"GESTION DU POUVOIR EN PLACE APOLOGIE DE LA MEDIOCRITE" , tel est le titre d'un texte écrit par KONAN AMANY MICHEL, de la Cellule de Décentralisation des Universités, Cabinet du Premier Ministre. Il est le Responsable Administratif et Financier de cette cellule. Le texte est tombé dans les mains des fins limiers du camp Ouattara, qui après investigation indiquent, que ce cadre est un infiltré travaillant, au profit du candidat Banny. Dans le texte, le "traître", se fait apocalyptique et prend un air solennel : "Une débâcle électorale annoncée en 2015 conduira à l’évidence à 30.000 morts au moins. Compatriotes ivoiriens, à l’orée de cette nouvelle année 2015, année d’élection présidentielle, année de tous les dangers, je voudrais attirer votre attention sur un point essentiel : celui de n’avoir pas tiré les leçons de nos incompréhensions qui ont endeuillé la Côte d’Ivoire durant les 20 années passées. En effet, tous les ingrédients sont actuellement réunis pour retomber dans les mêmes errements du passé". L'auteur poursuit au sujet de la situation sociopolitique nationale en indiquant ceci : "Au-delà d’une pseudo prospérité et croissance dont nous nous gargarisons, les Ivoiriens sont encore plus divisés qu’il y a 20 ans. La réconciliation s’éloigne au grand galop. Le constat est clair :
Le FPI se déchire un peu plus chaque jour ;
Le PDCI n’est que l’ombre de lui-même;
Le RDR n’existe qu’au sommet de l’Etat ;
Les 60 ethnies sont divisées ;
La chasse et le débarquement dans l’armée des hommes du Président GBAGBO s’intensifient;
La traque aux adversaires sérieux du candidat unique du RHDP s’opère à visage découvert ;
Le dégommage des responsables de structures, qui osent s’exprimer librement se fait par voie de presse (Tiburce KOFFI) ;
Une justice sélective dont le verdict est connu à 100% avant la proclamation.". Le rattrapage n'échappe pas à sa critique : "En somme, c’est l’apologie de la médiocrité: le rattrapage ethnique (exclusion qu’on a combattue autrefois), 3000 ex-combattants dans les régies financières ; 8400 ex-combattants à promouvoir dans l’armée, pendant que ceux qui ont eu normalement leurs diplômes doivent passer des concours (ENA, ENS, Fonction Publique, etc…) ou sont sans poste.
Comme si cela ne suffisait pas, désormais, tous les porte-paroles des délégations politiques, d’associations ou de syndicats qui apparaissent à la télévision ivoirienne s’appellent "OUATTARA" ou ont un nom à 90 % nordique".
Et pour montrer qu'il est un récidiviste et qu'il n'est pas à son premier texte, sans qu'on sache davantage pour l'instant sur ses précédentes déclarations, Konan Amany Michel écrit : "A l’évidence, et je le disais déjà le 05 novembre dernier, l’appel de Daoukro est un appel dictatorial aux contours flous (car manque de consensus), qui ne donne pas assez de précision sur l’encrage institutionnel de l’héritier constitutionnel et qui, en clair, ne dit rien sur l’alternance en 2020".
Très pessimiste, le patron du service financier de la cellule de décentralisation des Universités fait savoir que " le déficit de démocratie a causé officiellement 30 morts au coup d’Etat 1999, 300 morts en 2000 sous le général Guei et 3000 morts 2010-2011 pendant la crise post-électorale sous le pouvoir actuel".
Il ne porte donc pas de gants pour annoncer le pire et évoquer une multiplication par dix, du nombre de morts en 2015 : "A chaque grande crise, le nombre de morts est multiplié par 10.
Ce qui me fait dire que si nous ratons les élections de 2015, il y aura 30.000 morts ". Pour terminer, cet adversaire déterminé et résolu du camp Ouattara et du président de la République qu'il considère comme un dictateur, et dont les services sont logés entre la Présidence et la Primature, appelle à choisir un candidat neutre et consensuel , pouvant réconcilier les Ivoiriens. On croit savoir qu'il s'agit d'Essy Amara, mais les fins limiers qui sont à ses trousses, assurent qu'il roule plutôt pour Charles Konan Banny, et que les propos ci-dessous, sont un message codé : " Chers Compatriotes, si nous aimons la Côte d’Ivoire, faisons très attention pour ne pas retomber dans les mêmes erreurs du passé. D’où la nécessité de chercher à élire un Président Consensuel qui peut réconcilier les Ivoiriens, apporter la paix définitive et poursuivre le développement et la croissance économique de la Cote d’Ivoire. Ce Président doit être étranger à toutes les crises que notre pays a connues ces dernières décennies. On se comprend !!! AMK". Pour sûr, "AMK" comme il signe son texte, fera parler de lui ces jours-ci, d'autant plus qu'il est déjà désigné comme un autre Tiburce Koffi, pour symboliser cette catégorie d'agents et collaborateurs au sein des institutions, qui ne font preuve de loyauté et qui par leurs attitudes, peuvent être soupçonnés de ne pas travailler de façon franche et honnête au succès du chef de l'Etat, alors qu'ils sont censés être du Rhdp. Affaire à suivre....
Charles Kouassi
Le FPI se déchire un peu plus chaque jour ;
Le PDCI n’est que l’ombre de lui-même;
Le RDR n’existe qu’au sommet de l’Etat ;
Les 60 ethnies sont divisées ;
La chasse et le débarquement dans l’armée des hommes du Président GBAGBO s’intensifient;
La traque aux adversaires sérieux du candidat unique du RHDP s’opère à visage découvert ;
Le dégommage des responsables de structures, qui osent s’exprimer librement se fait par voie de presse (Tiburce KOFFI) ;
Une justice sélective dont le verdict est connu à 100% avant la proclamation.". Le rattrapage n'échappe pas à sa critique : "En somme, c’est l’apologie de la médiocrité: le rattrapage ethnique (exclusion qu’on a combattue autrefois), 3000 ex-combattants dans les régies financières ; 8400 ex-combattants à promouvoir dans l’armée, pendant que ceux qui ont eu normalement leurs diplômes doivent passer des concours (ENA, ENS, Fonction Publique, etc…) ou sont sans poste.
Comme si cela ne suffisait pas, désormais, tous les porte-paroles des délégations politiques, d’associations ou de syndicats qui apparaissent à la télévision ivoirienne s’appellent "OUATTARA" ou ont un nom à 90 % nordique".
Et pour montrer qu'il est un récidiviste et qu'il n'est pas à son premier texte, sans qu'on sache davantage pour l'instant sur ses précédentes déclarations, Konan Amany Michel écrit : "A l’évidence, et je le disais déjà le 05 novembre dernier, l’appel de Daoukro est un appel dictatorial aux contours flous (car manque de consensus), qui ne donne pas assez de précision sur l’encrage institutionnel de l’héritier constitutionnel et qui, en clair, ne dit rien sur l’alternance en 2020".
Très pessimiste, le patron du service financier de la cellule de décentralisation des Universités fait savoir que " le déficit de démocratie a causé officiellement 30 morts au coup d’Etat 1999, 300 morts en 2000 sous le général Guei et 3000 morts 2010-2011 pendant la crise post-électorale sous le pouvoir actuel".
Il ne porte donc pas de gants pour annoncer le pire et évoquer une multiplication par dix, du nombre de morts en 2015 : "A chaque grande crise, le nombre de morts est multiplié par 10.
Ce qui me fait dire que si nous ratons les élections de 2015, il y aura 30.000 morts ". Pour terminer, cet adversaire déterminé et résolu du camp Ouattara et du président de la République qu'il considère comme un dictateur, et dont les services sont logés entre la Présidence et la Primature, appelle à choisir un candidat neutre et consensuel , pouvant réconcilier les Ivoiriens. On croit savoir qu'il s'agit d'Essy Amara, mais les fins limiers qui sont à ses trousses, assurent qu'il roule plutôt pour Charles Konan Banny, et que les propos ci-dessous, sont un message codé : " Chers Compatriotes, si nous aimons la Côte d’Ivoire, faisons très attention pour ne pas retomber dans les mêmes erreurs du passé. D’où la nécessité de chercher à élire un Président Consensuel qui peut réconcilier les Ivoiriens, apporter la paix définitive et poursuivre le développement et la croissance économique de la Cote d’Ivoire. Ce Président doit être étranger à toutes les crises que notre pays a connues ces dernières décennies. On se comprend !!! AMK". Pour sûr, "AMK" comme il signe son texte, fera parler de lui ces jours-ci, d'autant plus qu'il est déjà désigné comme un autre Tiburce Koffi, pour symboliser cette catégorie d'agents et collaborateurs au sein des institutions, qui ne font preuve de loyauté et qui par leurs attitudes, peuvent être soupçonnés de ne pas travailler de façon franche et honnête au succès du chef de l'Etat, alors qu'ils sont censés être du Rhdp. Affaire à suivre....
Charles Kouassi
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