Dabakala - Des femmes de Dabakala, regroupées en association, ont opté pour la diversification des cultures vivrières à travers l’introduction de la culture d'oignon et des aubergines, afin de lutter contre la sécheresse qui a détruit la moitié de leurs champs d’arachides.
Cette volonté a été exprimée lundi, lors de leur rencontre hebdomadaire. Selon ces femmes, depuis des années, elles ne labouraient que des champs d’arachides.
Ces femmes possédaient parfois plus de deux hectares chacune. « Nous avons tiré d’énormes profits de la vente d’arachide », confie Aminata Combala, quand une autre femme, Mawa Ouattara avoue que le kilogramme de l'arachide décortiqué se vendait parfois à 500 FCFA.
Elles envisagent rencontrer l’agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) dans les prochains jours pour s'informer sur les techniques et les précautions à prendre pour réussir ces cultures.
(AIP)
sy/tad/akn/tm
Cette volonté a été exprimée lundi, lors de leur rencontre hebdomadaire. Selon ces femmes, depuis des années, elles ne labouraient que des champs d’arachides.
Ces femmes possédaient parfois plus de deux hectares chacune. « Nous avons tiré d’énormes profits de la vente d’arachide », confie Aminata Combala, quand une autre femme, Mawa Ouattara avoue que le kilogramme de l'arachide décortiqué se vendait parfois à 500 FCFA.
Elles envisagent rencontrer l’agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) dans les prochains jours pour s'informer sur les techniques et les précautions à prendre pour réussir ces cultures.
(AIP)
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