« Diffusion des technologies de contrôle des mouches des fruits et renforcement de capacités des acteurs de la chaine de valeur fruits en Afrique de l’Ouest », tel est l’intitulé du projet régional CORAF/WECARD dont le lancement national a eu lieu à Korhogo, le jeudi 11 juin 2015.
Depuis 2003, les mouches des fruits venues de l’Asie du Sud Est cause des dommages considérables dans le verger ivoirien et ouest africain.
En effet, les conséquences de la présence de ces mouches dans les exploitations de mangue ivoiriennes sont de plusieurs ordres. Outre le refus de l’accès aux marchés européens, il faut noter la perte de la confiance en la mangue ivoirienne due à sa mauvaise qualité. Les campagnes de commercialisation se raccourcissent de plus en plus, la baisse des exportations est observée avec 14 000 t/an de mangues exportées pour plus de 100 000 t/an produites. Tous facteurs qui conduisent à l’abandon des vergers à la baisse drastique des revenus des producteurs nationaux.
Le lancement national de ce projet régional, placé sous la présidence du Préfet de la Région du PORO et financé par la Banque Mondiale à travers le CORAF/WECARD, est mise en œuvre le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA). « Grâce à ce projet, les technologies de lutte mises au point par le CNRA et ses partenaires régionaux seront disponibles et accessibles aux producteurs par la sensibilisation, la formation à travers les champs école, les manuels et documents didactiques », a affirmé Dr YTE, Directeur Général du CNRA au cours de la cérémonie d’ouverture de cet atelier de lancement.
L’avènement de ce projet a été bien accueilli par les producteurs et les populations de la région du PORO et alentours. En témoigne la présence massive des différents acteurs de la filière mangue, les autorités administrative et préfectorale, outre les représentants des structures techniques agricoles et des universités.
Il faut noter que la mangue est la 3ème culture de rente de la région nord de notre pays après le coton et l’anacarde. Protéger et développer la culture de la mangue contribueront à la diversification et à l’augmentation des revenus des populations de la région.
Depuis 2003, les mouches des fruits venues de l’Asie du Sud Est cause des dommages considérables dans le verger ivoirien et ouest africain.
En effet, les conséquences de la présence de ces mouches dans les exploitations de mangue ivoiriennes sont de plusieurs ordres. Outre le refus de l’accès aux marchés européens, il faut noter la perte de la confiance en la mangue ivoirienne due à sa mauvaise qualité. Les campagnes de commercialisation se raccourcissent de plus en plus, la baisse des exportations est observée avec 14 000 t/an de mangues exportées pour plus de 100 000 t/an produites. Tous facteurs qui conduisent à l’abandon des vergers à la baisse drastique des revenus des producteurs nationaux.
Le lancement national de ce projet régional, placé sous la présidence du Préfet de la Région du PORO et financé par la Banque Mondiale à travers le CORAF/WECARD, est mise en œuvre le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA). « Grâce à ce projet, les technologies de lutte mises au point par le CNRA et ses partenaires régionaux seront disponibles et accessibles aux producteurs par la sensibilisation, la formation à travers les champs école, les manuels et documents didactiques », a affirmé Dr YTE, Directeur Général du CNRA au cours de la cérémonie d’ouverture de cet atelier de lancement.
L’avènement de ce projet a été bien accueilli par les producteurs et les populations de la région du PORO et alentours. En témoigne la présence massive des différents acteurs de la filière mangue, les autorités administrative et préfectorale, outre les représentants des structures techniques agricoles et des universités.
Il faut noter que la mangue est la 3ème culture de rente de la région nord de notre pays après le coton et l’anacarde. Protéger et développer la culture de la mangue contribueront à la diversification et à l’augmentation des revenus des populations de la région.
