fonde une nouvelle généalogie au détriment de la notre. En se persuadant (entre les lignes) de sa déclaration que cela nous échappe, je m’empresse de dire que monsieur Bictogo insulte notre intelligence et bafoue notre dignité. Plus que sûr, il nous insulte dans notre intégrité morale que ce soit lui Bictogo qui, dans un Etat de droit devait, pour ses nombreuses filouteries et concussions, couler des jours de cures d’hygiène morale à la MACA, nous indique que le voyage auquel notre père Bédié, nous invite est une alchimie de pratiques en contradiction vis-à-vis de ce qui est tradition, convenances sociales, culturelles et religieuses. Heureusement que Charles Banny, Essy Amara, Kabran Brou, KKB et bien d’autres si silencieux mais qui ne l’ont pas moins été abreuvés aux sèves politiques d’Houphouët ; entendent mettre ce génie houphouétien en pratique dans la durée pour le bonheur d’une nouvelle Côte d’Ivoire de gloire. Accompagnons-les de nos prières, de notre adhésion massive et de notre rassemblement exemplaire autour d’eux. L’histoire condamnera les bourreaux de l’œuvre d’Houphouët-Boigny. Le congrès extraordinaire du PDCI qui vient de plébisciter le président Ouattara comme le candidat PDCI à la candidature présidentielle de 2015 (selon le camouflet de Bictogo) s’inscrit comme un monde (celui de Bédié et ses suiveurs sans discernement) qui commence à s’effacer en faveur d’un autre (celui des dignes fils et filles de la nation ivoirienne) mais, qui tient à imposer le prix de sa disparition à ceux qui ne veulent pas embarquer avec lui. Ce prix, est celui de la mort des valeurs sacrées du père fondateur. Tout discours prometteur d’une telle symbolique de partis unifiés assortis d’une alternance au profit du PDCI en 2020 peut, par-là, entraîner à son auteur une condamnation de l’histoire.
Une ferme assurance : à Bictogo et à tous les apôtres de l’appel de Daoukro
Chers militantes, militants et sympathisants des vraies valeurs léguées à la Côte d’Ivoire par le père fondateur Félix Houphouët-Boigny, en rang d’oignons, les auteurs et leurs complices du recul de notre chère Côte d’Ivoire se sont succédé ce 22 mars sur le pupitre de la foire du RDR. Ils ont tous soufflet le OUI de la candidature unique de la Dramanocratie dans la claironnette au requiem du PDCI-RDA. Mais faisons connaître à monsieur Adama Bictogo, qu’il doit se raviser. Car, les militants du PDCI-RDA, droits dans leurs bottes sont encore vivaces de volonté rationnelle ; et ne sont pas encore victimes d’une telle perversion de leur intellect. Ils ont encore la tête, (lieu symbolique de l’émergence des œuvres de l’esprit, de l’imaginaire, du rêve comme ce qui exprime et transforme), bien fixée sur le reste de leur corps. C’est pour cela qu’ils se choisiront un candidat dans leur rang, au cours d’une convention prochaine, aux couleurs de l’unité nationale. Cette unité nationale visitera le corps social que Charles Banny, Essy Amara, Kabran Brou, KKB et bien d’autres encore cherchent à éveiller à ses erreurs mais aussi à ses vérités, à ses droits mais aussi à ses devoirs et à ses superstitions par les idéaux dont ils sont porteurs. Et au soir des élections d’octobre 2015, l’un d’entre eux sera le nouveau Président de la République glorieuse de Côte d’Ivoire.
BECAN Tiékpa Alice-Rosine
rosinebecantie@gmail.com
« Je voudrais saluer le PDCI et particulièrement son président Bédié, pour son choix sur notre champion Ado ; C’est comme si votre voisin choisit votre fils pour en faire son héritier, parce qu’il est brillant ; cela est un acte à saluer ».Telle est, chers militants, la déclaration d’Adama Bictogo, aux centaines de militants de son parti présents à un meeting qu’il tenait à Agboville. Mesdames et messieurs les militants de toutes les catégories de la société ivoirienne, je vous adresse cette lettre ouverte et militante en vue de partager ce que m’inspire la Déclaration de Monsieur Adama Bictogo.
Qu’en pense le président Bédié ?
Monsieur Bédié s’est renié, il n’aime plus la mère, pour ce faire il a jeté le bébé, l’eau et le seau du bain. Bien qu’il lui ait été signifié que le parti unifié ne sera plus le PDCI-RDA, il s’accroche toujours à sa fable d’alternance en faveur du PDCI-RDA. Qui prend-il pour écervelé ? Comme si cela ne suffisait pas, il soupçonne certains de ses suiveurs (pourtant fidèles) de ne plus bêler pour l’aboutissement de sa criée de rizière dite l’appel de Daoukro.
Il leur retire les postes farfelus qu’ils occupent au sein de la maison et celle-ci se vide. Dans une telle tempête dont s’est piqué l’homme, son avis ne m’intéresse pas particulièrement parce qu’il n’apportera rien à la lumière de mon analyse. Malgré tout, il s’estime dans une posture de ‘’roi’’ et à ce niveau, il n’a d’état d’âme que lorsque l’un de ses obligés manque à ses devoirs de sujétion. Or, même si le roi veut vivre pour s’émanciper des soifs de gloire, il peut se mettre à ses aises pour le faire. Mais, là où je ne suis pas d’accord, c’est quand il engage des hommes, des femmes et toute une jeunesse aussi lumineux que qualifiés du PDCI-RDA dans une voie de leur propre rabaissement. Je ne saurais ignorer, avec vous, que la gloire qui s’acquiert par l’aliénation du bonheur des siens est une démarche à l’envers des choses. Cette démarche rend impossible l’exercice perpétuel qui consiste à être soi-même. Toute chose qui rend cette déviation aussi ridicule qu’elle apparaît comique aux yeux des autres (Bictogo et le Rdr) qui pourraient voir notre chef déguisé en un irréaliste illuminé. Non, ce chemin de Bédié n’est pas une vérité en soi, il est plutôt l’arme du rejet de la vérité. Chers militantes, militants et sympathisants du PDCI-RDA, voilà ce que j’en dis. A moins pour certains d’entre nous, qui obnubilés par l’hypothétique terre promise en 2020 vous pousse à vouloir construire des discours sur l’affirmation d’un pari acquis d’avance que seuls, vous déterminez selon des règles qui vous sont propres !?
Qui est Bictogo et quels sens donner à sa déclaration ?
Adama Bictogo, alors ministre de l’Intégration des Ivoiriens de l’étranger (dû au sang versé des Ivoiriens par les rebelles de leurs sortes) est l’homme qui a filé du mauvais coton avec le Capitaine Aya Sanogo. Il entendait par ce deal (en lieu et place de sa mission de bons offices au compte de la CEDEAO) avec le Capitaine putschiste escroquer les Maliens dans leur malheur. C’est le même Bictogo qui, par des contorsions a touché des commissions sur l’argent des victimes des déchets toxiques dans un passé récent en Côte d’Ivoire. Tous ces faits lui ont coûté son poste ministériel. Revisitons chacun des membres de sa déclaration : «…; C’est comme si votre voisin choisit votre fils pour en faire son héritier,… ». Ce qui échappe à la vigilance de monsieur Bictogo dans sa gesticulation langagière, c’est que le fils à qui son voisin choisit de donner son héritage pourrait être le fruit de liaisons coupables entre celui-ci et la mère de ce fils, un fils adultérin (dont la paternité est douteuse et ne peut être prouvée que par voie d’analyses médicales et judiciaires) doublé d’un père cocufié ; parce qu’il n’existe plus de philanthropes sur notre planète. Bictogo poursuit sa coulée de verbiage «…, parce qu’il est brillant ;… » Ici aussi, (reconnaissant son passé et ses pratiques assassins) ce fils peut présenter un danger national par sa manière d’utiliser ce qui lui vaut ce qualificatif brillant, alors le voisin pourrait se dire qu’il vaut mieux tout lui donner afin que soient préservés la société et ses habitants. Bictogo n’a pas à en être fier !
Pourtant, pavoisant il termine en ces termes : «… ; cela est un acte à saluer ». Ce pavoisement peut paraître insolent, parce que le voisin se montrerait aux yeux de tous (bénéficiaires et profiteurs) comme un gros naïf, en donnant un si précieux trésor au fils de l’autre qui n’a pas un cœur fait de chair disposé à faire le millième de ce sacrifice à autrui ; un pavoisement hâtif parce que le voisin devrait très bien connaître les nombreux obstacles sur le chemin et, dont les dénouements, par ce fils sans foi ni lois, pourraient provoquer des remous sociaux à telle enseigne qu’il sortirait forfait de la course. Il se dirait alors, pourquoi faire une grasse cuisine au fils du voisin qui connaîtra bientôt sa sentence sur la potence jurisprudentielle ; et après je lui dirai, fils j’ai tout fait mais à l’impossible, nul n’est tenu.
Enfin, ce pavoisement peut paraître gratuit parce que le voisin, sachant qu’ils le peuvent, mais voulant éprouver la force de caractère, la puissance et la maturité de ses propres enfants à conquérir le trésor, peut les énerver en piétinant leur orgueil. De cette façon, il les lancerait dans la course avec ses bénédictions sincères.
Au-delà de ces trois schémas, Adama Bictogo, cet homme aux entourloupettes ingénieuses est-il le mieux placé pour enseigner aux militants de tous les échelons du PDCI-RDA que nous sommes, si oui ou non il nous est possible sans père, d’être un héritier de père !
Est-il vraiment possible sans père, d’être héritier de père ?
Abandonnés par notre père que nous sommes, à travers son appel de Daoukro et ces conséquences, il importe de mettre nos génies et nos énergies en commun pour maintenir notre mère et la maison. Car, à défaut de cela si la mère nous abandonnait par la suite, on aurait tout perdu. Aucun de nous ne doit ignorer que lorsqu’une mère se remarie, elle fonde une nouvelle généalogie au détriment de la notre. En se persuadant (entre les lignes) de sa déclaration que cela nous échappe, je m’empresse de dire que monsieur Bictogo insulte notre intelligence et bafoue notre dignité. Plus que sûr, il nous insulte dans notre intégrité morale que ce soit lui Bictogo qui, dans un Etat de droit devait, pour ses nombreuses filouteries et concussions, couler des jours de cures d’hygiène morale à la MACA, nous indique que le voyage auquel notre père Bédié, nous invite est une alchimie de pratiques en contradiction vis-à-vis de ce qui est tradition, convenances sociales, culturelles et religieuses. Heureusement que Charles Banny, Essy Amara, Kabran Brou, KKB et bien d’autres si silencieux mais qui ne l’ont pas moins été abreuvés aux sèves politiques d’Houphouët ; entendent mettre ce génie houphouétien en pratique dans la durée pour le bonheur d’une nouvelle Côte d’Ivoire de gloire. Accompagnons-les de nos prières, de notre adhésion massive et de notre rassemblement exemplaire autour d’eux. L’histoire condamnera les bourreaux de l’œuvre d’Houphouët-Boigny. Le congrès extraordinaire du PDCI qui vient de plébisciter le président Ouattara comme le candidat PDCI à la candidature présidentielle de 2015 (selon le camouflet de Bictogo) s’inscrit comme un monde (celui de Bédié et ses suiveurs sans discernement) qui commence à s’effacer en faveur d’un autre (celui des dignes fils et filles de la nation ivoirienne) mais, qui tient à imposer le prix de sa disparition à ceux qui ne veulent pas embarquer avec lui. Ce prix, est celui de la mort des valeurs sacrées du père fondateur. Tout discours prometteur d’une telle symbolique de partis unifiés assortis d’une alternance au profit du PDCI en 2020 peut, par-là, entraîner à son auteur une condamnation de l’histoire.
Une ferme assurance : à Bictogo et à tous les apôtres de l’appel de Daoukro
Chers militantes, militants et sympathisants des vraies valeurs léguées à la Côte d’Ivoire par le père fondateur Félix Houphouët-Boigny, en rang d’oignons, les auteurs et leurs complices du recul de notre chère Côte d’Ivoire se sont succédé ce 22 mars sur le pupitre de la foire du RDR. Ils ont tous soufflet le OUI de la candidature unique de la Dramanocratie dans la claironnette au requiem du PDCI-RDA. Mais faisons connaître à monsieur Adama Bictogo, qu’il doit se raviser. Car, les militants du PDCI-RDA, droits dans leurs bottes sont encore vivaces de volonté rationnelle ; et ne sont pas encore victimes d’une telle perversion de leur intellect. Ils ont encore la tête, (lieu symbolique de l’émergence des œuvres de l’esprit, de l’imaginaire, du rêve comme ce qui exprime et transforme), bien fixée sur le reste de leur corps. C’est pour cela qu’ils se choisiront un candidat dans leur rang, au cours d’une convention prochaine, aux couleurs de l’unité nationale. Cette unité nationale visitera le corps social que Charles Banny, Essy Amara, Kabran Brou, KKB et bien d’autres encore cherchent à éveiller à ses erreurs mais aussi à ses vérités, à ses droits mais aussi à ses devoirs et à ses superstitions par les idéaux dont ils sont porteurs. Et au soir des élections d’octobre 2015, l’un d’entre eux sera le nouveau Président de la République glorieuse de Côte d’Ivoire.
BECAN Tiékpa Alice-Rosine
rosinebecantie@gmail.com