1 – Pourquoi le groupe Toguna a-t-il décidé d’être au rendez vous du Salon de l’Agriculture et des Ressources animales d’Abidjan (SARA) ? Quel objectif recherchez-vous ?
Le groupe Toguna, leader de la production et distribution d’engrais dans l’espace UEMOA, se devait d’être au SARA qui est une vitrine de l’agriculture de la Côte-d’Ivoire en particulier et de l’espace UEMOA en général.
Notre objectif est de faire connaître davantage le groupe Toguna en Côte-d’Ivoire, notamment en instaurant des contacts directs avec les acteurs du monde agricole que sont les coopératives agricoles et les producteurs de diverses cultures telles que le cacao, le café, l’hévéa, le coton, les fruits et légumes… et de partager et faire connaître notre savoir-faire auprès des différents partenaires (professionnels, responsables politiques, visiteurs…). Nous nous battons au quotidien pour relever les défis, faire entrer davantage le monde agricole africain dans la modernité. Cela passe par l’innovation mais aussi par la formation des acteurs. Ce salon est un bon cadre pour développer l’agriculture.
2 - Etait-ce votre première participation à cet événement ? Quelle est son importance pour le Mali, et singulièrement pour le groupe Toguna Agro-Industries ?
Oui, notre participation était la toute première à ce grand événement. Le Mali est le plus grand producteur de céréales de l’espace UEMOA et possède l’un des cheptels les plus importants. Le salon a permis aux producteurs et exportateurs maliens d’établir des relations commerciales avec des importateurs ivoiriens et de la sous-région.
3 - Quelles sont les priorités du groupe Toguna pour faire rayonner l’agriculture malienne et celle pratiquée dans la sous région ?
Avec le soutien de la recherche, Toguna a pour priorité de développer des engrais adaptés à nos sols et à nos cultures, et partant d’accroître la productivité agricole. Ce n’est pas tout. Comme je vous le disais, la formation est très importante pour une agriculture compétitive. Nos équipes travaillent avec les producteurs afin de les aider à mieux connaître les produits, les techniques. Depuis l’année dernière, nous organisons une caravane agricole en partenariat avec l’Office Chérifien des Phosphates (OCP). Ce dispositif est destiné aux agriculteurs des zones visitées afin de partager l’expérience et le savoir-faire des différents partenaires. Ce sont quelque 2 000 agriculteurs maliens qui bénéficient de présentations techniques lors des étapes, valorisant ainsi les bonnes pratiques agricoles tout au long de la chaîne depuis le semis jusqu’à la moisson en soulignant l’apport de l’utilisation raisonnée des engrais et des éléments nutritifs dans les différentes cultures que nous avons citées.
Cette caravane visitera également la Côte-d’Ivoire dans les éditions à venir.
4 - Quel contenu avez-vous donné à votre participation au SARA ?
Notre participation au SARA dénote notre ambition d’être un acteur sous-régional majeur pour le développement de l’agriculture dans notre espace UEMOA.
Enfin, ce salon nous a offert l’opportunité de présenter le groupe Toguna qui reste la première entreprise privée du Mali à l’export. Au-delà de notre activité commerciale et de notre engagement d’aider la terre à nourrir les hommes, nous avons créé la fondation d’entreprise qui soutient les initiatives de développement humain, non seulement sur le plan agricole, mais aussi éducatif, culturel, sanitaire, environnemental… De même que le rôle des engrais est d’assurer de bonnes conditions de croissance aux plantes, la vocation de notre fondation est d’assurer de bonnes conditions de croissance aux hommes. En somme, aider les hommes à porter du fruit.
Le groupe Toguna, leader de la production et distribution d’engrais dans l’espace UEMOA, se devait d’être au SARA qui est une vitrine de l’agriculture de la Côte-d’Ivoire en particulier et de l’espace UEMOA en général.
Notre objectif est de faire connaître davantage le groupe Toguna en Côte-d’Ivoire, notamment en instaurant des contacts directs avec les acteurs du monde agricole que sont les coopératives agricoles et les producteurs de diverses cultures telles que le cacao, le café, l’hévéa, le coton, les fruits et légumes… et de partager et faire connaître notre savoir-faire auprès des différents partenaires (professionnels, responsables politiques, visiteurs…). Nous nous battons au quotidien pour relever les défis, faire entrer davantage le monde agricole africain dans la modernité. Cela passe par l’innovation mais aussi par la formation des acteurs. Ce salon est un bon cadre pour développer l’agriculture.
2 - Etait-ce votre première participation à cet événement ? Quelle est son importance pour le Mali, et singulièrement pour le groupe Toguna Agro-Industries ?
Oui, notre participation était la toute première à ce grand événement. Le Mali est le plus grand producteur de céréales de l’espace UEMOA et possède l’un des cheptels les plus importants. Le salon a permis aux producteurs et exportateurs maliens d’établir des relations commerciales avec des importateurs ivoiriens et de la sous-région.
3 - Quelles sont les priorités du groupe Toguna pour faire rayonner l’agriculture malienne et celle pratiquée dans la sous région ?
Avec le soutien de la recherche, Toguna a pour priorité de développer des engrais adaptés à nos sols et à nos cultures, et partant d’accroître la productivité agricole. Ce n’est pas tout. Comme je vous le disais, la formation est très importante pour une agriculture compétitive. Nos équipes travaillent avec les producteurs afin de les aider à mieux connaître les produits, les techniques. Depuis l’année dernière, nous organisons une caravane agricole en partenariat avec l’Office Chérifien des Phosphates (OCP). Ce dispositif est destiné aux agriculteurs des zones visitées afin de partager l’expérience et le savoir-faire des différents partenaires. Ce sont quelque 2 000 agriculteurs maliens qui bénéficient de présentations techniques lors des étapes, valorisant ainsi les bonnes pratiques agricoles tout au long de la chaîne depuis le semis jusqu’à la moisson en soulignant l’apport de l’utilisation raisonnée des engrais et des éléments nutritifs dans les différentes cultures que nous avons citées.
Cette caravane visitera également la Côte-d’Ivoire dans les éditions à venir.
4 - Quel contenu avez-vous donné à votre participation au SARA ?
Notre participation au SARA dénote notre ambition d’être un acteur sous-régional majeur pour le développement de l’agriculture dans notre espace UEMOA.
Enfin, ce salon nous a offert l’opportunité de présenter le groupe Toguna qui reste la première entreprise privée du Mali à l’export. Au-delà de notre activité commerciale et de notre engagement d’aider la terre à nourrir les hommes, nous avons créé la fondation d’entreprise qui soutient les initiatives de développement humain, non seulement sur le plan agricole, mais aussi éducatif, culturel, sanitaire, environnemental… De même que le rôle des engrais est d’assurer de bonnes conditions de croissance aux plantes, la vocation de notre fondation est d’assurer de bonnes conditions de croissance aux hommes. En somme, aider les hommes à porter du fruit.